PASSE :
Cette jeune fille n'est pas le genre de personne que les gens aiment fréquenter. Depuis son enfance, elle vit à l'écart des autres, enfermée dans sa chambre ou devant son ordinateur, à établir des programmes incompréhensibles. Cela fait déjà des années que Lee s'est mise à l'informatique. Il ne se passe pas un seul jour sans qu'elle ne s'assied à son bureau, ou ne prenne son portable sur ses genoux. Il s'agit d'un mac portable rouge, qui lui a d'ailleurs valu son surnom: ces camarades de classe, pour se moquer d'elle, l'affublent du nom de sa machine. Ainsi, Mac passe son temps en solitaire. Elle a de mauvais résultats scolaires car la jeune fille souffre d'un trouble de l'attention relativement important: toutefois elle parvient petit à petit à réprimer ses idées frénétiques.
Mac fut recrutée par le DCM à l'âge de 17 ans, mais ses parents s'opposèrent formellement à son entrée dans le département, aussi l'adolescente dut-elle attendre une année supplémentaire. Brook lui expliqua en quoi son rôle consisterait, et Mac fut ravie d'apprendre que son travail serait de créer des programmes suffisamment furtifs pour ne pas attirer l'attention de l'ennemi, tout en étant opérationnels et performants. Sans compter le salaire rondelet qu'on lui proposait...
Un an plus tard, elle était avertie qu'une équipe d'infiltration se formait, et elle ne tarda pas à être mutée sur celle-ci.

PHYSIQUE :
Mac est de petite taille et possède un physique peu attirant malgré son joli visage: son corps a gardé la minceur de l'enfance, sa poitrine reste désespérément plate, ses hanches étroites. Elle garde la plupart du temps ses cheveux détachés. Ceux-ci sont blonds, mi-longs, et la jeune femme teint les pointes de ses mèches en bleu. Généralement, Mac s'habille d'un jean confortable et d'un T-shirt noir, pour se fondre dans la foule sans attirer l'attention. Ses chaussures se composent d'une seule paire de converses usées jusqu'à la corde, qu'elle ne quitte pratiquement jamais.
Elle possède un tatouage représentant un oiseau bleu à l'intérieur du poignet gauche.

PSYCHOLOGIQUE :
Mac est têtue. Cependant, son manque d'espérience en matière de vie sociale la pénalise grandement lorsqu'elle est forcée d'interagir avec d'autres personnes. D'une intelligence redoutable, quoique partiellement dissipée, Mac n'est pas douée pour vivre en communauté. Elle se laisse facilement marcher sur les pieds, même si cela la force à garder une certaine rancœur toute sa vie. Mais Mac peut se laisser attendrir aisément si l'on est gentil avec elle, et il n'y a aucun doute quant à ses capacités en tant qu'amie: secourable, ayant de la ressource, la jeune femme est une fleur qui n'a pas terminé d'éclore.
Mac est ce que l'on appelle communément une "geek", pourtant elle n'entre pas dans le stéréotype que les gens s'imaginent d'ordinaire: elle est cultivée, pragmatique, et est même capable d'établir des plans. Cela fait d'elle une personne complexe, mais adorable si l'on sait comment l'aborder: en vérité, Mac a peur des gens, car si elle vit en solitaire depuis qu'elle a quitté le foyer familial (ou plutôt depuis que ses parents l'ont jetée dehors) elle redoute de se retrouver seule à tout jamais.

14 mai 2025, banlieue de Londres

Quelque part dans une petite chambre miteuse, une sonnerie stridente déchira le silence. Le bruit résonna à de nombreuses reprises, semblant ne jamais vouloir s'arrêter, toujours un peu plus fort à chaque fois. Enfin, après un temps interminable, le tas informe que formaient les couvertures sur le lit se mit à bouger, et un bras en émergea. Il tâtonna sur la chaise qui servait de table de nuit, finit par mettre la main sur le téléphone portable d'où provenait la sonnerie. Avec un grognement, une chevelure blonde apparut, et une main fripée attrapa le portable puis appuya sur une touche. La voix froide et insensible de l'engin creva le silence réparateur, délivrant le SMS à voix haute. Il était à peine six heures du matin, qui pouvait bien avoir quelque-chose de si important à lui dire ?
Le jeune homme se frotta la tempe pour se réveiller. Une poignée de chiffres semblaient lui indiquer quelque-chose mais, mal réveillé, William mit quelques secondes à comprendre qu'il s'agissait de coordonnées GPS.
Avec un soupir, certain d'être incapable de se rendormir, il se leva et se gratta l'arrière de la tête en baillant. Même si la réunion n'était prévue qu'en début de soirée, il décida de quitter son appartement. L'espace exiguë qu'il offrait n'était pas fait pour lui.
Avalant rapidement une gorgée d'eau au robinet, il s'étira et chaussa ses bottines.
Quand il sortit de l'immeuble, l'air frais du matin le fit frissonner. Dans les bas quartiers, il faisait toujours plus froid. Comme si la misère qu'ils contenaient suffisaient à cacher le soleil.
Lorsque la Tribu lui avait proposé un appartement plus confortable au Siège, William avait refusé, préférant garder une certaine autonomie, quitte à vivre comme un clochard. Enfin presque... un clochard ne savait jamais où il passerait la nuit.

Le jeune homme zona longuement dans la banlieue, avant de rejoindre la galerie commerciale. Là, il s'assit au bar d'un bistrot et écouta d'une oreille discrète le flot des clients qui entraient puis sortaient des magasins. Il y resta plusieurs heures, le temps que son café refroidisse, mais il regretta d'avoir cédé à la gourmandise: le liquide brûlant tomba comme un poids au creux de son estomac. Il n'était jamais bien, ici. Une pensée lui traversa l'esprit, au moment où une altercation éclatait à quelques pas de là: avec un peu de chances, la mission qu'on lui confierait ce soir lui permettrait de partir de cet endroit. En tout cas il l'espérait.

Lorsque l'heure fut enfin venue, William rejoignit le centre de Londres, se guidant grâce à son téléphone parlant. Il lui fallait bien ça pour compenser la perte de sa vue, il aurait été incapable de se guider sans.
Quand il entra dans ce qui semblait être un vieux théâtre, une puissante odeur d'humidité et de moisi lui sauta au nez. Plissant les narines, il continua d'avancer, éteignit son téléphone. Il buta contre quelque-chose de mou, et quand il posa sa main sur le tissa duveteux, il comprit qu'il s'agissait d'un siège. Il fut tiré de sa léthargie par un bruit de pas dans son dos. Se retournant lentement, il entendit la respiration d'une jeune fille, le son de ses semelles sur le parquet sale.
Elle s'arrêta, incertaine, se demandant s'il était un ami ou un ennemi. William lui fit son plus grand sourire et se présenta brièvement.

"Vous devez avoir reçu le même SMS que moi" , finit-elle par lâcher. "Je m'appelle Lee Mac Ewen, je suis du DCM."

Il hocha la tête, et elle lui emboîta le pas quand il reprit son avancée à travers le théâtre. Enfin, ils parvinrent à la grande salle, et il entendit Mac étouffer un murmure d'admiration devant la scène, immense, majestueuse. Quelqu'un était déjà présent, William entendait le souffle chaud qui émanait de sa poitrine. Sans un mot, il s'assit quelques rangées en-dessous du jeune homme qui patientait, et fit de même.

– A trois, un, deux, trois, partez !! cria la vieille jument.

La course commençait ! Mistral partit à toute allure, mais il était seulement... 3ème ! Et il y avait 4 poulains ! Il forçat encore l'allure, doublant Sable, qui dérappat et tombat à terre ! Devant lui, restait King, son rival ! King était à plusieurs mètres devant-lui, et il allait tourner derrière le cactus ! Et, Mistral en était sur, il adonnerais toute sa mesure dans la dernière ligne droite. Mistral était lançé au grand-galop, sa crinière fouètant l'air et sa queued volant derrière lui. Sa robe noire luisait au soleil, et ses sabots martelait le sol avec des bruits mats. Il n'avait jamais été aussi vite ! A quelle vitesse allait-il... 75km ? Surement plus ! Et King qui était lancé au triple galop sur la dernière ligne droite ! Aucune crainte à avoir de Voltio, il était seulement rendut sur la première ligne droite, et Sable était toujours à terre... Mistral n'en croyait pas ses yeux : King ralentissait ! Mais... oui c'est ça ! Il ralentissait ! Mistral accélérat encore, les antérieurs et les postérieurs douloureux. La ligne d'arrivée se rapprochait... encore et encore... et King reprenait de la vitesse... Mistral avait l'impréssion de voler ! Et... YAHOU ! Il avait doublé King... ! Ho ho... il galopait maintenant à la même hauteure... l'arrivée était à quelque mèttres... Alors, Mistral eu l'impression de planer, et... entendit des hennisement de victoire, et vit des jument, se précipiter sur lui alors qu'il s'écroulait par terre... il avait gagner la course !

Mistral se réveilla 2h plus tard, apres s'est évanouïe. Il avait mal aux membres et envie de dormir.

– Mistral, ça va ? Demanda sa mère.

Il était allongé près du ruisseau, endroit calme et paisible. King, Sable et lui était près du courant d'eau, soigné aux petits oignons par la mère de Mistral, la mère adoptive de King, et quelques autres juments du troupeau, y compris Flicka. Elles avaient dù les tirer jusque-là, grace à leur force... de cheval ! La première penssée de Mistral fut pour Voltio et Sable. Voltio avait t'il doubler King au dernier moment ? Sable était t'il blessé, peut-être mort ?

– Ca va maman... comment-vas Sable ? Et King ?
– Sable est blessé au tendons, et... mentalement. Tu comprend, lui qui se croyait si rapide ! Un pur-sang, ce n'est pas rien !... King est arrivé quelques secondes apres ton arrivée, il est plutôt en bonne santée, quoi que un peu déçu...
– Sable pourrat quand même participer à l'épreuve d'obstacles ?
– Je ne pense pas... Voltio ne s'est toujours pas réveillé... mais je crois que King est levé. Ho mon fils, ton père serait fièr de toi !!
– Pourquoi ?
– Mais tu as gagné la course ! Ce n'est pas rien, quand même ! Ton accélération de dernière minute était fabuleuse ! Tu vas pouvoir s'éduire les juments, maintenant...
– Ho, maman, arrête avec ça ! Je ne suis pas...
– Alors, Linda (Linda c'est la mère de Mistral), comment va notre gagnant ? Demanda la vieille jument.
– Je vais très bien ! Mais par contre...
– C'est à moi que Teckila (la vieille jument) à poser la question, Mistral ! Dit sa mère. Teckila, je crois que Mistral est... un peu fatigué, il faudrait donc attendre un peu avant de lancer le concour d'obstacle... et, aussi, ajouta-elle plus bas, il nous fait une crise d'amour...
– Vraiment ? Qui est la jeune demoiselle ? Questionne Teckila, sur le même ton que Linda.
– C'est la pouliche pie, Flicka... je regrètte que Royal ne soit pas là pour lui parler... entre hommes, tu comprends !

Et elles papotaient, hennissaient, piaffaient... Mistral en eu asser et décida de se lever et d'aller voir les autres poulains.

– Salut, King. Pas trop déçu? Deuxième c'est pas mal quand même !
– Ho, c'est toi... alors, tu compte séduire Flicka maintenant ?
– Toi aussi, tu t'y met... ma mère m'enquiquine à ce sujet...
– La mienne aussi, tu sais ! Alors, pour Flicka, tu l'aimes ?
– Evidemment, je ne crois pas qu'aucun poulain ne l'aime pas... elle est si belle... et, toi ?
– Moi ? Moi aussi je l'aime bien... mais elle va te préférer, maintenant, tu est premier... alors autant me résigner.
– Mais deusième c'est bien ! Et puis, il y a plein d'autres belles juments dans le troupeau... Star, Flamme et Lougia, aussi...
– J'aime bien Star, elle est simpas... et belle... et...
– Super, quoi !?

Il eu un long silence... puis, King parla :

– Super... j'ai pas été super, moi... avec toi, je veux dire... excuse... j'suis nul, t'ai pas un minable... pardon....
– C'est oublié, je t'assure. Alors, on est amis ?
– Les meilleurs du monde ! Mais rival pour les épreuves...

Et c'est ainsi, que pendant l'après-midi, ils passèrent leurs temps à se connaître, et à discuter. Le soir venu, un conseil fut réuni. Teckila en tant que patronne :

– La deusième épreuve aurat lieu demain matin. Voltio, King et Mistral participerons. Sable a été blaissé pendant la course. Bonne nuit !

Alors que King rejoignait sa mère adoptive et ses petits frêres et petites sœurs de l'année, ou de l'année précédente ; Mistral rejoignit la siènne, accompagné de Flicka qui était l'invitée du soir... (on se demande pourquoi!!!)
La nuit fut douce et chaude. Mistral s'endormit vite après cette belle journée : il avait gagner la première épreuve, simpatiser avec King, et avec Flicka. La balade était belle avec la lune blanche, et aucun nuage en vue... Flicka lui avait révélée une chose incroyable : elle était attirée par lui !!! Et... la balade s'était transformée en balade en aoureux ! Il y a de quoi rêver, non ?! Avant de se quitter, Flicka avait posée son encolure sur celle de Mistral... signe de tendresse, rîme avec prouesses ! Flicka a bien récompenser la prouesse du soir !! (C'est un proverbe inventé aussi, excuser l'auteur s'il ne veut rien dire...) La nuit passée, il apprit par Star que King avait rejoint Voltio et Teckila, pour la deusième épreuve. Il fit de même, après avoir dit cela à sa mère. Flicka discutait avec d'autres pouliches... en passant devant elles, Flicka lui adressat un signe de tête (les chevaux n'ont pas de mains, alors il se saluent avec la tête et les oreilles...!) Mistral pensat : Flicka ressemble à une gamine... sa robe est joyeuse et elle rit tout le temps ! Son nom lui va bien, en Suédois Flicka veut dire petite-fille... en arrivant devant l'atroupement de chevaux, il remarqua que les suporters de Sable (on peut appeler ça comme ça) n'était pas là. Ils étaient avec d'autres jument et poulains qui se fichait complétement de savoir qui serait le chef.

– Bonjour, Teckila, salut King ! Lança Mistral.
– Hello, mon pôte ! Alors, t'a la pêche ?
– Ouais, et toi ?
– Ca peut aller !
– Teckila, où est Voltio ?

La vieille huent avait écoutée les échanges de paroles entre les dzux poulains, et elle avait lair de se dire : « les jeunes parlent bizarrement aujourd'hui... » ! Elle répondit :

– Il est partis reconnaître le parcour. Comme si elle avait lût dans la tête de Mistral, elle ajouta : Les obstacles seront haut de 1m30, tout au plus... vous feriez mieu d'aller rejoindre Voltio, j'arrive dans un instant avec les autres juments, les poulains, le noir et le gris rejoignirent donc le blanc, tout en discutant :
– Alors, avec Star, ça va ?
– Bof... elle est ennuyeuse... devans l'air hauri de Mistral, il ajouta : je plaisante, mec ! Star est génial, un régal !... Et avec Flicka, la petite-fille ?
– A l'aise ! Elle est...
– Jolie ? Eblouissante ? Sublime ?
– Merveilleuse !
– Phhhht ! Ha, l'amour !...
– Arrête de te moquer ! Sinon... sinon je ferai pareil avec toi et Star...
– Ho non, pitiez ! Pas ça !... Regarde-moi ça... ce parcour d'obstacle !

Ils étaient arrivée devant un plateau avec des troncs-d'arbres, des ruisseaux, et d'autres obstacles naturels.

– Voltio ! Content de te revoir !... Bas, ça va pas ? Ajouta King.

Voltio avait l'air en colère... les oreilles en arrières, montrant ses dents, il se dirigea vers King en criant :

– Tu oses revenir me voir ? Apres m'avoir fait un croche-pied !!! Tricheur !

Mistral, qui ne comprenait rien, demanda à King :

– Quest-ce qu'il raconte, King ? Il déraille !
– Non.
– Non, quoi?Demandèrent Mistral et Voltio à l'unnisson.
– Non, il ne déraille pas.

Soudain, Mistral comprit : King et Voltio disait la véritée tout les deux ! King avait bel et bien fait un croche-pied à Voltio, qui ne déraillait pas ! Il hurla :

– King ! T'as pas faut ça mon pôte, hein ?
– Ton pôte, c'est un sale tricheur ! Je vais pas le dire à Teckila, mais je te jure que si on se retrouve au combat !...

Voltio fit demi-tour et partit à la rencontre de Teckila. Mistral ne dit rien, mais King parla :

– On ferait bien de voir ce parcour.

Mistral ne répondit pas. 5Mn plus tard, Mistral revit le parcour dans sa tête : il y avait 10 obstacles sur 100m2. Le premier obstacle était un tronc couché au sol, le deuxième un ruisseau, le troisième une dune de sable, le quatrième un autre tronc d'arbre, le cinquième et le sixième était le saut à effectuer à suivre représentant deux rochers allongés, le septième une petite rivière qui était en fait le ruisseau agrandit, le huitième un buisson d'herbes hautes, le neuvième une autre dune de sable et le dixième une enciène barrière oubliée par des humains. Le parcour ressemblait à peu près à l'image ci dessous : (oui, j'avais dessiné vite fait le parcours vu du dessus... /PAN/)

Le parcour bien enregistré, il se dit qu'il allait aller voir Flicka, ou sa mère, ou King ou Sable. Ne sachant que choisir, il décidat d'aller voir Sable, de qui il n'avait pas eu de nouvelles. En allant vers la prairie, là où était le troupeau, il remarqua que plusieurs juments avaient disparues. C'est bizarre, pensa Mistral. HA ! Mais elles sont là !... Je me demande ce qui vaut cet atroupement !

Humaine : Jeune adolescente aux cheveux bleuté mi-long et de grand yeux bleus eux aussi. Assez petite et fine, elle passe partout ce qui est un très grand avantage. Presque toujours souriante, personne ne la jamais encore vu triste ou déprimé ou plutôt elle se volatilise à ces moments là, elle a la joie de vivre. Elle insouciante mais ne vous fiez pas au apparence ...

Animal :Encore jeune, ses muscle sont en plein croissance, lui servent surtout pour la vitesse car l'endurance n'est pas son point fort. Fine, elle se faufile dans les coins les plus impossible et inimaginable. Blanche comme la neige, elle prend soin de son beau pelage soyeux qui est assez court mais épais, surtout en hiver. Ses griffes aussi entretenue que le reste lui permettent de déchiqueter sa nourriture. Elle est plus taillée pour la chasse que pour la guerre.

♦ Caractère (5 lignes mini.)Douce, elle n'aime pas ce battre et préfère parler plutôt que se sauter dessus. Rusé et intelligente, elle aide ses amis dans le besoin même au prix de sa vie. Curieuse, elle fouine un peu partout ce qui la met parfois dans des situations parfois délicate et c'est cela son plus gros défaut. Joyeuse, elle aime la vie mais parfois peut disparaître pour avoir la paix car elle garde quelle que habitude de son ancienne vie dans la forêt. Elle est parfois distante. Elle est en général discrète et assez timide et ne parle jamais pour ne rien dire. On la voit rarement dans sa tanière car elle va souvent dormir à la belle étoile ayant horreur d'être enfermé entre quatre murs. Elle dégage une aura de bienveillance et sa bonne humeur est souvent contagieuse pourtant qui sait ce qui se cache derrière ce visage souriant. Mais pourtant que peux bien cacher ce visage toujours souriant ? Qui est-elle dans le fond ? Les apparences sont parfois trompeuse alors attention. Pourtant jolie, elle n'aime pas profité de ses atouts.


♦ Histoire (10 lignes mini.) Crystal, jeune adolescente de 18 ans était devenue orpheline à l'âge de 4 ans, ses parents avaient mystérieusement disparu et l'avait laissé au bon soin de son frère. Elle était encore trop jeune pour comprendre pourquoi ils étaient partis. Ce jour tragique, son frère qui était plus âgé en voulut beaucoup à ses parents et n'aimant pas beaucoup sa jeune sœur qui selon lui, était la chouchoute, et qu'en plus soit disant toute était de sa faute il s'enfuit et elle ne le revu plus jamais.
La petite fille fut alors recueillit par un couple qui n'arrivait pas à avoir d'enfants et qui connaissait bien ses parents. Le temps passa, la jeune fille apprit à tirer à l'arc grâce à sa nouvelle mère mais appris aussi les rudiment de la chasse, de la guerre et quelques remèdes à partir de plantes. Crystal adorait tiré à l'arc où elle se releva très habile et apprendre de nouveau remède mais elle répugnait à tuer, jamais elle n'avait tué pour le plaisir. Lorsqu'elle s'ennuyait elle allait s'exercer à l'arc, oui, elle aimait sentir la fibre du bois, le fil se tendre et voir la flèche se ficher dans la cible qu'elle avait choisit, elle manquait rarement sa cible. Tout ce passait pour le mieux jusqu'aux jour où, lors de son quatorzième anniversaire, ses parents adoptifs lui apprirent ses origines.
C'était un soir d'hiver, regroupé autour du feu, admirant comme d'habitude les flammes dansées devant ses yeux, son père commença :
« Tout d'abord je voulais te souhaiter une joyeuse fête .
Merci Papa !
Maintenant que tu es grande nous avons une chose importante à te révélé ... sur tes origines
Sa mère s'était rapproché de son père et sanglotait dans ses bras :
« Mais Maman pourquoi pleures-tu ? C'est mon anniversaire .
Et bien, ce que ton père veut dire c'est que ...nous ne sommes pas tes vrais parents, nous t'avons recueillit à l'âge de 4 ans, nous connaissions tes parents.
Quoi ?! Mais alors qui sont mes vrais parents et où sont-il ? »
Son père reprit la parole :
« Tes parents ont disparu et tu dois savoir que tu avais un frère mais il a lui aussi à disparu.
- Non !! Vous mentez !! C''est pas vrai !! Pourquoi ils auraient fait ça !?
-Tes parents voulaient te protégés.
- Me protégé de quoi ?!
- Tu dois savoir maintenant, tu es une Fille de la Nature, ce qui veut dire que comme tes parents et nous deux tu as le don de te changer en un animal soit le loup, le renard, le chat ou le lynx. Il existe 4 clan celui de la Meute pour les loups, le Groupe pour les renards, le Clan pour les lynx et la Tribu pour les chats, il existe les solitaires qui préfèrent vivre seul mais il existe aussi les Bannis, se sont des membres de chaque clan qui on été exilé de leur clan car ils ont commis un acte interdit, ceci veulent détruire les autres clans et ils ont crée une coalition. ton père faisait partis de leur clan mais un jour il a rencontré ta mère et à choisit de rester avec elle et ils sont devenus solitaires mais depuis ce jour ils sont traqués car ils sont considérés comme des traites voilà pourquoi ils t'ont abandonné toi et ton frère par contre lui, personne ne sait ce qui lui est arrivé on sait juste que tu étais seule, pleurant devant chez toi donc nous avons décidé de te recueillir.
-Non, c'est pas possible !! Vous mentez !!
Sur ces mots, elle s'enfuit en prenant au passage ses affaires, elle courut et pour la première fois en traversant la frontière elle prit sa forme animal, une louve blanche comme la neige et fila comme le vent, retenant ses larmes.
Après des heures de courses continue, épuisé, blessé moralement, perdu elle se laissa tombé au sol et versa les larmes qu'elle avait retenu et celle-ci ne se firent pas prier. Puis lasse, elle s'endormit dans un rêve cauchemardesque où ses souvenirs embrouillés de sa jeune enfance revenait déformé. Elle vouait une haine sans faille à son frère et ses parents ...
Pendant des semaines elle se laissa dépérir jusqu'au jour où une jeune louve plus âgé qu'elle fit irruption dans la clairière. Crystal ne réagit même pas quand l'inconnue grogna à son intention. Plongée dans le désespoir, elle broyait le noir, loin de la réalité. Les paroles ingrates de la louve ne l'atteignait pas. Mais devant l'insistance de la louve rousse, elle grogna.
- Laisse-moi tranquille, j'veux mourir... Cette vie ne m'apporte rien de bon.
- Parce que tu crois que t'es la seule ? Relève-toi !
-...
- Si tu ne pars pas immédiatement, je te chasses de mes territoires... Ou de cette Terre !
- Alors fait-le !
La louve blanche parut perplexe. Elle plissa les yeux.
- Moi aussi j'ai sombrée dans la même mélancolie que toi.
- Et alors ?...
- Je suis restée seule pendant plusieurs mois...
- Et alors ?...
- Et alors j'ai gardé toute ma fierté, et je suis encore en vie ! Je ne regrette rien, si ce n'est la mort de mes parents, et la fuite d'une soeur que j'ai toujours crus comme étant ma meilleure amie...
Crystal releva le museau pour mieux voir l'inconnue. Un fin sourire c'était dessiner sur ses babines. Encore plus étrange que sa fourrure rousse, ses yeux bicolores.
- Allez, lèves-toi... Ne reste pas là. Je suis Plume, Alpha de la Meute. Je viens juste de prendre la relève...
- Je suis... Crystal... souffla la louve.
Plume soupira, et s'installa près de Crystal.
- Bon alors, tu veux venir avec moi ? On pourrait apprendre à ce connaître, je vois en toi un passé qui ressemble étrangement au mien... Mais ce n'est qu'une impression. Allez viens, nous formons tous une sorte de famille. Rejoins-nous.
Plume acheva de persuadé Crystal, qui se releva avec peine. Plume la conduisit jusqu'au passage entre les pins pour lui montrer le camp "animal", où plusieurs loups flânaient. Elle lui fit faire le tour des territoires, où elle prenaient tantôt forme humaine, tantôt forme animal, sans qu'elle ne se transforme par elle-même. Puis finalement, Plume la ramena au château. Elles apprirent à faire connaissance, et devinrent plutôt bonnes amies. Alors, Plume la promut au poste de lieutenant.

La journée avait été longue. Non, en faite, la semaine avait été longue ou plus précisément depuis cet incident. La jeune femme avait presque passé une nuit blanche à pianoter sur sa tablette tous les évènements mais également ses propres impressions. La nuit était déjà tombée alors qu’elle débaucha plus tôt que de coutume étant donné que la soirée avait été calme et que ses services n’étaient pas requiers.

L’appartement était comme toujours, plongé dans la pénombre. Elle aimait cette ambiance, calme, paisible ou aucune lumière ne venait agresser ses yeux à part la beauté de Paris de nuit avec ses lumières. Elle ferma la porte à clé derrière elle par habitude : on ne sait jamais qui pouvait vous suivre dans la rue jusqu’à vos appartements. Un miaulement s’en suivit bien vite d’un deuxième et voilà deux chats venant lui souhaiter la bienvenue ou plutôt, lui réclamer le repas du soir. Elle enleva machinalement sa veste qu’elle suspendit et ses clés sur le comptoir avant de se rendre dans la cuisine dont la séparation avec le salon n’était qu’un bar. Elle mit en route le café puis s’occupa des deux félins. Son regard s’arrêta un instant sur le nouveau venu. Ses pensées dérivèrent aussi vers CET homme. Il était différent. Elle mettrait sa main à couper que s’était un hybride et avait de tout manière, confirmé son identité. Il n’était pas comme les autres à voir l’objet sexuel ni même la potentielle chasseuse, enfin si mais pas de là à la remettre en question … Quoi que les débuts avaient été difficile … Mais le pire et elle rageait intérieurement, s’était qu’il avait su faire voler en éclats sa carapace sans effort et ce, dès leur première rencontre.

Un soupir franchi ses lèvres et la serveuse se dirigea vers le salon avant d’allumer son ordinateur portable posé sur la table basse. N’importe quel visiteur trouverait son appartement austère et peu accueillant. Aucune photo de famille, d’amis ou d’ex. Aucun bibelot. Aucun post-it ou autre. Il n’y avait en somme que des objets impersonnels comme par quelques tableaux choisis avec goût mais n’était que de la décoration. On aurait dit qu’à tout moment, elle était prête à prête à plier bagage. D’ailleurs il y avait peu de chose dans cet appartement à commencer par la télé. Il y avait certes un grand canapé tourné vers la baie vitrée ainsi qu’une table basse mais rien qui ressemble de près ou de loin à une télévision. Une chaîne CD dans un coin, quelques armoires et commodes. Sa chambre ne comportait en tout et pour tout, un lit, une armoire et une vielle table de travail en bois massif. Il n’y avait que la cuisine qui semblait plus perfectionner et tout était d’une propreté et d’un ordre à faire pâlir une femme de ménage. Mais elle s’y sentait bien et n’avait besoin de plus.

Finalement, Roxane décida d’aller prendre une bonne douche pour chasser la fatigue de la journée. Les yeux fermés et la chaleur prometteuse de l’eau glissant sur son corps eut tôt fait de la détendre et elle n’entendit donc pas l’intrus arpenté allègrement son appartement. Après avoir fini sa toilette, elle s’enroula dans une serviette qui couvrait le principal et soudainement, une voix retentit :

-Je suis venu rechercher mon chat, et apporter votre paye.

Malgré que la voix fut assez différente de celle resté dans ses souvenirs, elle reconnu sans peine l’homme qui avait pris une place trop importante dans son esprit. Il n’y eu aucune forme de surprise ou autre sur son visage. Le verrou tourna et elle sortit de la salle de bain, ses cheveux gouttant dans son dos et très peu vêtu. Elle se dirigea vers sa chambre et s’appuya contre le mur, observant avec calme la … chose qui se trouvait devant elle, ni humaine, ni animale. Son regard parcouru un instant la pièce et elle eut tôt fait de remarquer son journal fermé posé sur son chevet alors qu’elle savait l’avoir laissé sur son lit ouvert :

- Et bien je vois que pour un homme de principe et d’honneur, le fait de pénétrer par effraction qui plus est, chez une femme, ne semble pas vous poser plus de problèmes que ça voir le contraire.

Puis d’un geste du menton, désigna le livre :

- Vous pouvez le lire si ça vous intéresse, comme je vous l’ai déjà dit, je n’ai rien à cacher.

Une étincelle indescriptible passa dans un regard. Elle n’avait qu’une envie sous son masque d’indifférence, s’était de le foutre à la porte avec son chat et son argent pour avoir osé ainsi pénétrer dans son espace personnel sans y avoir été convié. Mais le fait de vouloir plus en apprendre sur lui et son éducation l’obligea à demander avec un certain sourire sarcastique :

- Vous prendrez bien une tasse de café maintenant que vous êtes ici.

Sans se soucier de sa tenue ou autre, elle entra dans sa chambre et lui tourna le dos avant de laisser tomber sa serviette et d’enfiler tranquillement ses vêtements comme s’il n’était pas présent. Après tout, si s’était tant que ça un gentleman, il se retournerait et au pire, elle s’en fichait et de ce qu’il pensait à cet instant et de quel effet ça lui faisait. Si en plus ça pouvait le mettre mal à l’aise, ça serait vraiment parfait. Ça lui apprendrait à entrer ainsi chez les gens. Et finalement, elle enfila ses derniers vêtements avant de se retourner vers lui en haussant les sourcils avec la naissance d’un sourire moqueur, attendant la suite.