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| Sujet: Mélissandre 20/9/2013, 10:21 | |
| IDENTITE Mélissandre d'ÎlevalMésorianne - Peuple - MessagèreLieu de naissance : Îleval. | Âge du personnage: 31 ans. | Lieu d'habitation :
Îleval, même si Mélissandre côtoie plus les lits d'auberge que celui de la demeure familiale. | PHYSIQUETaille : | Poids : | Couleur des yeux : | 1m89. | 72 kg. | Marron. |
Couleur de la peau: | Couleur des cheveux : | Longueur des cheveux: | Brune. | Blond vénitien. | Courts, jusqu'à la mâchoire. |
Description physique générale de votre personnage :Dire que Mélissandre prend à rebrousse-poil la considération mésorianne des femmes est un euphémisme. Adoptant une coiffure presque garçonne (adieu élégante chevelure voletant au gré du vent), Mélissandre a aussi pris le parti de porter un... Pantalon. Par Hygéris ! S'exclameront certaines. Depuis qu'elle a endossé la cape de messagère, cette femme avance néanmoins l'argument que : avez-vous déjà tenter de chevaucher des heures durant en amazone avec une robe ? Bon nombre de ces dames n'en auront pas fait l'expérience, aussi leur expliquera-t-elle très savamment que ce n'est pas envisageable, comme perspective. Voire renchérira : et échapper à des bandits à pieds, le moindre froufrou, le moindre plis du tissus se prenant dans le premier buisson taquin, avez-vous déjà essayé ?
En somme, du point de vue vestimentaire, Mélissandre revêt le costume taillé sur mesure propre aux hommes, agrémenté de quelques coquettes coutures argentées, mais adapté à ses formes féminines. Sur ce point, le corps de cette femme est on ne peut plus féminin, sans pour autant possédé des formes très épanouies, ses voyages lui ayant même conféré un semblant de musculature, indécente pour une fille de bonne famille.
Néanmoins, n'étant pas particulièrement sotte, cette messagère dissimule le plus souvent sa mise sous une grande cape à capuchon. MENTALQue peut penser un inconnu de votre personnage:Cela varie sans aucun doute de la classe sociale. Mélissandre peut aussi bien choquer, épouvanter qu’agacer par ses manières débridées, ou au contraire amuser. Certains de ses clients la qualifieront peut-être d'insupportable, car elle se plaît quelque fois à jouer la messagère pressée qui n'a pas le temps d'échanger un seul mot et qui veux juste que le commanditaire finisse sa fichue lettre pour repartir sur les routes. Quant à si elle se conduit de la manière inverse, en tentant de fourrer son nez dans la moindre affaire... A chacun de gérer cela comme il l'entend. Comment ses proches décriraient votre personnage :Épanouie et resplendissante et... L'électron libre qui en amusera ou en horripilera à l'envie. Néanmoins, quand sa famille parvient à lui mettre le grappin dessus, certains de ses membres prennent plaisir à obtenir des nouvelles du monde par son intermédiaire. Intérieurement comment se décrirait votre personnage : :Furieusement indépendante, et qui adore faire des pieds de nez au principe de classe sociale mésorianne et tous les autres carcans dans lesquels ses proches pourraient tenter de l'enfermer. S'il y a bien une chose qu'elle abomine, c'est toutes les interdictions ridicules liées à ses dernières (le cas du vêtement a déjà été abordé). Ou même quant à ses interactions avec les autres peuples. Être aliéné par un mariage convenu avec "une personne de son rang" ou tout autre contrat est bien ce qui la mettrait le plus en rage, car elle ne perdrait sans doute pas l'espoir de s'en défaire. Néanmoins, elle ne dédaigne par pour autant autrui. Ainsi est sa considération des choses, mais elle ne cherchera pas à l'imposer. Globalement que pense votre personnage des deux autres peuples ? : :
- Okanaki : bien que n'ayant pas eu autant d'occasions qu'elle le voudrait de côtoyer ce peuple, Mélissandre éprouve une certaine fascination pour leur mode de vie et leur magie, dont elle a pu profiter.
- Torkos : une certaine compassion pour ce peuple, abandonné par son propre Dieu. Pour elle, l'attaque de ce peuple remonte bien trop loin pour en tenir rigueur aux descendants de ceux ayant fauté.
BIOGRAPHIEVision d'ensemble des relations que votre personnage entretient avec son entourage (amis, famille, maître ...) PARLEZ ICI DES RELATIONS IMPORTANTES DE VOTRE PERSONNAGE. EX : COMBIEN A-T-IL DE FRÈRES ET SŒURS, ET QUELS SONT LEURS PRÉNOMS, L’IDENTITÉ DE SES PARENTS, LA PLACE QU'IL OCCUPE AU SEIN DE SA FAMILLE, QUELLES SONT SES RELATIONS AVEC SES MAITRES (SI C'EST UN TORKOS) ... ETC.
Son histoire : Situons la petite Mélissandre dans un arbre généalogique. Du côté paternel, rien moins que... La famille doyenne d'Îleval !... Au petit détail près que le-dit père est comme qui dirait le sixième fils d'un sixième fils dont le grand oncle était le frère du neveu de... En somme, le lien avec cette grande famille se perd dans les méandre du temps et des générations écoulées. C'est surement pour cela que cet humble fils scribe qui jouissait plus ou moins de la réputation de son sang ne profita guère de sa fortune (perdue dans les strates supérieurs) et put mêler son lignage sans trop faire de remous avec une gueuse. Autrement dit, Dame Morgane la joaillière, dont la lignée est beaucoup moins attrayante et ne sera pas détaillée.
Ainsi Mélissandre fut le premier fruit de cette charmante union, le père apportant le nom et l'éducation et la mère les moyens et une tête fort bien carrée sur ses épaules. Trois autres enfants virent le jour, mais Dame Mère, en sueur, puant sur son lit après la naissance du dernier rejeton, fit remarquer à son époux qu'elle ne souhaitait pas poursuivre cette histoire de sixième fils et qu'elle considérait que quatre enfants, c'était très bien.
Commençant vagissante dans les bras d'une nourrice comme tout le monde, Mélissandre vint bientôt à galoper à quatre pattes, pour finir debout et ses jambes la portant un peu partout dans Îleval. En temps voulu, appréciant les cours de lecture, d'écriture et d'histoire dispensés par son bien-aimé père, et dédaignant allègrement ceux de bonne conduite et autres domaines domestiques que s'échina à lui enseigner Morgane sa mère. Autant dire qu'elles ne commencèrent guère leur relation sur de bonnes bases, et cela ne fit qu'empirer. Heureusement, Dame Maman pouvait connaître quelques temps de détente avec ses autres enfants bien plus respectables que l'aînée qui faisait tout, sauf montrer l'exemple attendu. Que son père n'arrive jamais à lui dire non y était peut-être pour quelque chose. Ses autres occupations était de vagabonder joyeusement dans les rues, entraînant volontiers ses cadets à sa suite. Son caractère affirmé lui valut d'être la "caïd" des petits, à qui il ne fallait pas chercher des noises... Mais qui avait beaucoup d'endroits amusants à montrer.
Fait notable, ses balades ne se faisaient néanmoins pas sans surveillance. En effet, une joaillière ne se dispensait pas d'esclaves, son époux adoptant ses manières. Il y avait ceux qui s'occupaient de la maison, aidaient le scribe à gérer toutes sa paperasse (ce qui donnait des Torkos portant des lunettes, grâce à la générosité du paternel), les autres qui veillaient sur la boutique... Mais avec les escapades répétées de l'aînée de la famille, certains furent chargés de la suivre et de veiller à ce qu'elle ne commette ni bêtise ni ne soit agressée. Dans le premier cas, du moins la fillette veillait à le faire discrètement, dans la mesure du possible. Profiter de la foule pour se baisser, hors de vue du Torkos, et emmêler malicieusement les lacets d'un monsieur occupé à discuter, par exemple.
Cette esprit de rébellion s'exacerba avec le temps, à l'instar de l'impatience de Dame Mère à l'égard de sa fille. Cette dernière, se contentant de nombreuses années durant d'un comportement puéril (les éclats de rire alors qu'elle singeait les manières de sa mère devant des invités, de neuf à treize ans) décida durant sa seizième année de s'en émanciper allègrement, compensant l'absence d'un messager devant porter les écrits de son père pour s'emparer de ceux-ci et filer aussitôt après s'être enquis en vitesse de sa destination... Enfin, c'était son projet initial. Mais Monsieur son père s'empressa de faire venir un esclave, afin qu'il veille sur sa fille.
Sur cela, Dame Maman arriva, écumante de rage et s'exclamant qu'il était hors de question que Mélissandre s'en aille ainsi. Après un débat sur la question qui laissa la joaillière ébouriffée d'hystérie et sa fille rouge jusqu’à la pointe des oreilles, mais toujours juchée sur un cheval, la mère choisit alors de s'attaquer à l'esclave. C'était ainsi promouvoir au poste d'escorte cet esclave, et qu'elle n'en avait pas décider. (La question du précieux hymen ne fut bien entendu que sous-entendu dans le regard furieux de la commerçante) Mais à cela, le scribe d'ordinaire si accommodant tint bon, disant qu'aucun des autres ne supporterait efficacement un tel voyage, et qu'il s'était déjà montré irréprochable par le passé. Ce qu'il ne dit pas était qu'il souhaitait soutenir sa fille, qui attendait l'occasion de s'évader depuis bien longtemps. Ainsi s'en fut Mélissandre avec ravissement et l'approbation paternelle, oubliant presque cet invité inattendu du nom d'Arkos.
Mais cela ne dura pas, bien évidemment.
Je tiens à souligner auprès du lecteur : ainsi partie une jeune fille en compagnie d'un homme accompli. Et ce pour une période considérable de plusieurs semaines. Presque seuls.
Voici Mélissandre livrée à elle-même, et à ses démons d'adolescente, que la proximité d' Arkos ne laissa pas indifférente. Cette enfant avait déjà côtoyer certains jeunes fils de belles familles, jouant bientôt avec eux quand elle réalisa qu'il était chacun engoncé dans la tradition de la vision de la femme douce au foyer. Ce à quoi elle n'aspirait pas franchement, et c'est pourquoi d'une certaine manière la jeune fille leur en tint rigueur. Tout cela pour dire que les jeunots, elle en avait vu. Un Torkos, d'un genre bien différent... Elle se laissa aller à l'apprécier visuellement, à l’affût de la puissance contenue qui semblait émaner de lui, dans ses manière effacées et son regard d'une intensité sans nom, qui lui semblait dissimulée derrière une fausse placidité. Tâchant de le faire parler à la nuit tombée, réagir à de petites piques... Cela peut être dit : elle était attirée. Et elle ne tenta pas de lutter contre ce courant.
Les écrits de son père furent délivrés en main propre au destinataire, qui ne cacha pas sa surprise en la reconnaissant. S'en amusant, Mélissandre ne l'en assura pas moins de ses capacités, se dévouant volontiers pour porter le plis de réponse. Le voyage reprit, et les tentatives (en réalité, enfantines) de la jeune fille d'attirer l'attention d'Arkos devinrent plus assidues. Il faut le dire, elle ne réfléchissait pas à ce qu'elle tentait de provoquer. A sa grande surprise, il lui sembla que plus elle voulait se rapprocher de lui, plus le Torkos se renfermait, en devenant presque fuyant. Attristée, Mélissandre demeura indifférente à son retour, indignant juste davantage sa mère en allant chercher auprès des familles amies de l'emplois pour porter d'autres lettres. Arkos demeura son escorte, mais... Avec une épée !
Pour être provocatrice, la messagère le fut. Lasse qu'il se dérobe sans parler, semblant même souffrir... C'était incompréhensible pour elle qui éprouvait de plus en plus l'envie de le comprendre. Alors, tandis que les flammes dansaient doucement un soir, et qu'il n'y avait que pour seuls témoins les étoiles... Mélissandre se planta devant Arkos et lui demanda pourquoi.
Est-ce intéressant de préciser qu'elle était alors nue ?
Sa surprise fut sans limite alors qu'il la repoussait sans ménagement, la regardant même avec effroi. Lui donnant pour seule réponse une phrase qu'il eut du mal à terminer, comme quoi "Il ne devait pas..." Une fichue interdiction, cela ne retint pas la jeune fille. Se redressant, elle s'approcha à nouveau et l'enlaça. "Tu ne veux ou tu ne dois pas ?" Un silence. Lourd, alors qu'il essaye de ne pas la regarder. "Je... Ne dois..." Avec un doux rire, elle le fit taire d'un baiser timide. "Est-ce que cela t'empêchera de le faire ?" Il céda. L'attrait de Mélissandre pour lui n'en fut que renforcé.
Cet événement fut passé sous-silence auprès de la famille. Appréciant ces voyages (loin de Dame sa mère et ses contraintes), portant lettres entre villes et villages, en ayant pris l'habitude de se nommer "d'Îleval" (car refusant de s'attacher au patronyme paternel... Quant au nom maternel, il souffrit le même refus), Mélissandre s'attacha au Torkos. Discrètement, appréciant sa compagnie. Mais ne sachant comment prendre qu'il en souffre. Sur ce point, elle était quelque peu hermétique : elle n'avait pas honte, ni ne regrettait (une fille de bonne famille exemplaire, vraiment) et goûtait sa présence sans vergogne. Quelques temps d'interdit... Mais, bien qu'elle refuse de l'envisager ainsi, il semble qu'un Dieu ait décidé de s'en mêler.
Un ours qu'ils croisèrent en forêt. Grand, massif... Les deux voyageurs restèrent figés, jusqu'à ce que le rugissement de la bête ne les dispersent comme des biches effarouchées. Quand ils se retrouvèrent, Mélissandre lut plus que jamais la peur dans les yeux de son compagnon. Faisant un détour, ils poursuivirent leur route. La nuit venue... La jeune fille se lova dans ses bras, le Torkos se refusant, voulant juste la tenir contre lui. Elle ne trouva pas de mot pour le réconforter, lui demandant juste de lui expliquer... Il lui raconta Bersok.
Bersok qui les maudit bel et bien.
Un arbre qui s'abat. Aberrant, incompréhensible. Mais cet être centenaire chuta dans la nui sur leur campement. Ensommeillée, Mélissandre réagit trop lentement. Arkos lui, s'était déjà redressé pour l'écarter... Trop lent encore. Jambe broyée. Passons les larmes et le désespoir. Il fallut agir, et la jeune fille écouta le Torkos, puisqu'elle insistait absolument pour le dégager. Ayant fait un garro, avec la lame qu'Arkos avait obtenue en tant qu'escorte la messagère dut couper dans la chair et l'os. Il hurla dans le tissus qu'il mordit tout du long, elle pleura en silence. Après quoi elle rattrapa l'un des chevaux, fit une civière sommaire, et mena le blessé jusqu'au village le plus proche.
Là, un médecin put prendre en charge l'esclave. Alors qu'il sommeillait, assommée par les plantes médicinales, elle ne le quitta pas. Le Grand Ours hanta son sommeil. A son réveil, le Torkos vivait encore.
Ils ne repartirent que plusieurs semaines plus tard. De retour, sa mère était furieuse (comme toujours), et Mélissandre vit avec horreur que son père avait rongé les ongles de deux de ses doigts délicats, sous l'effet de l'inquiétude. Elle les rassura, et leur raconta pour Arkos, qui demeura obstinément muet. Cela n'aurait pas dû la surprendre, mais pourtant... Le Torkos fut affranchi. Estropié, il n'avait plus d'utilité. Quant à Mélissandre... Elle dut cacher sa peine. Sa véritable peine. Arkos ne voulut pas lui dire où il comptait aller. Il ne voulait pas qu'elle le retrouve.
Fichue culpabilité, ou autre bêtise, vous dira-t-elle.
La suite est un mystère pour sa famille. Cette escapade ne fut pas, comme qui dirait, sans conséquence. Ainsi, quand elle crut percevoir une légère rondeur au niveau du ventre (en plus d'être malade comme un chien chaque matin), Mélissandre choisit... De se cacher. Une année sabbatique en somme. Etant donné la relation tendue qu'elle entretenait avec sa mère, et l'amour que cette dernière portait à leur précieux lignage, un Sang-perdu serait sans doute mal vu à la maison. Innocent euphémisme. Ainsi, prenant de l'argent comme pour un voyage particulièrement long, et avant même qu'une nouvelle escorte lui ait été trouvée. Le cadeau de sa mère, une cape de dissimulation, lui suffirait.
Un rien angoissée par son état, Mélissandre suivit la Douve vers le nord, recherchant plus particulièrement un village d'affranchis (retrouver Arkos était une idée qui lui trottait aussi dans la tête, et plutôt furieusement). Mettant bientôt un pied dans la cité-libre Valgöor, elle y fut accueillie avec méfiance. Tâchant de s'y faire toute petite, elle chercha une auberge, n'en trouva point, et entreprit de recourir aux services des affranchis, pour se faire bâtir une modeste cahute, entamant ainsi son pécule. Et Arkos ne s'y trouvait pas.
Pendant les mois qui suivirent, elle ne se permit pas d'être inactive. Tâchant de garder une certaine activité, elle tâcha de trouver qui serait intéressé par ses services. Sans constater une clientèle très importante, Mélissandre eut de quoi faire, portant des plis dans différents villages de l'île, tout en réduisant la distance parcourue, d'une manière proportionnelle à l'augmentation volumique de son ventre. Elle tenta, malgré ses yeux de mésorianne, de ce lier avec quelques Torkos, notamment auprès des mères. Fait inhabituel pour la jeune femme, elle leur demanda conseil. Et elle connut le soulagement de ne pas être ignorée.
Son inventaire :
- Armes : Si en apparence, elle ne possède aucune arme, une dague est néanmoins glissée dans l'une de ses bottes à lacet, et une autre dans l'une de ses manche.
- Asha (Fuineuse) : une petite boule de poils que Mélissandre surprit, fouillant dans ses sacoches, et qu'elle se permit de garder pour agrémenter ses voyages. Absolument pas pour rire sous capes des tours que cette créature peut jouer à autrui, par sa curiosité sans borne.
- Cape de dissimulation : en plus de sa cape normal que Mélissandre revêt dans les villes et villages, la messagère possède cette cape okanaki, l'un des rares cadeaux de sa mère qui ait de la valeur à ses eux. Les petits souliers à ruban n'étaient pas à son goût, non.
AUTRES INFOS COMMENT SE PRONONCE LE PRÉNOM/NOM DE VOTRE PERSONNAGE ? Comme il se lit. ÊTES-VOUS SUR D'AUTRES FORUMS SUSCEPTIBLES DE VOUS PRENDRE DU TEMPS ? Oui. SINON, POURQUOI AVOIR CHOISI ARCHIPEL ET COMMENT VOUS NOUS AVEZ TROUVÉS? Parce qu'il est difficile de rester sourd à l'appel du RP T.T Et par partenariat. SI VOUS DEVIEZ VOUS QUALIFIER COMME JOUEUR VOUS DIRIEZ : Au grès des études et de l'inspiration, les premières s'annonçant plutôt chargées néanmoins. UNE DERNIÈRE CHOSE Á NOUS DIRE AVANT QUE L'ADMIN NE VOUS VALIDE : Après expérience de la CB... Façonneur, moi aussi je t'aime /PAF/ Sinon, un joli bébé de forum, hâte de découvrir d'autres horreurs des fidèles de Zhäa ! |
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