[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La chronologie
Le résumé des épisodes précédents (avant la fermeture) Eté 1650 Le clan Ereshaï trouve une monture des fidèles de Zhäa blessée. La créature s'enfuit mais la rumeur se répand. Bien plus tard, en d'automne 1650, les hommes du Mâss retrouveront le cadavre. L'expertise révèlera les restes d'un lance qui n'est pas de facture archipelienne. Ces débris viennent des Terres de l’Errance, là où se trouve le peuple vénérant Morro (Dieu de la mort) et celui vénérant Jojoka (Dieux de la lumière)
Automne 1650 Des Torkos découvrent une planque de fidèles de Zhäa sur Mort-Dragon. Dans les fidèles de cette colonie se trouvent des Okanakis, des Torkos, des Mésorians, des membres du peuple de Morro et de Jojoka. Les Torkos, après avoir été sauvés par Bersok de cette épreuve, préviennent l'héritière d'Îleglace qui fera remonter l'information jusqu'au Mâss.
Début d'Hiver 1650 Les fidèles de Zhäa attaquent Valgöor. Pour sauver les siens Bersok fait renaître les Berserkers, mais sa magie atrophiée donne des résultats mitigés. Zhäa apparaît ensuite devant Bersok, accompagné de Méridine (qu'il a rallié sa cause) pour lui proposer un marché que celui-ci accepte : un pacte de non agression. L'armée de fidèles reculent devant les Torkos, (sur ordre de Zhäa pour faire croire à sa défaite). Valgöor est en ruine et le Dieu ours est décidé à réveiller l'animosité des Torkos envers les Mésorians. Il communique ce souhait aux siens via des rêves de rébellion qu'il leur envoie.
Hiver 1650 Les autorités mésoriannes sont mises au courant de l'attaque mais aussi du Retour de Bersok, des berserkers et du début de rébellion grondant. Le Mâss décide de faire une annonce publique à ces citoyens à propos de la menace que représente Zhäa et potentiellement Bersok, il affirme qu'il souhaite ouvrir le dialogue avec les Torkos car conserver l'unité face à la menace est sa priorité. Un couvre-feu est instauré et l'état d'alerte est annoncé. Chez les Okanakis, la nouvelle de l'attaque de Valgöor se répand et les vieilles alliances sont reforgées. On attend l'ennemi de pied ferme.
Le choix de Bersok - La trahison des TorkosPrintemps-été 1651 - Le calme qui annonce la tempête Une alliance entre les Elites et plusieurs champs Okanaki permet de mettre en place un siège de Mort-Dragon, qui débouche sur un succès : alors que les fidèles veulent fuir l'île, ils se font, pour la grande majorité, intercepter et tuer. On se prépare à une riposte de Zhäa, mais les fidèles ne referont pas surface de l'année...
Parallèlement, la division s’accrue chez les Torkos, entre ceux qui veulent se venger des Mésorians et ceux qui veulent les conserver en allié pour se préparer au combat contre Zhäa. En absence d'unicité et de représentants stables, les négociations avec les autorités Mésoriannes sont peu concluantes. Les groupuscules extrémistes prennent de l'ampleur, notamment un groupe qui se fait appeler La Griffe Noire mené par une Berserker totalement fidèle à Bersok qui prône l'ultra violence contre les Mésorians. Rassemblant de plus en plus de partisans, ils sont à l'origine de plusieurs attentats mineures qui altèrent les relation Torkos/Mésorians. Le commence d'esclaves commence à s'effondrer car les maitres n'ont plus confiance en leurs domestiques et escortes. Les libérations de Torkos se font en masse mais les Cités Libres restent des lieux précaires et la surpopulation les rend de plus en plus insalubres.
Automne 1651 - La Griffe Noire, premier groupe de rassemblement Torkos. Le groupuscule, approuvé par Bersok, devient majoritaire et de nombreux Torkos rejoignent ses rangs. Il promet la libération des Torkos de l'influence Mésorianne et le retour à la grandeur d'antan. C'est dans les rangs de ces rebelles que Bersok offre la magie des Berserkers. Pour être élu par le Dieu-Ours il faut lui sacrifier des vies Mésoriannes.
En face, la société Mésorianne souffre de l'effondrement du commerce d'esclave et de cette insécurité permanente. Dans la perspective de limiter les tensions, le Mâss annonce le début des démarches vers la fin de l'esclavage. Il fait les premiers pas vers une négociation avec la Griffe Noire dans le cadre de la reconnaissance des Torkos en tant que peuple libre.
Hiver 1651 - La trahison de la Griffe. Un échange "diplomatique" s'organise entre la Dirigeante de la Griffe noire et le Mâss. Mais alors qu'une grande partie des forces élites sont mobilisées pour l’occasion, des partisans de la Griffe en profitent pour perpétrer un attentat de grande ampleurs : plus de 10 temples d'Hygérie seront visés simultanément et les prêtresses sauvagement tuées et/ou violées. Les Négociations quand à elles tournent mal alors que des membres de La Griffe tentent, malgré l'omniprésence des élites, d'assassiner le Mâss (Il ressortira de l'attaque miraculé).
Ces actes cruels signerons la perte de la Griffe alors que leur cheffe sera grièvement blessée dans l'attaque contre le Mâss et que de nombreux de leurs partisans se retournent contre eux, se désolidarisant de leur action pour ne pas subir la vengeance d'Hygérie.
Les représailles seront sans précédents : La présence de Torkos dans les villes Mésoriannes devient interdite, la magie du soin ne leur est plus accordée et les élites se lancent dans une traque sanglante et sans merci de des membres du groupe.
Certains clans Okanakis apporteront leur soutien à cette "purge", désapprouvant le blasphème perpétré contre les filles d'Hygérie mais surtout l’égoïsme de Bersok alors que la menace de Zhäa plane toujours ...
Printemps 1652 - L'exode des Torkos. Alors qu'un climat de rejet règne envers les Torkos, plusieurs d'entre eux (dont les restes des membres de la Griffe) se lancent dans l'entreprise folle de partir en exode vers vers les îles de Göor (Terres d'origine des Torkos) en battissent leur propre bateau ou en volant ceux des Mésorians. L'idée est soufflée par Bersok qui veut préserver ces derniers fidèles de l'extinction, et malgré la dangerosité du voyage qui en perdra plus d'un, cela est l'opportunité pour beaucoup d'un nouveau départ... L'exode est donc massif.
La revanche de Zhäa - Tout vient à point à qui sait attendre...Si Zhäa n’a pas fait d’apparition sur Archipel pendant l’année 1651, les Archipeliens n’avaient pas, pour autant, baissé leur garde. Les Mésorians en particuliers avaient dépensé beaucoup de ressources pour essayer d’en savoir un maximum sur ce qu’il se passait hors des frontières d’Archipel. Ainsi, grâce à des émissaires régulièrement envoyés aux quatre coins de l’Océan de l’Oubli, ils avaient collecté de nombreuses connaissances sur l’ennemi. Ils savaient par exemple que Zhäa avait, ces dernières années, régulièrement attaqués les Terres de L’Errance où vivait le peuple de Morro et le Peuple de Jojoka. Avec le concours des Okanakis qui avaient mis au point de nouveaux objets magiques, ils avaient mis en place un système de rondes et sentinelles qui devait permettre de prévenir des attaques… Ainsi, lorsque Zhäa attaqua de nouveau, et bien qu’Archipel soit fragilisé par la guerre contre les Torkos et leur exode, le Dieu de la destruction se heurta à une résistance bien plus tenace qu’il ne l’avait prévu…
Début été 1652 – La défaite de Zhäa à la bataille de l’Oubli.
Après avoir suivi les déboire d’Archipel, Zhäa, qui sait que les Torkos ont quitté l’île se décide à frapper Archipel de nouveau. Son plan est simple : il souhaite
avant tout fragiliser les Mésorians.
Il est persuadé que la guerre des Mésorians contre les Torkos qu’il a provoqué a suffisamment affaibli son ennemi et qu’il n’aura qu’à venir
« cueillir » le peuple Mésorian. Il est aussi rassuré de savoir les Torkos loin d’Archipel. Il fait cependant une grosse erreur :
celle de méjuger le rôle des Okanakis et de leur magie. Une erreur qu’il payera chère le jour où il enverra une partie de armée attaquer Archipel…
En effet, grâce à des
nouveaux objets magiques façonnés par les Chemenn, les Archipeliens parviennent à prévoir
l’attaque du Dieu de la destruction : ils ont vu arriver de loin l’armée ennemie qui arrive par bateaux et montures vers leurs terres.
Rapidement, les forces Archipeliennes se mettent en mouvement et interceptent l’Armée de Zhäa en plein océan de l’Oubli. Une audace qu’il n’avait pas prévu. L’armée Archpelienne est formée de bateaux de combat Mésorians, équipés de
voiles de ventL’alliance entre la puissance des canons Mésorians et des objets magiques Okanakis (Vifs arcs, lames éternelles, peau de fer, sphères de désintégration etc...) avantagent les forces Archipeliennes (les bateaux de l’ennemi n’étant pas des bateaux de guerre).
Les fidèles sont contraint de prendre la fuite . Cette défaite provoquera une rage puissante chez le Dieu de la destruction.
Du côté Archipelien, cette victoire sera célébrée bien que de nombreux combattants trouvèrent la mort dans l’entreprise.
Fin-été 1652 – Le mariage de Darius Beauroix avec Siha Tiriet. C’est en cette fin d’été 1652 que le Mâss choisira une épouse : Dame Siha Tiriet. Mais son choix sera loin d’être appuyé. La jeune femme est en effet une ancienne prisonnière ayant purgée sa peine pour avoir assassiné son premier mari (car celui-ci la battait) et est déjà mère d’une enfant (Sally Tiriet). Pour beaucoup, l’arrivée de cette nouvelle Mêssine est un scandale et une menace : on craint que sa fille ait des prétentions sur le trône et qu’elle-même soit une menace pour le Mâss. Malgré ces ragots, c’est bien par amour que les deux jeune gens se sont unis.
Début printemps 1653 – Le complot contre la Mêssine Siha Beauroix. C’est avec sérieux que la nouvelle Mêssine avait pris en main son nouveau rôle. Grâce à son caractère affirmé et assumé et à l’effet bénéfique qu’elle a sur le Mâss (Chacun s’accorde pour dire que le caractère austère de l’homme c’est sensiblement amélioré depuis son mariage...), elle gagne en popularité, car elle intrigue et fascine à la fois. Mais ses ennemis sont toujours là...
Lors d’un voyage, alors qu’elle rendait visite à l’une des familles doyennes (seule), son bateau est pris dans une tempête. On prétendra qu’elle valsa par-dessus bord à cause des vagues, alors qu’elle y fut, en réalité, jetée par un traitre à couronne (cela n’a jamais été prouvé). Quoi qu’il en soit : on ne retrouva pas son corps et elle fut déclarée morte par noyade. Cette macabre annonce s’accompagna, quelques jours plus tard, d’une autre funeste nouvelle : on avait détecté une nouvelle arrivée massive de fidèles de Zhäa.
Début printemps 1653 – Le piège de Zhäa – La mort de Meridine Une nouvelle fois c’est par bateau qu’arrivèrent les fidèles. Mais cette fois, lorsque les troupes Archipeliennes (Mésorians et Okanakis) arrivèrent pour les mettre en déroute, Zhäa les attendait ou plutôt… Meridine, alliée à Zhäa et ancienne Déesse de la vie sous-marine. Face aux navires ennemis, elle utilisa son pouvoir : poussant les marins et les chasseurs à portée de son chant au suicide. L’effort lui coûtera la fin de son Essence et elle trouva la mort dans l’entreprise, mais l’effet sera là : les armées Archipeliennes, fortement impactées, devront fuir le combat, laissant débarquer les fidèles à l’est d’Opale. Les victimes du chant de Méridine seront nombreuses et parmi elle on comptera le Mâss Darius Beauroix. Le perte du couple Mâssenale, en l’espace de dix jours à peine, sera très dur pour la société Mésorianne qui sera alors extrêmement fragilisée. C’est un des plus proches conseillers du Mâss qui prendra la régence des terres. le temps que la jeune Sally Beauroix, la fille de Siha Beauroix (issue de son premier mariage) soit en âge de gouverner
Fin de printemps 1653 – La chute d’Opale. Une fois le pied posé sur l’Île du Sud, les fidèles attaqueront une campagne de colonisation massive. Ils commenceront à installer leurs campements, à attaquer les clans okanakis à portée, avançant inexorablement vers les terres Mésoriannes. Ils ne connaitront aucune défaite et en fin de printemps, ils envahissent la ville d’Opale et s’y investissent. Cette défaite provoque la panique chez tous les archipeliens. Les Mésorians sont dépassés et les doyens se retrouvent livrés à eux-mêmes quand le Régent est capturé par l’ennemi et Zhäaifié et que l’héritière est tuée.
été 1653 – La chute d’Îleval. Après Opale, c’est les îles jumelles qui subiront une colonisation de l’ennemi. Si Belhovre résiste, le domaine d’Îleval se fait grignoter par l’ennemi en soixante-dix jours à peine et tombe sous son contrôle.
La situation actuelle et cartographie : Automne 1653 Voilà plus de cent jours que l’armée de Zhäa a investi Îleval. Depuis, Belhovre, Îleglace et Epieux résistent comme elles le peuvent, mais les fidèles procèdent à des raids réguliers. Du côté mésorians, ils attaquent en premier les villages les moins bien protégées, mais étendent aussi leur raid aux clans Okanakis les plus esseulés. Le moral des archipeliens est au plus bas : cette guerre, contrairement à la première, est une guerre d’usure qu’ils sont conscients de perdre. Chaque domaine Mésorian est, à présent, son propre chef, mais tous s’entre-aident. Après la chute d’Opale, certains clans okanakis ont brisé leur alliance avec les Mésorians. Mais d’autres continuent de leur apporter leur concours. Ainsi, les villes mésoriannes les plus fortifiés accueillent les clans Okanakis qui acceptent de fournir en échange des chasseurs… On prie chaque jour le Créateur pour que cela s’arrête…