IDENTITE Prama UlfekTorkos - Domestique dans un bordel d'ÎlevalLieu de naissance : Îleglace | Âge du personnage : 27 | Lieu d'habitation :
Îleval |
PHYSIQUETaille : | Poids : | Couleur des yeux : |
1m68 | 55kg | Gris de Payne |
Couleur de la peau: | Couleur des cheveux : | Longueur des cheveux: |
Légèrement hâlée | Brun foncé | Longs, jusqu'aux seins |
Description physique générale de votre personnage :Prama, comme tout Torkos qui se respecte, possède une force légèrement supérieure à la moyenne qui se manifeste par une silhouette élancée et finement musclée qui pourrait parfois faire oublier que ses ancêtres étaient un peuple de puissants guerriers barbares. Ses petites mains gardent la trace des nombreuses années de travail en tant que domestique et ne sont plus aussi douces qu'auparavant bien qu'elle tente d'en prendre soin au maximum.
Son teint légèrement hâlé s'accorde parfaitement avec ses longs cheveux bruns qui ondulent jusqu'au milieu de son dos. Un visage fin agrémenté de grands yeux gris foncé finissent le tableau.
En tant que domestique, Prama porte souvent des tenues simples et pratiques, sans fioritures, qui lui permettent aussi de se démarquer des filles de joie qu'elle côtoie à longueur de journée.
MENTALQue peut penser un inconnu de votre personnage:Si quelqu'un croise Prama à la maison close, il peut autant être attiré par sa beauté que rebuté par la froideur et l'indifférence qu'elle dégage. S'il s'approche pour l'aborder et lui demander si elle est libre pour la soirée, il risque de ne pas être déçu ! Car la demoiselle a un tempérament vif et n'hésite pas à rabrouer -le plus poliment possible- les clients qui oseraient la confondre avec une catin.
Hors du bordel, Prama aura déjà un air un peu plus détendu et souriant. Si elle ne vous prête pas de mauvaises intentions, elle se montrera agréable et même serviable. Et ce, tant que vous ne la prenez pas pour une imbécile.
Et dans le dernier cas de figure, si quelqu'un tombe sur Prama quand elle est avec son fils, il ne pourra que voir une mère attentionnée et câline qui s'occupe attentivement de celui qu'elle considère comme son trésor.
Comment ses proches décriraient votre personnage :Sérieuse, sans aucun doute. Prama fait toujours les choses consciencieusement, elle déteste que son travail soit mal fait et elle peut y passer des heures si nécessaire.
Ordonnée, aussi. En tant que domestique, elle doit veiller à ce que tout soit toujours impeccable sur son lieu de travail mais elle l'applique aussi à sa sphère personnelle. Tout objet doit être rangé selon une logique bien à elle et les grains de poussière sont bannis de ses meubles.
Adroite, bien sur. Des années de travail ont fait d'elle une domestique plutôt douée qui ne rechigne pas à la tâche.
Têtue, tout de même. Mieux vaut avoir préparé ses arguments quand on veut la contredire et ce, même si c'est elle qui à tord !
Tous s'accorderont pour dire que Prama a un bon fond et qu'on peut toujours compter sur elle.
Intérieurement comment se décrirait votre personnage : :Prama, c'est une jeune femme qui a su accepter son « destin ». Depuis qu'elle a quitté ses parents et son île natale, elle essaie de se construire une vie de son côté, comme beaucoup de monde en fait. En fait, Prama se considère comme une personne normale, sans égo surdimensionné ni intelligence remarquable ou encore beauté extraordinaire. Tout ce qu'elle souhaite, c'est d'avoir une vie paisible et la plus heureuse possible.
Elle sait qu'on dit d'elle qu'elle est trop distante et surement un peu hautaine. Pourtant, au fond, elle pense être quelqu'un de bien. Ce n'est qu'un air qu'elle se donne pour se protéger et ne pas être blessée. A défaut d'être véritablement forte, elle agit comme si elle l'était pour ne pas se faire marcher dessus et donner le bon exemple à son fils. Et il faut dire qu'elle aime bien manier les mots, ils sont parfois plus efficaces qu'une bonne tarte dans la tronche.
Il faut dire aussi qu'elle déteste qu'on la prenne pour une catin même si elle s'entend bien avec plusieurs d'entre elles et respecte leur mode de vie. C'est juste qu'elle a une vision bien plus traditionnelle et moins libertine des relations. Assez comique pour quelqu'un qui a eu un enfant hors mariage non ? Mais bon, cette petite « mésaventure » lui aura au moins appris à se méfier des hommes et à éviter les histoires sans lendemain... Depuis, on va dire qu'elle a rangé au placard son côté fleur bleue.
Aujourd'hui, la seule chose qui l’intéresse, c'est de s'occuper de son fils qu'elle cajole depuis le premier jour. Pour lui, elle serait prête à tout : c'est lui sa priorité numéro un.
Globalement que pense votre personnage des deux autres peuples ? : :Mésorians :
Qu'en pense-t-elle ? Pas grand chose en fait. Elle ne les déteste pas vraiment pour la situation de son peuple car après tout, les Torkos ont perdu à cause de la vanité de leur Dieu. Il faut assumer ses erreurs. Puis, ils auraient probablement fait la même chose si les rôles avaient été inversés...
Par contre, ils remonteraient dans son estime s'ils mettaient fin à l'esclavage. Après plus d'un siècle et demi de servitude, elle estime que la punition n'a plus vraiment de valeur puisque même les descendants des envahisseurs sont décédés depuis bien longtemps. Quel est alors l’intérêt de continuer ?
Okanakis :
Elle n'a pas l'occasion d'en croiser souvent, ce ne sont pas vraiment les principaux clients du bordel dans lequel elle travaille. Les seuls qu'elle ait jamais rencontrés vendaient des babioles plutôt fascinantes sur le marché. Ils ont l'air de connaître énormément de choses et elle aimerait bien discuter avec l'un deux. Notamment pour entendre le récit d'un de ses voyages, signe d'une liberté qu'elle leur envie tant.
BIOGRAPHIEVision d'ensemble des relations que votre personnage entretient avec son entourage (amis, famille, maître ...)
Côté famille :
Son père: A la mort de sa mère, Prama rompit tout contact avec son père qu'elle tenait pour responsable de celle-ci. Il aurait du être là pour la soutenir... Puis en grandissant, elle a réalisé qu'elle s'était montrée terriblement injuste avec lui et a décidé de renouer le contact. Ils ne s'écrivent pas souvent, son père étant souvent sur les routes comme escorte mais elle pense avoir compris qu'il a rencontré quelqu'un d'autre.
Sa mère : Aujourd'hui décédée, c'était une femme pleine de vie, toujours aux petits soins avec sa fille. Toutes les deux s'entendaient le mieux du monde.
Dregan Ulfek : Son fils. Son trésor aussi inattendu qu'adoré. Maintenant âgé d'un peu plus de 3 ans, il vit avec sa mère qui l'élève seule. Il passe la plupart du temps en compagnie des « bâtards » des catins du bordel qui logent à un autre étage, à l'abris des regards. De temps en temps, Prama le dépose chez un couple de vieux paysans pour le sortir de la maison close qui n'est surement pas le meilleur endroit pour élever un enfant.
Saika Vangal : Toutes les deux ne se connaissent pas et n'ont jamais entendu parler l'une de l'autre, mais elles ont le même père qui leur a offert à chacune une breloque en forme de cœur.
Côté amis :
Calliopée Kanpios : A l'arrivée de Calliopée dans le bordel, on ne peut pas dire que Prama l'appréciait beaucoup. En fait, elle ne le supportait pas. Cette espèce de petite prétentieuse exaspérante lui tapait sur le système et le fait aussi qu'elle ait choisi délibérément de faire ce métier lui paraissait complètement aberrent. Pourtant, lorsqu'on lui confia le ménage des chambres des Roses d'Orion dont fait partie Calliopée, elle découvrit un autre aspect de sa personnalité. Et de manière plus ou moins inconsciente, les deux jeunes femmes aux caractères si différents sont devenues amies. Dès qu'elles ont un peu de temps, elles le passent ensemble à discuter de choses et d'autres. Petit détail qui amuse beaucoup Prama, c'est la tête que fait Calli quand Dregan est dans les parages.
Le couple Louvart : Un couple de vieux paysans à qui elle a rendu service par le passé qui n'hésitent pas à l'accueillir elle et son fils quand on lui laisse sa journée. Le petit les considère presque comme ses grands-parents.
Les autres :
Bronco : En 1646, Prama et lui ont entretenu une relation alors que l'escorte était de passage à Îleval pendant un peu plus d'une semaine. Tous deux étaient conscients que cette aventure n'aurait pas de lendemain, peut-être lui plus qu'elle. Les choses auraient pu retrouver leur cours habituel, mais c'était sans compter sur le fruit de leur union éphémère. En effet, neuf mois plus tard elle mettait au monde leur petit garçon, Dregan. Jusqu'à aujourd’hui, elle n'a jamais eu l'occasion de revoir Bronco pour le lui présenter.
Hélios Orion : Le patron du bordel dans lequel elle travaille. Prama et lui ne s'apprécient pas vraiment mais ne se détestent pas non plus. Tant qu'elle fait son travail correctement, il la laisse tranquille. Par contre, depuis la naissance de son fils, il a une petite tendance à lui rajouter du travail sous prétexte qu'ils ont une bouche de plus à nourrir à cause d'elle.
Son histoire : Il y a bien longtemps, dans la maison de commerçants aisés d'Îleglace, une petite fille voyait le jour. Autour d'elle, résonnaient des exclamations de joie et se dessinaient de grands sourires qu'elle ne pouvait pas encore distinguer ; Prama venait de faire son entrée sur la scène de la vie.
Fille d'une domestique et d'un escorte Torkos, Prama grandit dans une petite maisonnette, non loin de celle de leurs maitres, un couple de commerçants de matériaux de construction pour les habitations. Sa mère étant occupée la plupart du temps en journée, elle laissait la fillette jouer avec les enfants un peu plus âgés des maitres. Amusés par sa petite taille et son jeune âge, ils aimaient bien se mettre à courir à travers la toundra pour la distancer et, comme elle ne parvenait pas à les rattraper, la voir se mettre à bouder accroupie entre deux touffes d'herbe. Ils revenaient ensuite pour s'excuser, encore morts de rire et la ramenaient à la maison pour le gouter. Quelques années plus tard, ils l'embarquaient le soir dans la forêt en lui racontant des tas d'histoires sur des monstres et tentaient de la convaincre que les fidèles de Zhäa allaient venir l'enlever... La pauvre gamine faisait ensuite des cauchemars très régulièrement qui désespéraient sa mère. Heureusement pour toutes les deux, cette dernière finit par comprendre leur provenance et se chargea de réprimander les petits plaisantins. Toutes ces taquineries ont probablement aidé à développer le côté réfléchi de Prama, il n'était plus question de se laisser mener en bateau par n'importe qui.
Le soir, quand Prama et sa mère se retrouvaient, cette dernière mettait un point d'honneur à lui apprendre à lire et à écrire, son instinct lui indiquant qu'elles seraient peut être séparées assez rapidement. Pour rattraper les bêtises des enfants Mésorians, elle lui contait l'histoire de leurs ancêtres et tentait de lui transmettre au maximum la culture Torkos. Prama adorait sa mère et aujourd'hui, elle lui ressemble, le côté extraverti en moins.
Les années passèrent tranquillement jusqu'au jour où Prama fêta ses quatorze ans. Maintenant quelle pouvait être vendue, son destin dépendait du bon vouloir de ses maîtres. Et, au grand dam de sa mère, ils décidèrent de la vendre. Une partie de leurs terres ayant été cédée, leurs enfants désormais adultes étant partis faire leur vie, ils n'avaient plus besoin d'autant d'esclaves et des frais qui allaient avec. C'est ainsi que Prama fut envoyée au domaine d'Îleval pour y travailler comme domestique dans un bordel. Sa mère, qui s'y était préparé depuis longtemps pourtant, le pris très mal malgré les tentatives de la maitresse de maison de la rassurer. Comment pouvait-on envoyer sa petite dans un endroit pareil ? Il fallait être terriblement cruel et malade. Elle était encore si jeune... Et qu'allait-elle devenir sans elle ? Le désespoir s'était emparé de la Torkos, impuissante. Pourtant, mère et fille se séparèrent donc un matin d’automne après des adieux déchirants. Son père étant en déplacement, elle n'eut pas la chance de pouvoir lui dire au revoir mais ça ne la dérangea pas tant que ça... Elle avait l'habitude de ses longues absences. Et puis surtout, elle ne comprenait pas encore parfaitement ce qui lui arrivait, une petite partie de son esprit lui murmurait qu'elle reverrait ses parents rapidement, que rien n'allait changer. Triste erreur.
Après un long trajet en bateau puis à pied qui lui firent comprendre qu'elle n'était pas près de revoir ses parents en fin de compte, La jeune Torkos traversa le domaine en compagnie de son maître. Ici, le climat était bien plus doux et le paysage inconnu. Sur le chemin, elle avait ouvert de grands yeux curieux en traversant des champs de blé et croisant des troupeaux de bêtes qui pâturaient. Si seulement sa mère pouvait être là, elle serait surement aussi fascinée qu'elle...
Une vingtaine de minutes plus tard, la jeune fille et l'homme arrivèrent devant une grande propriété au toit de tuiles rouges. Lorsqu'elle y pénétra, elle sentit une boule lui nouer le ventre. Toutes ces femmes dévêtues qui tournaient autour d'hommes un peu éméchés... Où avait-elle atterri ?
Pendant que son maitre réglait les derniers détails de la transaction avec la patron des lieux, elle patientait dans un coin de la salle, les yeux parcourant les visages des habitants des lieux.
- Héééé ma petite ? Qu'est-ce que tu fais là toute seule ?
La jeune fille fit un bond et se tourna vers l'homme qui venait de lui adresser la parole. Son regard trahissait de la crainte. Que lui voulait-il ?
- Viens par ici, elle n'est pas pour toi.
D'un clin d'oeil rapide, la blonde qui venait d'intervenir emmena le client loin d'elle. Prama n'avait pas eu le temps de dire un mot mais elle la remercia intérieurement.
Les premiers mois furent difficiles, la jeune femme ne se sentait pas à l'aise, sa maison lui manquait, les tâches qu'on lui faisait faire la fatiguaient et les clients trop entreprenants l'exaspéraient. Pourtant, elle prenait sur elle, ne se plaignait jamais et faisait consciencieusement son travail. Sa tranquillité était ainsi assurée. Au bout d'un an, elle s'était enfin acclimatée et tout aurait pu aller pour le mieux si elle n'avait pas reçu un message de son père lui indiquant le décès de sa mère. La pauvre femme, accablée par le chagrin d'être séparée de sa fille, y avait laissé la santé. Prama vécu très mal cette période et ne trouva pas meilleur moyen de gérer sa colère et sa tristesse que de rejeter la faute sur son père. Il aurait du la soutenir et la rassurer, être présent pour une fois dans sa vie... Ironiquement, la seule fois où elle put revoir sa terre natale fut pour l’enterrement de sa mère.
Après cet événement peu joyeux, sa vie continua paisiblement. Prama trouva sa place dans le bordel, sympathisa avec des filles de joie et des habitants de la ville. Tout allait pour le mieux avant l'arrivée du second événement marquant de sa vie... Un certain Bronco, escorte de son état, n'entra dans sa vie que pour quelques jours mais réussit à la bouleverser à jamais. Des regards, des sourires, des sentiments peut être et des nuits. Tout aurait pu s'arrêter après son départ mais le ventre de Prama en décida autrement en se mettant à grossir jour après jour.
Un soir, alors qu'elle observait la petite bosse qui se formait sous sa tunique, elle y pensa. Une petite gorgée d'un mélange bien connu des filles de joie et ce petit soucis disparaîtrait. Elle n'était pas prête, elle ne savait pas comment élever un enfant, surtout dans une maison close. Puis il ne connaitrait peut être jamais son père, comment lui expliquer d'où il venait ? Pourtant, malgré toutes ses incertitudes et la peur qu'elle ressentait à l'idée d'être mère, elle repoussa violemment cette idée. Elle n'avait pas désiré cet enfant mais elle l’élèverait, elle l'avait décidé. Quelques mois plus tard, après des heures de souffrance, quand elle posa les yeux sur le petit Dregan, tous ses doutes furent balayés.
Depuis ce jour, elle élève son fils dans l'espoir de gagner un jour sa liberté pour lui éviter une vie de servitude. Ou alors, de le confier à son père s'il a réussi à se faire affranchir.
Son inventaire :Prama n'a pas beaucoup d'affaires. Elle garde précieusement la breloque offerte par son père et une statuette d'ours taillée dans un morceau de bois offerte par Bronco avant son départ qu'elle a offerte à son fils.
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ÊTES-VOUS SUR D'AUTRES FORUMS SUSCEPTIBLES DE VOUS PRENDRE DU TEMPS ? Oui, mais je gère
SINON, POURQUOI AVOIR CHOISI ARCHIPEL ET COMMENT VOUS NOUS AVEZ TROUVÉS? Parce que le design attire l’œil, le contexte est bien trouvé et la communauté semble super !
D'après mes souvenirs, j'ai du trouver le fofo sur un TopSite...
SI VOUS DEVIEZ VOUS QUALIFIER COMME JOUEUR VOUS DIRIEZ : Plutôt active, j'aime répondre rapidement aux Rps.
En cas d’absence, je préviens toujours !
UNE DERNIÈRE CHOSE A NOUS DIRE AVANT QUE L'ADMIN NE VOUS VALIDE : J'y réfléchis !