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| Une nouvelle version pour le contexte ? | |
| Auteur | Message |
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Le CréateurCompte fondateur Messages : 2716 Date d'inscription : 25/07/2012
| Sujet: Une nouvelle version pour le contexte ? 10/2/2014, 21:32 | |
| Salut les Archipeliens! Alors voilà, c'est une idée que j'avais depuis longtemps, réécrire le contexte pour le rendre plus intéressant et plus informatifs. Le début est identique à l'ancien, juste on a changé à partir de "projetez vous lecteur". J'aimerais votre avis. Savoir si je le met en ligne à la place de l'ancien. Si vous le trouvez mieux, identique, moins bien ... Bref vos avis, vos critiques ! La nouvelle version : - Citation :
- Comme beaucoup d'histoires, celle que je vais vous conter commence par "Il était une fois"...
Il était une fois, donc, un nouveau monde qui venait de naître de la volonté d'un Être Suprême. Cette nouvelle contrée était faite de terre, de feu, d'eau et de vent. Mais l'Être Suprême, que les anciens des peuples s'accordent à nommer "Le Créateur", désirait aller plus loin dans son projet. Ainsi d'une goutte de son sang il fit naître sur ce nouveau lieu la vie végétale et animale, puis il créa de sa main droite les Dieux et de sa main gauche les Hommes. Pour chaque ethnie humaine, il désigna un Dieu protecteur qu'elle devrait célébrer, car aux premiers il avait donné le pouvoir, et aux seconds la foi. Les Dieux devaient gérer son monde et le préserver du dysfonctionnement, et les Hommes en exploiter les ressources. Ensemble ils devaient faire prospérer sa création.
Après avoir donné ses instructions, le Créateur se retira et les laissa réaliser les tâches qu'il leur avait confiées.
Voici donc comment fût créé le Monde des Peuples. Mais ce n'est pas de ce vaste univers dont je voulais vous parler, mais plutôt d'une de ses petites parcelles, perdue au sein de l'océan de l'Oubli, qui fut appelée sobrement Archipel. Il s'agissait en effet d'un ensemble d'îles où évoluait originellement le peuple des Mésorians.
À présent lecteur projetez-vous ...
Année 450 du Monde des Peuples, sous le règne du Mâss Sarius.
C'est l'agitation dans les rues d'Opale, la capitale Mésorianne. «Une invasion ! », « Des étrangers, sur nos berges ! », « On nous attaque », voilà ce que les rumeurs clament haut et fort. Et bientôt dans les auberges on ne parle plus que de ça : l'arrivée des étrangers. On s'inquiète... De mémoire d'homme les terres d'Archipel n'ont jamais subi d'invasions, car la garde d’Élites veille : elle a toujours repoussé les ennemis en mer avant leur arrivée sur les côtes. Mais lorsqu'enfin le peuple Mésorian a l'occasion de voir arriver dans la capitale ces « étrangers », il comprend que la menace n'en est pas une. La délégation envoyée par les« envahisseurs » pour s'entretenir avec le Mâss est constituée d' hommes et des femmes amaigris, désarmés, qui avancent avec humilité vers le Palais, sous les yeux curieux des Opaliens. « Regardez, comme ils sont petits » remarquent certains. Pourtant une question trotte toujours dans les esprits : « Que viennent-il faire ici ? ». Tous attendent avec impatience l'audience du Mâss pour comprendre...
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La délégation se trouvait au centre de la pièce, sous l’œil sévère du Mâss Sarius Beauroix. Il venait de leur demander la raison de leur venue sur Archipel. Il y eu un moment de flottement avant qu'un des étrangers ne s'avance. Il était plutôt vieux, petit, habillé de cuir et de peaux de bête, et se présenta comme « Akiran, Chemeen dépositaire de la magie des Pierres, et élu par la Déesse Eliwha des Flux, pour représenter l'ensemble des clans de son peuple : les Okanakis ». Puis il commença à raconter leur histoire : l'île Grise, leur terre natale, était devenue capricieuse et dangereuse. Elle était, depuis plusieurs années, secouée par des tremblements de terre si violents que le sol s'ouvrait sous leurs pieds pour engloutir de larges portions de forêt dans des crevasses sans fond... Des centaines de clans avaient déjà péri avant que leur Déesse ne se présente à eux, leur exprimant sa crainte de les voir disparaître tous. Elle leur avait alors ordonné de se rassembler et de partir pour l'ouest. Elle les avait guidé jusqu'ici, pour venir les trouver eux, le peuple de la Déesse Hygérie de la Santé, les Mésorians, dans le but de leur demander asile. « Pourquoi accepterais-je de vous accueillir sur mes terres ? Qu'a votre peuple à offrir pour que nous l’autorisions à rester ? » Avait donc demandé le Mâss, persuadé qu'aucune réponse ne pouvait le satisfaire. Mais les Okanakis semblaient avoir prévu le coup. Ils s’avancèrent pour offrir leurs présents : à la Mêssine Orianne, épouse de Sarius, ils offrirent un diadème décoré de pierres aux scintillements irréels et à la beauté inégalée. Mais l'objet n'était pas juste d'une grande splendeur; il était aussi magique et, lorsque la dame le posa sur sa tête, il s'ajusta de lui même pour ceindre son front à la perfection. Au Mâss, les Okanakis firent don d'une épée baptisée « Offrande », aux propriétés toutes aussi exceptionnelles : elle pouvait prendre les proportions adaptées à son porteur, sa lame émettait une légère lumière, et son tranchant était insensible aux altérations du temps. Voilà ce que les Okanakis avaient à offrir : des objets magiques, façonnés par leurs Chemenns grâce à la Magie des pierres, qu'ils seraient prêts a commercer avec les Mésorians pour obtenir leur droit de rester.
C'est ainsi qu'au terme d'une alliance commerciale le Mâss accorda aux Okanakis le droit de prospérer sur les terres encore vierges de colonisation d'Archipel. Après consultation de la Déesse Hygérie, il autorisa même les prêtresses Hyrannes Mésoriannes à soigner leurs blessées grâce à l'Art du Soin dont elles étaient dépositaires.
La cohabitation fut aussi pacifique qu'escomptée, car les Okanakis établissaient leurs campements loin des villes Mésoriannes, et ne s'en approchaient que pour faire du troc. Ainsi mille ans passèrent, sans qu'Archipel ne vive d'autres événements majeurs. La routine s'était même installée entre les deux peuples quand l'histoire prit un nouveau tournant...
Hivers 1500, sous le règne du Mâss Adrius.
La guerre a été déclarée. Le peuple Torkos, fier et victorieux de multiples conflits contre d'autres peuples, venaient de débarquer face au Mâss et à son armée d’élites. Les légendes racontent que cet affrontement n'avait pas plus de raison valable qu'un défi entre Divinités... Que Bersok, Dieu de la Bestialité, jouait à envoyer ses Torkos combattre, piller, et voler d'autres peuples pour qu'ils affirment leur supériorité martiale aux yeux de tous. En ce triste jour, c'était à Hygérie, protectrice des Mésorians, qu'il avait envoyé son défi.
Les Torkos ne possédaient aucun raffinement. Larges d'épaules, hommes comme femmes, ils portaient des armes lourdes et grossières, poussaient des jurons, et crachaient des grossièretés destinées à asticoter la fierté de leurs ennemis. Ils étaient forts. Bien plus que tous les autres peuples. Et pire, leur guerrier-sorciers, les Berserker, possédaient la Magie de métamorphose et pouvaient prendre l'apparence d'ours, et de félins géants à la force décuplée. C'est pour cela qu'ils n'avaient jamais perdu, et pour cela que Bersok les pensait si invincibles. Mais cela allait bientôt changer. Car les Mésorians étaient un peuple organisé, discipliné, mais surtout plus résistant qu'aucun autre. Leurs blessés étaient soignés par leur Art du Soin pendant que les Torkos succombaient à leurs blessures. Leurs attaques stratégiques ne manquèrent pas de surprendre l'armée désorganisée des Torkos, dont la force brute ne suffisait plus pour reprendre le dessus. Ainsi au 90ème jour de bataille, Adrius et ses élites furent déclarés vainqueurs. Le Mâss fit prisonnier tous les Torkos encore valides.
« Pour votre cruauté et vos actes barbares envers les Peuples du Monde des Peuples, Je vous condamne, Torkos, à l’esclavage ! »
Annonça-t-il avant d'envoyer ses hommes sur la terre natale des vaincus afin de rapatrier le reste des leurs à Archipel. Il y eut évidemment des résistants, mais tous périrent sous l'épée...
Contre ce jugement sévère, Bersok ne se manifesta pas. Les hommes ne connaissent pas tous les secrets des Dieux, mais les plus vieux contes expliquent que, vexé de cette humiliante défaite, il renia son peuple, les laissa aux mains des Mésorians, et les priva de sa protection et de leur magie. Il errerait à présent sur terre, s'étant exilé du monde des Dieux car il ne supportait plus leurs railleries...
Un archipel, trois peuples, mais une seule histoire, la leur. Entre différences, tensions et alliances, ils leur faudra trouver l'équilibre juste. Car à l'horizon se dessine l'ombre noire d'une nouvelle et funeste épreuve qui va s'abattre sur eux... Ancienne version : - Citation :
Comme beaucoup d'histoires, celle que je vais vous conter commence par "Il était une fois"... Il était une fois, donc, un nouveau monde qui venait de naître de la volonté d'un Être Suprême. Cette nouvelle contrée était faite de terre, de feu, d'eau et de vent. Mais l'Être Suprême, que les anciens des peuples s'accordent à nommer "Le Créateur", désirait aller plus loin dans son projet. Ainsi d'une goutte de son sang il fit naître sur ce nouveau lieu la vie végétale et animale, puis il créa de sa main droite les Dieux et de sa main gauche les Hommes. Pour chaque ethnie humaine, il désigna un Dieu protecteur qu'elle devrait célébrer, car aux premiers il avait donné le pouvoir, et aux seconds la foi. Les Dieux devaient gérer son monde et le préserver du dysfonctionnement, et les Hommes en exploiter les ressources. Ensemble ils devaient faire prospérer sa création.
Après avoir donné ses instructions, le Créateur se retira et les laissa réaliser les tâches qu'il leur avait confiées.
Voici donc comment fût créé le Monde des Peuples. Mais ce n'est pas de ce vaste univers dont je voulais vous parler, mais plutôt d'une de ses petites parcelles, perdue au sein de l'océan de l'Oubli, qui fut appelée sobrement Archipel. Il s'agissait en effet d'un ensemble d'îles où évoluait originellement le peuple des Mésorians. À présent lecteur projetez-vous ...
Nous sommes en l'an 450, sous le règne du Mâss Sarius, quand sur les côtes Mésoriannes un millier de petits bateaux s'échouèrent sur le sable fin, leur ventres gonflés d'étrangers amaigris par leur longue traversée. Ces hommes étaient les Okanakis, un peuple aux allures de sauvage aux yeux "civilisés" des Mésorians. Pourtant, ce "débarquement" n'était pas une invasion mais une simple demande d'asile, car les Okanakis avaient quitté leur terre d'origine devenue impropre à la vie, à cause de violents tremblements de terre récurrents, pour rechercher un territoire d'adoption. C'est vers Archipel que leur Déesse protectrice les avait guidé.
On mena donc leurs représentants devant le Mâss afin de faire étudier leur requête. Le grand Sarius fut bien dérangé par l' idée de partager des terres où son peuple avait toujours prospéré seul. Aussi demanda-t-il sévèrement aux nouveau arrivants ce qu'ils pouvaient avoir à offrir pour qu'on leur donne le droit de vivre sur ces territoires encore sauvages. Il n'avait pas cru que les Okanakis pourraient répondre à cette insidieuse question, pourtant plusieurs de leurs membres, portant une large caisse, s'approchèrent alors de lui. Ils ouvrirent le premier petit coffre, laissant à l'assistance un instant d'incertitude, puis l'un d'eux en tira un objet soigneusement emballé dans un tissu souple. Il s'approcha de la femme du Mâss, La Mêssine, et posa un genou à terre en lui proposant le présent. La dame, intriguée, accepta d'y jeter un coup d’œil, et on lui dévoila la nature de l'objet. Il s'agissait d'un fin diadème, ornée de pierres précieuses tout à fait somptueuses, brillant de lueurs surnaturelles. Leurs éclats diffusaient une douce lumière ambrée, dansante comme si elle provenait d'une flammèche emprisonnée au cœur même le bijou. Le jeune femme, comme une bonne partie de l'assemblée, poussa un cri d’émerveillement. Mais la magie de l'objet semblait aller plus loin que le scintillement de ses ornements, car lorsqu'elle posa le diadème sur sa chevelure, celui ci adapta de lui-même sa taille pour ceindre sans trop de pression le front opalin de la Mêssine.
Puis un deuxième homme se présenta au Mâss, et lui offrit une épée. A l'instar du diadème, l'objet prit des proportions parfaites pour s'accorder à son nouveau propriétaire. Sa lame, lui expliqua-t-on, avait un fil plus fin que tout ceux que ces forgerons pourraient lui offrir. Et le temps jamais n'aurait d'emprise sur elle. Car elle était, comme le diadème, le fruit de la magie des pierres. Des objets uniques d'une valeur inestimable. Les Okanakis expliquèrent alors que si on leur accordait le droit de vivre ici, ils accepteraient de commercer leur objets magiques avec les Mésorians, et qu'ils feraient tout pour vivre en paix avec eux.
Voici donc, comment au terme d'une alliance commerciale on accorda aux Okanakis le droit de prospérer sur les terres encore vierges de colonisation. La cohabitation fut aussi pacifique qu'escompté, car les Okanakis établissaient leur campement loin des villes Mésoriannes, et ne s'en approchaient que pour faire du troc.
Ainsi mille ans passèrent, sans qu'Archipel ne vive d'autres événements majeurs. La routine s'était même installée entre les deux peuples quand l'histoire prit un nouveau tournant : celui de la guerre... Il existait en effet une autre ethnie : les Torkos, qui sillonnaient les mers à la recherche de terres attaquables. On racontait que jamais ils n'avaient connu de défaite, et que leur Dieu protecteur, Bersok, leur avait donné une magie capable de terrasser n'importe quelle armée... Leurs guerrier-magiciens, les Berserkers, possédaient la faculté de se changer en animaux massif à la force de dix hommes ! C'est donc contre les Mésorians que Bersok avait cette fois lancé son peuple. La légende raconte que cette guerre n'avait pas d'autre raison valable qu'un simple pari entre Dieux... C'était l'hiver 1500, quand le Mâss Adrius prépara ses troupes en affirmant être prêt pour le combat. Les histoires de cette épopée content toutes que perché sur son cheval, il souriait lorsque les barbares accostèrent non loin d'Opale, la capitale Mésorianne.
La guerre dura moins d'un mois au terme duquel la victoire des Mésorians était évidente. Leur organisation ordonnée ainsi que leur résistance physique plus haute que tous les autres peuples leur avait permis de rivaliser contre la force accrue du peuple Torkos. Pour la première fois de l'histoire du Monde des Peuples le peuple du Dieu Bersok avait perdu la guerre, et le Mâss Adrius jura que jamais les Torkos n'auraient plus l'occasion de piller les autres peuples. Il fit d'eux des esclaves au service de ses sujets en guise de dédommagement de cette guerre qui avait privé trop de femmes de leurs époux. Il alla même jusqu'à envoyer ses troupes chercher le reste des Torkos sur leur terre d'origine pour les rapatrier, et tuer les résistants. Contre ce jugement sévère, le Dieu Bersok ne se manifesta pas. Les hommes ne connaissent pas tous les secrets des Dieux, mais les plus vieux contes expliquent que le Dieu Bersok, vexé de cette humiliante défaite, renia son peuple, les laissa aux mains des Mésorians, et les priva de sa protection et de leur magie. Il errerait à présent sur terre, s'étant exilé du monde des Dieux car il ne supportait plus leurs railleries...
Un archipel, trois peuples, mais une seule histoire, la leur. Entre différences, tensions et alliances, ils leur faudra trouver l'équilibre juste. Car à l'horizon se dessine l'ombre noire d'une nouvelle et funeste épreuve qui va s'abattre sur eux... |
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| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 10/2/2014, 21:40 | |
| Alors moi je trouve l'ancienne plus synthétique. Plus accessible à un nouveau qui arrive sur le forum. En revanche la nouvelle version, je la verrai bien ralongée dans un section "codex" ou " ecrits des anciens" quelques chose qui permettrai d'approfondir l'univers pour ceux qui veulent.
Vala ^^ ça c'est mon avis. |
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| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 10/2/2014, 22:14 | |
| Je suis d'accord avec Ellrhann. Autant j'aime beaucoup la nouvelle version et je pense que ce serait sympa de pouvoir en faire quelque chose, autant en terme de "premier contact" avec le forum, l'ancienne me paraît bien plus accessible et "agréable" pour entrer dans le contexte en douceur. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 10/2/2014, 22:23 | |
| Pareil qu'au dessus. La nouvelle version est très bien, plus complète. Mais pour un nouvel arrivant, elle risque d'être trop "dense" et ça peut en rebuter certains. |
| | | Le CréateurCompte fondateur Messages : 2716 Date d'inscription : 25/07/2012
| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 10/2/2014, 22:54 | |
| Le "problème" c'est que ce nouveau texte dit exactement la même chose que l'ancien, donc je ne vois pas l’intérêt de le replacer. Personnellement, je trouve l'ancienne version ultra ... "chiante", trop descriptive, sans suspense, sorti d'un livre d'histoire... d'où mon désir de donner un côté plus immersif dans ce nouveau texte. Après, concrètement j'aimerais que vous m'indiquiez les passages qui peuvent vous sembler difficile à appréhender pour une première lecture. Je connais l'univers par coeur, donc j'ai pas de problème, mais vous avez raison le texte et à écrire pour des nouveaux. J'aimerais remanier avec vous cette nouvelle version. Je vais aussi faire le faire lire par des gens qui ne sont pas du forum pour avoir un avis extérieur que je vous ferais partager |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 11/2/2014, 02:24 | |
| Je trouves que la nouvelle version est plus captivante. Étant nouvellement arrivée, je peux te dire que j'aurais plus apprécier cette version que l'ancienne. Puisqu'elle est plus dynamique, on entre plus dans le contexte ce qui nous fais écarter le fait que ce soit dense et puis les gens qui RP, généralement, aime la lecture donc... Également ce que je trouves bien dans cette nouvelle version c'est que l'on s'imagine mieux les race et leur tempérament. On voit mieux l'univers d'Archipel et ce qui l'a bâtit au fils des siècles. Si tu me donne le choix je te dirais la premier sans hésiter, plus intéressante Ce n'est que mon opinion n'empêche |
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| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 11/2/2014, 09:51 | |
| Comme les autres. Je trouve personnellement que la première version (le 2ème texte donc) est plus percutante. On va à l'essentiel, et c'est ce qui est primordial lors d'une toute première lecture. Dans celle qui est réécrite, on trouve beaucoup de détails superflus -intéressants toutefois, je ne remets pas ça en cause. Par exemple : - Nouvelle version a écrit:
- C'est l'agitation dans les rues d'Opale, la capitale Mésorianne. «Une invasion ! », « Des étrangers, sur nos berges ! », « On nous attaque », voilà ce que les rumeurs clament haut et fort. Et bientôt dans les auberges on ne parle plus que de ça : l'arrivée des étrangers. On s'inquiète... De mémoire d'homme les terres d'Archipel n'ont jamais subi d'invasions, car la garde d’Élites veille : elle a toujours repoussé les ennemis en mer avant leur arrivée sur les côtes.
Mais lorsqu'enfin le peuple Mésorian a l'occasion de voir arriver dans la capitale ces « étrangers », il comprend que la menace n'en est pas une. La délégation envoyée par les« envahisseurs » pour s'entretenir avec le Mâss est constituée d' hommes et des femmes amaigris, désarmés, qui avancent avec humilité vers le Palais, sous les yeux curieux des Opaliens. « Regardez, comme ils sont petits » remarquent certains. Pourtant une question trotte toujours dans les esprits : « Que viennent-il faire ici ? ». Tous attendent avec impatience l'audience du Mâss pour comprendre... remplace : - Ancienne a écrit:
- Nous sommes en l'an 450, sous le règne du Mâss Sarius, quand sur les côtes Mésoriannes un millier de petits bateaux s'échouèrent sur le sable fin, leur ventres gonflés d'étrangers amaigris par leur longue traversée. Ces hommes étaient les Okanakis, un peuple aux allures de sauvage aux yeux "civilisés" des Mésorians. Pourtant, ce "débarquement" n'était pas une invasion mais une simple demande d'asile, car les Okanakis avaient quitté leur terre d'origine devenue impropre à la vie, à cause de violents tremblements de terre récurrents, pour rechercher un territoire d'adoption. C'est vers Archipel que leur Déesse protectrice les avait guidé.
C'est plus long dans la réécriture, et ce n'est rallongé que par des détails qui n'apprennent pas grand chose (au contraire, on en serait presque perdus par les détails, car on rajoute de nouvelles choses : le nom de la Capitale, la taille des Okanis, la Garde d'élite... etc. Quand on ne connaît pas du tout un univers, il faut penser que chaque détail ajouté est un plus qu'il faut ingurgiter pour le lecteur... qui peut vite se perdre - enfin, c'est mon avis) Idem là : - Nouvelle version a écrit:
- Il y eu un moment de flottement avant qu'un des étrangers ne s'avance. Il était plutôt vieux, petit, habillé de cuir et de peaux de bête, et se présenta comme « Akiran, Chemeen dépositaire de la magie des Pierres, et élu par la Déesse Eliwha des Flux, pour représenter l'ensemble des clans de son peuple : les Okanakis ». [Est-ce vraiment nécessaire de rajouter tous ces détails ? Le lecteur ne va-t-il pas se perdre ?]
Puis il commença à raconter leur histoire : l'île Grise, leur terre natale, était devenue capricieuse et dangereuse. Elle était, depuis plusieurs années, secouée par des tremblements de terre si violents que le sol s'ouvrait sous leurs pieds pour engloutir de larges portions de forêt dans des crevasses sans fond... Des centaines de clans avaient déjà péri avant que leur Déesse ne se présente à eux, leur exprimant sa crainte de les voir disparaître tous. Elle leur avait alors ordonné de se rassembler et de partir pour l'ouest. Elle les avait guidé jusqu'ici, pour venir les trouver eux, le peuple de la Déesse Hygérie de la Santé, les Mésorians, dans le but de leur demander asile. Ce paragraphe nous apprend beaucoup de choses intéressantes... mais encore une fois, c'est long, plein de détails... L'histoire des Okanis, ne peut-on pas simplement la retrouver dans la description des peuples ? Je préfère nettement la version percutante de l'ancienne version, où le Mass va à l'essentiel en demandant où pourrait se trouver son intérêt. En revanche, je préfère la description des présents Okanis de la nouvelle version : - Nouvelle version a écrit:
- Ils s’avancèrent pour offrir leurs présents : à la Mêssine Orianne, épouse de Sarius, ils offrirent un diadème décoré de pierres aux scintillements irréels et à la beauté inégalée. Mais l'objet n'était pas juste d'une grande splendeur; il était aussi magique et, lorsque la dame le posa sur sa tête, il s'ajusta de lui même pour ceindre son front à la perfection.
Au Mâss, les Okanakis firent don d'une épée baptisée « Offrande », aux propriétés toutes aussi exceptionnelles : elle pouvait prendre les proportions adaptées à son porteur, sa lame émettait une légère lumière, et son tranchant était insensible aux altérations du temps. Voilà ce que les Okanakis avaient à offrir : des objets magiques, façonnés par leurs Chemenns grâce à la Magie des pierres, qu'ils seraient prêts a commercer avec les Mésorians pour obtenir leur droit de rester. qui remplace : - Ancienne a écrit:
- Il s'approcha de la femme du Mâss, La Mêssine, et posa un genou à terre en lui proposant le présent. La dame, intriguée, accepta d'y jeter un coup d’œil, et on lui dévoila la nature de l'objet. Il s'agissait d'un fin diadème, ornée de pierres précieuses tout à fait somptueuses, brillant de lueurs surnaturelles. Leurs éclats diffusaient une douce lumière ambrée, dansante comme si elle provenait d'une flammèche emprisonnée au cœur même le bijou.
Le jeune femme, comme une bonne partie de l'assemblée, poussa un cri d’émerveillement. Mais la magie de l'objet semblait aller plus loin que le scintillement de ses ornements, car lorsqu'elle posa le diadème sur sa chevelure, celui ci adapta de lui-même sa taille pour ceindre sans trop de pression le front opalin de la Mêssine.
Puis un deuxième homme se présenta au Mâss, et lui offrit une épée. A l'instar du diadème, l'objet prit des proportions parfaites pour s'accorder à son nouveau propriétaire. Sa lame, lui expliqua-t-on, avait un fil plus fin que tout ceux que ces forgerons pourraient lui offrir. Et le temps jamais n'aurait d'emprise sur elle. Car elle était, comme le diadème, le fruit de la magie des pierres. Des objets uniques d'une valeur inestimable. Les Okanakis expliquèrent alors que si on leur accordait le droit de vivre ici, ils accepteraient de commercer leur objets magiques avec les Mésorians, et qu'ils feraient tout pour vivre en paix avec eux. Paradoxe, la nouvelle description de ce passage est mieux formulée, plus courte et va à l'essentiel. Ensuite, la transition est plus fluide dans l'ancienne version : - Ancienne a écrit:
- Ainsi mille ans passèrent, sans qu'Archipel ne vive d'autres événements majeurs. La routine s'était même installée entre les deux peuples quand l'histoire prit un nouveau tournant : celui de la guerre...
De la nouvelle version, je préfère en revanche le passage où le Mâss s'exprime directement, comme pour les Okanis. C'est plus dynamique : - Nouvelle a écrit:
- Leurs attaques stratégiques ne manquèrent pas de surprendre l'armée désorganisée des Torkos, dont la force brute ne suffisait plus pour reprendre le dessus. Ainsi au 90ème jour de bataille, Adrius et ses élites furent déclarés vainqueurs. Le Mâss fit prisonnier tous les Torkos encore valides.
« Pour votre cruauté et vos actes barbares envers les Peuples du Monde des Peuples, Je vous condamne, Torkos, à l’esclavage ! »
Annonça-t-il avant d'envoyer ses hommes sur la terre natale des vaincus afin de rapatrier le reste des leurs à Archipel. Il y eut évidemment des résistants, mais tous périrent sous l'épée... qui remplace : - Citation :
- Leur organisation ordonnée ainsi que leur résistance physique plus haute que tous les autres peuples leur avait permis de rivaliser contre la force accrue du peuple Torkos. Pour la première fois de l'histoire du Monde des Peuples le peuple du Dieu Bersok avait perdu la guerre, et le Mâss Adrius jura que jamais les Torkos n'auraient plus l'occasion de piller les autres peuples. Il fit d'eux des esclaves au service de ses sujets en guise de dédommagement de cette guerre qui avait privé trop de femmes de leurs époux. Il alla même jusqu'à envoyer ses troupes chercher le reste des Torkos sur leur terre d'origine pour les rapatrier, et tuer les résistants.
Désolé pour ce gros pavé, mais tu voulais des détails ... En conclusion, je préfère l'ancienne version, qui est plus percutante. La nouvelle se perd trop dans des détails, que nous, joueurs, nous apprécions, mais le nouveau lecteur sera peut-être perdu par trop de superflu. En revanche, certains passages de l'ancienne version pourraient être améliorés car dans la nouvelle version, certains passages sont mieux que dans l'ancienne (comme par exemple, quand le Mâss parle de vive voix). Vala |
| | | Le CréateurCompte fondateur Messages : 2716 Date d'inscription : 25/07/2012
| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 11/2/2014, 17:38 | |
| Non tu n'as pas à t'excuser Einar, au contraire ça éclair un peu plus ma lanterne. Je prend note, je prend note !
Je vais essayer de réduire alors la masse des infos que j'ai mise, en gardant le même style de rédaction.
Après, je pense aussi que le prochain contexte sera aussi "illustré". Pour donner une idée visuelle de la chose. Donc, ça me permettrais peut être de diminuer la charge informationelle sur les descriptions, car avec les images, on aura l'info en visuelle. (C'est hyper clair ce que je viens de dire mais pas grave xD) |
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| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 11/2/2014, 21:32 | |
| Content d'avoir pu être utile J'apprécie l'idée des illustrations ^^ |
| | | Le CréateurCompte fondateur Messages : 2716 Date d'inscription : 25/07/2012
| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 11/2/2014, 22:56 | |
| Suite a vos remarque j'ai adapté pour que ça donne ça (le texte n'est pas encore corrigé) - Citation :
- Comme beaucoup d'histoires, celle que je vais vous conter commence par "Il était une fois"...
Il était une fois, donc, un nouveau monde qui venait de naître de la volonté d'un Être Suprême. Cette nouvelle contrée était faite de terre, de feu, d'eau et de vent. Mais l'Être Suprême, que les anciens des peuples s'accordent à nommer "Le Créateur", désirait aller plus loin dans son projet. Ainsi d'une goutte de son sang il fit naître sur ce nouveau lieu la vie végétale et animale, puis il créa de sa main droite les Dieux et de sa main gauche les Hommes. Il donna aux premiers le pouvoir et aux seconds la foi. Puis il confia à chaque Divinité une ethnie humaine à laquelle elle serait liée pour l'éternité.
Le Créateur décida que les Dieux devaient gérer son monde et le préserver du dysfonctionnement, et que les Hommes devraient en exploiter les ressources. Ensemble, et grâce à leur union, ils devaient faire prospérer sa création.
Après avoir donné ces instructions, il se retira et les laissa aux les tâches qu'il leur avait confiées.
Voici donc comment fût créé le Monde des Peuples. Mais ce n'est pas de ce vaste univers dont je voulais vous parler, mais plutôt d'une de ses petites parcelles, perdue au sein de l'océan de l'Oubli, qui fut appelée sobrement Archipel. Il s'agissait en effet d'un ensemble d'îles où évoluait originellement le peuple des Mésorians.
À présent lecteur projetez-vous ...
Année 450 du Monde des Peuples, sous le règne du Mâss Sarius.
C'est l'agitation dans les rues la capitale Mésorianne. «Une invasion ! », « Des étrangers, sur nos berges ! », « On nous attaque », voilà ce que les rumeurs clament haut et fort. Et bientôt dans les auberges on ne parle plus que de ça : l'arrivée des étrangers. Mais rapidement des messagers viennent tempérer la situation : les intrus sont venus en paix et demandent à s’entretenir avec le Mâss. On leur accorde cette faveur, et une poignée de jour plus tard, leur délégation constituée d' hommes et des femmes amaigris et désarmés, traversèrent la capitale sous les yeux curieux des Mésorians. « Regardez, comme ils sont petits » remarquent certains, « Paraîtrait que ce sont les Okanakis, de la Déesse Eliwha des Flux, » expliquent d'autres. Pourtant une question se pose toujours « Que viennent-ils faire ici ? ».
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La délégation se trouvait au centre de la pièce, sous l’œil sévère du Mâss Sarius Beauroix qui venait de leur demander la raison de leur venue sur Archipel. Il y eu un moment de flottement puis l'un des Okanakis s'avança et commença à raconter leur histoire : l'île Grise, leur terre natale, était devenue capricieuse et dangereuse. Elle était, depuis plusieurs années, secouée par des tremblements de terre si violents que le sol s'ouvrait sous leurs pieds pour engloutir de larges portions de forêt dans des crevasses sans fond... Des centaines de clans avaient déjà péri avant que leur Déesse ne se présente à eux, leur exprimant sa crainte de les voir disparaître tous. Elle leur avait alors ordonné de se rassembler et de partir pour l'ouest. Elle les avait guidé jusqu'ici, pour venir les trouver eux, le peuple de la Déesse Hygérie de la Santé, les Mésorians, dans le but de leur demander asile. « Pourquoi accepterais-je de vous accueillir sur mes terres ? Qu'a votre peuple à offrir pour que nous l’autorisions à rester ? » Avait donc demandé le Mâss, persuadé qu'aucune réponse ne pouvait le satisfaire. Mais les Okanakis semblaient avoir prévu le coup. Ils s’avancèrent pour offrir leurs présents : à la Mêssine Orianne, épouse de Sarius, ils offrirent un diadème décoré de pierres aux scintillements irréels et à la beauté inégalée. Mais l'objet n'était pas juste d'une grande splendeur; il était aussi magique et, lorsque la dame le posa sur sa tête, il s'ajusta de lui même pour ceindre son front à la perfection. Au Mâss, les Okanakis firent don d'une épée baptisée « Offrande », aux propriétés toutes aussi exceptionnelles : elle pouvait prendre les proportions adaptées à son porteur, sa lame émettait une légère lumière, et son tranchant était insensible aux altérations du temps. Voilà ce que les Okanakis avaient à offrir : des objets magiques, façonnés par leurs Chemenns grâce à la Magie des pierres, qu'ils seraient prêts a commercer avec les Mésorians pour obtenir leur droit de rester.
C'est ainsi qu'au terme d'une alliance commerciale le Mâss accorda aux Okanakis le droit de prospérer sur les terres encore vierges de colonisation d'Archipel. La cohabitation fut aussi pacifique qu'escomptée, car les Okanakis établissaient leurs campements loin des villes Mésoriannes, et ne s'en approchaient que pour faire du troc. Ainsi mille ans passèrent, sans qu'Archipel ne vive d'autres événements majeurs. La routine s'était même installée entre les deux peuples quand l'histoire prit un nouveau tournant...
Hivers 1500, sous le règne du Mâss Adrius.
La guerre a été déclarée. Le peuple Torkos, fier et victorieux de multiples conflits contre d'autres peuples, venaient de débarquer face au Mâss et à son armée. Les légendes racontent que cet affrontement n'avait pas plus de raison valable qu'un défi entre Divinités... Que Bersok, Dieu de la Bestialité, jouait à envoyer ses Torkos combattre, piller, et voler d'autres peuples pour qu'ils affirment leur supériorité martiale aux yeux de tous. En ce triste jour, c'était à Hygérie, protectrice des Mésorians, qu'il avait envoyé son défi.
Les Torkos ne possédaient aucun raffinement. Larges d'épaules, hommes comme femmes, ils portaient des armes lourdes et grossières, poussaient des jurons, et crachaient des grossièretés destinées à asticoter la fierté de leurs ennemis. Ils étaient forts. Bien plus que tous les autres peuples. Et pire, leur guerrier-sorciers, les Berserker, possédaient la Magie de métamorphose et pouvaient prendre l'apparence d'ours ou de félins géants à la force décuplée. C'est pour cela qu'ils n'avaient jamais perdu, et pour cela que Bersok les pensait si invincibles. Mais cela allait bientôt changer. Car les Mésorians étaient un peuple organisé, discipliné, mais surtout plus résistant qu'aucun autre. Leurs blessés étaient soignés par leurs prêtresses et leur magie du Soin pendant que les Torkos, eux, succombaient à leurs blessures. Leurs attaques stratégiques ne manquèrent pas de surprendre l'armée désorganisée des Torkos, dont la force brute ne suffisait plus pour reprendre le dessus. Ainsi au 90ème jour de bataille, Adrius et ses hommes furent déclarés vainqueurs. Le Mâss fit prisonnier tous les Torkos encore valides.
« Pour votre cruauté et vos actes barbares envers les Peuples du Monde des Peuples, Je vous condamne, Torkos, à l’esclavage ! »
Annonça-t-il avant d'envoyer ses hommes sur la terre natale des vaincus afin de rapatrier le reste des leurs à Archipel. Il y eut évidemment des résistants, mais tous périrent sous l'épée...
Contre ce jugement sévère, Bersok ne se manifesta pas. Les hommes ne connaissent pas tous les secrets des Dieux, mais les plus vieux contes expliquent que, vexé de cette humiliante défaite, il renia son peuple, les laissa aux mains des Mésorians, et les priva de sa protection et de leur magie. Il errerait à présent sur terre, s'étant exilé du monde des Dieux car il ne supportait plus leurs railleries...
Un archipel, trois peuples, mais une seule histoire, la leur. Entre différences, tensions et alliances, ils leur faudra trouver l'équilibre juste. Car à l'horizon se dessine l'ombre noire d'une nouvelle et funeste épreuve qui va s'abattre sur eux... |
| | | Le CréateurCompte fondateur Messages : 2716 Date d'inscription : 25/07/2012
| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 18/2/2014, 22:59 | |
| Je up par ici, la dernière version proposée est-elle mieux ? |
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| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 19/2/2014, 01:26 | |
| Moi je la trouve cool ! =) |
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| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 19/2/2014, 01:30 | |
| Pareil je l'aime beaucoup comme ça o/ |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 19/2/2014, 14:59 | |
| Je l'aime bien Elle garde son dynamisme et est moins dense pour ceux qui n'aimait pas la densité de la dernière version. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? 19/2/2014, 15:01 | |
| Pareil qu'au dessus, c'est plus détaillé sans être trop chargé. J'aime bien |
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| Sujet: Re: Une nouvelle version pour le contexte ? | |
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| | | | Une nouvelle version pour le contexte ? | |
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