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| Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. | |
| Auteur | Message |
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InvitéInvité
| Sujet: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 27/6/2014, 10:53 | |
| IDENTITE Vega KerishTorkos -Esclave- DomestiqueLieu/Clan de naissance : Les îles jumelles : Belhovre. | Âge du personnage: 20 ans | Lieu d'habitation:
Les îles jumelles : Le domaine Belhovre. | PHYSIQUETaille : | Poids : | Couleur des yeux : | 1m80 | 64kg | Gris argentin |
Couleur de la peau: | Couleur des cheveux : | Longueur des cheveux: | Miellée | Noir corbeau | Creux des reins |
Description physique générale de votre personnage :Sous ses haillons souvent troués voir trop grands on ne peut que deviner la courbe de ses formes, pourtant, on ne penserait pas d’elle qu'elle ait une allure si fluette. Souvent, Vega à la mauvaise manie de se tenir quelque peu voutée d’épaules, ses tuniques longues et amples amenuisant ses formes, échevelées sur le bas de ses cuisses. Un comportement au diapason arboré lorsqu’elle est en présence d’une foule car seule, la jeune femme se tient d'une tout autre manière : droite. Peut-être est-ce la le résultat d’un certain malaise, d'une crainte ou d’un geste visant à se protéger.
Oh, non certainement elle n’est pas celle que vous remarquerez dans la rue. Partisan de l'ombre et amante du silence elle ne sera pas de celle qui auront le désir profond d'attirer l'attention en une quelconque façon. De même qu'elle n'est pas de celles qui s’habillent de leurs plus belles parures et autres joailleries qui font miroiter la beauté des unes et des autres. Voilà une beauté négligée, naturelle assurément mais qui exprime clairement combien elle ne prend pas soin d’elle. Et pour cause, il n'y a ici bas aucun désir de plaire. Non, elle n’a pas le goût des coquetteries. Évidemment quand on ne connait pas ça, nous n'avons pas tous le luxe de vivre libre et encore moins en étant considéré comme quelqu'un qui a des droits. Quand on est domestique, il n’y a nul souci de plaire à quiconque, encore moins à ses maitres.
De même qu’elle n’a pas l’air avenante pour deux sous. Vega évite le regard des inconnus dans la rue, mais fixe ses vis à vis de manière dérangeante. Son visage baissé est souvent entravé par les mèches rebelles que sont ses cheveux, il abrite ce regard si particulier mais caractéristique chez les Torkos. De beaux globes oculaires, sans doute le plus bel atout qu’elle possède, bordé de cils noirs épais à l’image de sa chevelure. Ses yeux argentins perçants de part leur couleur en mettent plus d’un et plus d’une en désarroi ou mal à l’aise, colorés si froidement et pourtant si clairs. S’en suit la courbe de son nez fin bien que légèrement retroussé, pour un air quelque peu effronté, qui dévoile la courbe de lèvres pleines et affirmées bien que souvent pincées par le silence qui les lie. Généralement vous retrouverez sur son visage cette même expression effarouchée aux airs répréhensibles de part leurs côtés « agressifs ». Jamais aucuns sourires ne viennent dérider ses lèvres inanimées et closes par le silence. On a déjà bien tenté de lui dire d'arrêter de fixer les gens d'ailleurs, et de se montrer plus avenante. Il n'y a rien à faire, Vega n'écoute qu'elle-même.
Par dessus ces aillons une masse sombre désordonnée est laissée pour libre. Sa chevelure que le vent emmêle les journées où elle est occupée à faire paitre du bétail subit les aléas de la nature. De part sa génétique, ces filaments aux reflets d’ébènes pourtant sont épais et denses, préservant une certaine brillance héritée de ce qui fut sa tendre mère. Et en souvenir à celle-ci, Vega chaque soir passe avec une certaine douceur le peigne qu’elle lui avait offert en souvenir à ce rituel qu’elles entretenaient avant que sa mère ne l’a borde. Là est l’une des choses qui lui est précieuse.
Ainsi chaque soir après ses journées de dur labeur lorsqu’elle rentre vers ce qui lui sert de couche, Vega se défait de ses diverses pans de tissus pour enfin laisser son corps apparaître à la lumière du soir. Lorsque ses habits glissent le long de ses courbes, vous apercevez d’abord cette peau aux reflets miellés que le soleil a bien eu le temps de réchauffer à outrance au cours d’une journée. Vous vous demandez qu’elle serait la texture de son derme satiné, et pourtant vous ne pouvez pas le savoir, uniquement le deviner… après tout, vous n’avez jamais pu la toucher. Néanmoins sa peau est noircie, elle est sale par ses journées dans les champs. Des brindilles de paille sont perdus dans ses cheveux, et de ses doigts étonnements délicats pour une Torkos, la jeune domestique les retire un à un. Vous entendez alors les bracelets de servitude à son poignet tinter et remarquez alors le médaillon où y est gravé une insigne, celle qui fait d'elle une esclave et qui le lui rappel chaque jour. Ses ongles sont noirs par la terre qu’elle a foulée de ces pieds robustes. Vega à un corps qui travaille. À présent qu’elle est nue vous pouvez mieux comprendre.
Une certaine dualité réside dans son physique, on remarque que sa carrure est solide, qu’elle est bien campée sur ses jambes musclées, mais étrangement fine voir maigre dans l’ensemble. Parsemée de diverses cicatrices. Son dos est criblé d'anciennes marques du fouet, tout comme ses épaules lacérées. Ses bras en comportent aussi en raison du travail quotidien dehors, dans les plantes épineuses, et parfois au contact de bêtes agressives. L’ossature profilée sous sa peau est solide, large là ou il y en a le besoin, comme beaucoup de son clan, elles lui confèrent une certaine présence, un charisme assuré. S’en suit sur ce buste une poitrine d’une nature généreuse, et rebondie, fièrement tenue sur les plaines d’un ventre taillé par l’exercice quotidien mais sincèrement mince ; le manque d’appétit étant la raison principale à ce manque de générosité au palpe de la main. Sa taille s’estompe sur la délicieuse échancrure de ses reins dangereusement fins, sur les périlleuses chutes de ses hanches qui longent des terres bien plus sinueuses et secrètes. Le doux galbe de sa cuisse longe de longues jambes sculptées solidement. MENTALQue peut penser un inconnu de votre personnage:Un inconnu devant Vega ? C’est bien simple, quelle est cette masse sombre qui se déplace ? Non, cessons toute plaisanterie. À vrai dire tout dépend des situations lorsqu'un inconnu la rencontre.
La plupart du temps, les inconnus passent leur chemin sans s'apercevoir qu'ils ont croisé sa route. Vega se fond dans la masse, et passe sans laisser de traces parmi les autres. Néanmoins, un inconnu qui la croiserait sans que nul autre personne ne se trouve dans les parages la découvrirait d'une toute autre façon. Seule elle serait redressée, le port de tête tenu haut et les yeux fier fixé sur l'horizon que ses pieds foulent. Une certaine détermination silencieuse allume sa démarche, une force que l’on ne lui soupçonnerait pas au premier regard, voir on pourrait lui trouver un certain charme baigné de mystère. Ainsi pour exemple devant ses maitres la jeune femme tiendra la tête baissée, les yeux rivés sur le sol, ainsi seule, elle serait tempétueuse et fière. Tout dépend de la personne avec qui elle aura affaire. Okanakis, ou Mésorian, tout dépendra de ce que dégage les personnes qui se tiennent devant elle.
Pire encore vu qu'elle n'est pas bavarde on pourrait la penser "simplet" car elle ne répond pas toujours lorsque que l'on prend la peine de s'adresser à elle. Clairement, on voit qu'elle n'aime pas parler si on soulève pas le moindre intérêt en elle. On pourra la qualifier de taciturne. Par ailleurs, un inconnu pourrait peut-être penser qu'elle est plus impulsive qu'il ne l'aurait cru, ou dangereuse. On ne touche pas Vega pour rien. On ne l'importune pas pour rien. Vega fait son travail et c'est tout, tout ce qui l'outrepasse est dans la mesure de la rendre agressive. En somme, ses relations ne nécessitent que le stricte minimum selon elle et rien de plus. Après tout : ce n'est pas comme si elle aimait les autres ou qu'elle désirait s'y lier. Autrement tout ce qui ne touche pas ses maitres est une notion plus délicate. Malgré sa réserve elle reste revêche car coutumière à la solitude, elle a du mal à se lier aux autres. Comment doit-elle se comporter ? Que doit-elle vraiment dire pour plaire ? Oh non rassurez-vous ce n'est pas un mauvais bougre.
Comment ses proches décriraient votre personnage :Vous me direz, il aurait peut-être fallut qu'elle ai des proches non ? Si l'on se souvient de sa jeunesse, il y avait eu l’insouciance, le plaisir du monde qui l'entourait mais toujours cette rudesse de vie. Sans conteste on la décrirait comme intrépide, prête à l'aventure, comme une forte tête mais assez inconsciente du danger. Capable de contredire les ordres de son maitre sans craindre le fouet. Résignée aussi dans l'ensemble à sa vie. Tantôt réfléchie sur les choses, tantôt d'une maturité étonnante pour son âge. Toutes ces heures de solitude dans les broussailles et les champs parmi les animaux l'ont aidé à développer sa finesse d'esprit, sa réflexion personnelle pour l'élévation de l'âme. Attentive aux besoins de ses proches, elle resterait généreuse et se préoccuperait des autres aux détriments de sa santé. Peut-être très protectrice. Mais solitaire. Jamais je dis bien vous ne l'entendrez ce plaindre de son labeur.
On dirait d'elle que sa psychologie est basée sur les instincts. Qu'elle est trop sur ses gardes. Toujours son regard observe son monde, le détail et le guette comme si d'une minute à l'autre le mal allait surgir. En somme, on a beau la connaitre, elle restera un animal effarouché. On ne l'apprivoise jamais totalement, et sa confiance est vite ébranlée. D'ailleurs à l'image d'un animal sauvage elle ne supporte pas qu'on l'enchaine d'une quelconque façon, cette idée l'emplit d'une colère certaine. Mais cette colère à ses raisons. Rappelez vous bien ceci : si la jeune femme ne dit rien face aux réprimandes et à l'oppression créer par son métier ou par la soumission des Torkos aux Mésorians, son peu de liberté est tout ce qui lui est de plus cher, il n'y a rien qu'elle ne ferait pas pour le préserver. Maintenant quelle y a goûté elle ferait tout pour la garder, voir pour en avoir plus...
Plus problématique la domestique a de la fierté. Une fierté et un mérite qu'on ne doit pas piétiner dirait-on. Elle ne supporte pas bien les hommes qui se placent au dessus des femmes, encore moins d'elle-même même si l'on doute vraiment qu'elle soit une femme parfois. Proches ou pas, Vega n'aurait pas de scrupules à vous rappeler que vous n'êtes pas mieux qu'elle et pas en parlant par les mots.. Mais avec les poings. Par ailleurs, sa fierté la pousse souvent à refuser l'aide des autres et à masquer ses faiblesses.
Néanmoins, si son caractère est fort il est important de garder à l'esprit qu'il est sous un carcan de maitrise qui l'étouffe. Vega sait paraitre calme et se taire quand il faut, et les personnes ont l'art de l'impressionner au fond détiennent la clé pour la calmer, car ces personnes là gagnent son respect. Après tout, sans doute ne serait-elle plus là si la jeune femme s'écoutait. Intérieurement comment se décrirait votre personnage : : Se décrire est un mécanisme complexe, mais nous dirons principalement que Vega est quelqu'un de profond et de sensible. Déjà bien assez tourmentée par les fantômes de son passé. Ils sont bien la cause de tant de solitude : celle-ci lui assure de ne point souffrir d'avantage. Si elle parait si "brute" si vif c'est bien qu'une rose doit se parer d'épines pour affronter le monde qui l'entoure.
Assez contemplative et impuissante vis à vis du monde de part sa condition d'esclave, l'un de ses songes les plus intimes auquel elle aspire demeurera celui d'obtenir le titre d'esclave affranchie. Oui, les idées de liberté soufflent comme un vent de renouveau en elle. Elle exalte ce sentiment comme le meilleur des présents qui lui aurait été fait. Si un jour elle ne finit pas affranchie il n'est pas dit qu'elle ne finisse par hors la loi. L'espoir a fait surface et il est désormais trop tard pour faire marche arrière, néanmoins elle manque cruellement de courage après toutes ces années d'esclavage. C'est comme un doux songe qu'elle n'attendra pas.
Secrète à ne pas hésiter, et réservée. Vega préserve son image soigneusement pour ne pas dévoiler son fond. Elle possède des craintes cachés sous couverts de fierté, comme tout autre, des peurs profondes après tout elle est jeune encore, même si elle se sent vieille intérieurement. La crainte de s'attacher encore à quelqu'un pour le perdre est l'une des plus marquantes, celle de tomber sous le joug de maitres qui la maltraite ou encore celle d'être utilisée comme jouet sexuel sont présentes aussi. Des craintes qui refont surface du passé quand des situations présentes s'y prêtent. Aussi rêve-elle en secret de trouver des gens sur qui compter. Mais montrer ses faiblesses à ses yeux est une chose à ne pas faire, qui sait si tes ennemis ne s'en serviront pas contre toi. Elle ne saurait les montrer qu'à des personnes de confiance. Globalement que pense votre personnage des deux autres peuples ? : :Vega n'a jamais vraiment croisé d'Okanakis, néanmoins elle a déjà put en apercevoir. Elle admire assez ce peuple par ce qu'ils représentent à ses yeux : la liberté. Même si ils lui paraissent étranger à tout ce qui lui est familier, elle aimerait en découvrir un peu plus à leur sujet. Un jour peut-être aura-elle cette chance.
Les Mésorians par contre.... Son avis à leur sujet est assez dubitatif. Voir péjoratif. La demoiselle se demande combien de temps encore son peuple devra essuyer leur erreur passée. Celle pour laquelle depuis ils sont esclaves. Savoir que son peuple est soumis est une idée qui la rebute malgré les rebelles et affranchis vivants : elle n'en fait pas partie . De plus comme à ses yeux la liberté est tout ce que l'on peut avoir de plus cher. Contre un individu elle n'a pas grand chose, mais contre le peuple, une certaine hargne. Surtout que ces anciens maitres ont laissés derrière eux des marques qui aujourd'hui la rende réticente devant chacun des individus de ce clan BIOGRAPHIEVision d'ensemble des relations que votre personnage entretient avec son entourage (amis, famille, maître ...)
Son maitre/ sa maitresse ( et sa famille) : Depuis qu'elle a changé de maitre, la jeune femme s'est considérablement apaisée. Bien sur nous n'irons pas jusqu'à dire qu'elle apprécie la famille qu'elle sert, mais elle conserve un certain respect pour la personne qui l'a "accueillit" en sa demeure. Après tout, Vega n'a pas été traitée tendrement avec son prédécesseur, là elle y voit une différence. D'où ce respect pour cette personne souvent exprimé par son silence. Néanmoins, elle se contente de rester éloignée de sa famille. Les blessures passées ne peuvent être guéries en un claquement de doigt et elle ne se souvient que trop bien des précédents maitres. Elle ne peut s'empêcher de penser qu'on lui veut du mal. Et malgré sa curiosité envers celui/ celle qui l'a accueillit, elle restera distante pour sa part.
Puis il y a ses rêves de liberté qui de plus en plus la font osciller entre de simples pensées et des actions. Le doute s'accapare alors de son esprit et lui fait tout remettre en question. A t-on réellement le droit de posséder la liberté d'autrui ? N'est-il pas temps de mettre un terme à cela ? Là sont les dangereuses question qui lui feraient passer à l'acte ainsi que de s'attirer les foudres de son/ sa propriétaire.
Askhan :
Voici un Ligor qu'il y a des années de cela Vega a rencontré, blessé et abandonné dans une rue. Elle devina que cet animal avait été domestiqué par l'homme mais qu'il avait été, tout comme elle, maltraité. Prit de compassion la demoiselle l'avait prit dans ses bras pour le ramener au domaine du maitre qui était en sa possession. Elle soigna ses blessures tout en remarquant les diverses cicatrices qui parsemaient son pelage dans son sommeil. Lorsqu'elle frôla l'une des plaies béantes, l'animal s'éveilla brusquement pour la regarder. Parcourant son pelage de la paume de main elle avait croisé son regard intense, s'y perdant longuement comme si tous deux se comprenaient silencieusement. Elle comprit qu'il comprit à ses propres cicatrices. Depuis cet échange silencieux, lorsqu'elle lui a ouvert la porte pour lui permettre la liberté quand rétabli, l'animal ne l'a plus quitté.
Sa mère : Morte il y a bien longtemps lorsqu'elle avait 14 ans suite à une attaque de smilodon inattendue. Néanmoins elle conservait une entente assez fusionnelle avec, après tout elle aura été son unique parent durant sa jeunesse, d'une tendresse infime. Jamais sa mère ne se plaignait, et à son image Vega entretient les souvenirs de sa mère par diverses gestes quotidiens. La perte de sa mère fut un précurseur aux malheurs des années suivantes. Son père : Revendu à un autre Mésorian à quelques contrées de là à l'époque de sa naissance, elle ne l'a jamais connu et n'a jamais su ce que c'était que d'avoir une présence masculine pour la guider ou la réprimander, d'où qu'aujourd'hui elle ai du mal à aborder les personnes masculines, faute d'en avoir apprit assez. Malgré ses expériences les années dernières, elle reste sur ses gardes.
Son histoire : 7 ans. « Ton père ma chérie ? Il est sans doute dans une contrée lointaine maintenant » disait-elle d’une voix duveteuse tout en caressant sa joue d’enfant rebondie. - Je ne sais pas où, mais je suis sur qu’il serait fier de voir combien tu grandis ma jolie petite fille. - Dis il reviendra hein ? -… Je ne sais pas, sûrement disait-elle la voix lointaine, le regard par delà les montagnes profilées après les vestes pleines qui s’étendaient. A perte de vue. J’aimerais que ça soit le cas.Ma fille est belle. Ses yeux insouciants brillent de jeunesse et s’extasient devant ce vaste monde qui se dévoile à elle. J’aimerais retrouver moi aussi un peu de ma jeunesse, ou partager la sienne. Malheureusement le temps est cours. Ils m’ont arraché mon mari mais heureusement il me reste Vega. Malgré la rudesse de notre vie je m’efforce de la laisser s’épanouir au mieux, l’écarte des Mésorians dans la mesure du possible, et par chance elle semble vivre dans une sorte de bulle dans laquelle les autres n’appartiennent pas. Pas même moi. Je lui apprends à garder foi en Bersok qui fut notre Dieu. J’ai l’espoir qu’un jour il ressurgisse pour que les choses changent. Elle semble apprécier que je lui comte le récit de nos ancêtres, chaque soir quand je la borde elle me demande de la lui narrer encore une fois. À force, elle l’a connaît même mieux que moi. 10 ans.
« Ton père a été vendu Véga, à ta naissance. Je ne voulais pas t’en parler autrefois et préférais te laisser un peu d’espoir à son sujet.. J’espère que tu ne m’en voudras pas trop. » Dit-elle en serrant sa main. Vega lui offre un sourire et secoue la tête. - Non, je comprends à présent. Mais ce n’est pas grave m’man, je suis là. Dit-elle avant de repartir en courant vers les champs. Elle apprécie beaucoup la nature, joue avec les insectes et poursuit les animaux les plus petits. J’aime la regarder faire les après-midis où nous raccompagnons les bêtes à la ferme. Tantôt elle s’écroule sur le sol dans un tas de paille, tantôt elle vient me serrer dans ces bras et me montre ses trouvailles. Je sens qu’elle n’a pas trouvé de place dans ce monde, sa personnalité n'a pas encore éclos. Les jours, les années passent et je me sens flétrir alors que sa jeunesse fleurit. Peu importe combien moi je perds cette joie de vivre. J’ai ma fille auprès de moi, tel un rayon de soleil elle illumine ma vie. Ma belle enfant grandit et change, elle troc ses formes d’enfants pour des formes de jeune femme plus généreuses. Je vois là se dresser devant moi une jeune Torkos pleine de vigueur mais pourtant encore si réservée et si méfiante. Peut-être l’ai-je laissée trop de temps vaquer dans les plaines ? Je ne regrette pas. Je sais qu’un jour viendra ou je devrais me séparer d’elle, mais je ne peux m’y résoudre, il est inconcevable que je la quitte. 14 ans. Je ne sais pas quoi faire ! Le grand jour est arrivé. Je ne peux pas le croire. La maitresse de maison à refuser de garder ma petite fille ! Pourtant c’est un ange, elle faisait bien son travail ! Pourquoi me le refuse t-on ? On m’avait déjà retiré Conrad ! On n’allait pas me retirer Vega. C’est pour cela que j’avais demandé à ce que la maitresse me revende aussi. Et après réflexion, celle-ci avait refusé aussi. - J’ai trop besoin de toi ici Tamra. Elle par contre, ne m’est d’aucune utilité, j’ai déjà trop de Torkos à mon service. Avait-elle susurré non sans cacher son sourire à la vue de l’expression de souffrance qu’elle lisait sur mon visage. C’est pour cette raison que je l’ai prise avec moi pour fuir en partant vers les grandes plaines après avoir réunis quelque provisions je lui ai pris la main et nous sommes parties. Mais si j’avais su je ne l’aurais jamais fait. Dans cet acte irréfléchi voué à l’échec. Sur les deux esclaves fuis n’en fut ramené auprès de leurs maitres qu’un. Vega. Tamra avait été abattue suite à la soudaine rencontre inattendue avec un smilodon dans leur escapade. Si la petite avait survécut c’est qu’elle avait pu grimper au haut d’un arbre, sa mère pas assez souple n’avait hélas rien pu faire. Vega avait simplement pu assister à la mort précoce de sa mère. Après un tel traumatisme la jeune fille n’osa plus prononcer un mot, quand revendue sur le marché aux esclaves. Les images du corps démantelé et ravagé par les crocs de ses bêtes continuaient de hanter sa vision. Ce corps déchiré, le sang maculé, et pire encore, les cris qu’elle avait entendus, son dernier regard emplit de peur. Qu’importe qui allait l’acheter, à ce moment là ce fut bien le cadet de ses soucis. Sa mère venait de mourir mais trop sonnée elle n’avait même pas pu verser une seule larme, le temps de comprendre, de réaliser ce qui était vraiment arrivé. Elle était sous le choc. Alors, quand un homme bien vêtu paya son prix et l’emmenait dans sa nouvelle demeure où elle serait domestique assignée à la maison familiale, elle ne lui lança pas même un coup d’œil. Un monde nouveau dans lequel elle allait être immergée se présenta sous ses yeux. On l’informa des tâches qui lui seraient assignées, de ce dont elle devrait s’acquitter au sein de la maison familiale. La liberté qu’elle avait connue plus jeune ne serait plus la même. Elle ne verrait plus la journée l’air frais lui caresser le visage, elle ne s’occuperait plus du bétail non plus ni de la nature. Dans cette période flou et trouble, Vega, fragile qu’elle était fut rapidement mise en confiance avec son nouveau maitre Valaden Topsohn, après tout elle n’avait que quatorze ans. L’homme avait bien noté qu’elle n’allait pas bien et se montrait d’une dévotion infaillible. L’un des premiers soirs il vint la voir pour s’enquérir de son état et s’asseyait sur sa couche à ses côtés. « Est-ce que tout va bien ? » avait-il murmuré près d’elle, le regard mué par une chaleur rassurante. La jeune fille avait opiné silencieusement, ses yeux quant à eux emplis d’un vide profond. - Tu te sentiras bien ici tu sais, ma femme et moi te traiterons bien. Comment te nommes-tu ? À ces mots elle relevait le regard sur lui, jouant avec ses doigts. - Vega. - Que t’est-il arrivé Vega ? Malheureusement la Torkos n’avait pas pu en dire plus, sentant une vague d'émotion monter en elle, et ne put plus se retenir, fondant en larmes bien qu'elle tentait d'étouffer ses sanglots. Valaden à ses côtés en profita pour doucement la serrer contre lui, la main derrière sa tête, caressant ses cheveux. Il ajoutait. - Ce n’est pas grave, j’attendrais que tu sois remise pour que nous en parlions. Après cela il était repartit.Les jours suivant il demandait souvent si les choses se passaient bien pour elle, si elle allait mieux tout en ayant beaucoup de petits gestes à son égard. Vega finit par être mise en confiance, bien qu’aucun sourire ne perçait ses lèvres, lorsque les bras de son maitre la prenaient contre lui Vega ne disait rien. Comment refuser une étreinte que plus personne ne pouvait lui donner ? Il était rassurant de se sentir dans ses bras, il lui apportait un confort inégalable, de sa voix grave et profonde. Il lui apparaissait être comme un père en quelque sorte, celui qu’elle n’avait pas eu, un homme admirable se disait-elle. Les choses semblèrent petit à petit rentrer dans l’ordre pour Vega qui prenait goût à cette nouvelle vie. Son maitre était aimant, doux et souriant. Elle l’admirait en silence tout autant que sa maitresse dont la beauté la subjuguait. À croire que ce couple sortait tout droit d’un songe idyllique. De même que leur maison était assez somptueuse sans être trop extravagante. La jeune fille petit à petit s’ouvrit aux autres, timidement serte mais heureuse car insérée au sein d’une « grande famille » comme le disait Valaden. Joyeuse, Vega fit la connaissance d’une autre jeune Torkos dénommée Balkia. Plus petite qu’elle, encore plus chétive mais aussi jeune avec laquelle elle se liait d’amitié. Les deux jeunes domestiques finirent par vivre dans la même chambre. La vie semblait lui sourire un peu à nouveau et le souvenir de sa mère s’effaçait. Néanmoins, c’est à ce moment là, quand l’état de Vega s’améliora qu’elle se rendit compte que quelque chose était dérangeant avec Valaden, alors qu’elle était dans ses bras. Elle cligna des paupières en silence, sentant ses mains caresser ses épaules, descendre le long de son dos jusque….. Vega fronça les sourcils et releva son visage vers lui pour le planter son regard dans le sien. Elle eut l’impression de découvrir son regard pour la première fois et troublée de ce qu’elle y lu, attrapait ses mains pour les écarter, trop bas à son goût. « Monsieur…que… » - Oui ? - Pouvez-vous cesser…. ça ? - Quoi donc Vega ? Je ne fais rien là. - Oh.. Pardonnez-moi.À son regard, rougissant, Vega lâchait ses mains baissant les yeux. C’était peut-être elle après tout…. Ainsi elle resta contre lui un long moment encore, le silence pesant la murant dans un mutisme encore plus lourd. Plus les jours passaient et plus son malaise grandissait vis à vis de lui, ses mains descendaient toujours plus bas. Les autres domestiques avaient bien remarqué qu’il se préoccupait bien plus d’elle, et c'était à leur détriment. Leurs regards se faisaient bien sombres. D’ailleurs, c’est aussi à ce même moment que Vega remarquait les traces qui parcouraient le corps de Balkia lorsqu’elle se déshabillait le soir. « Qu’est-ce qui t’est arrivé Bal’ ? » avait elle demandé en penchant la tête. - De quoi tu parles ? J’ai rien du tout ! Répondit-elle, sur la défensive. - Mais si, là, c’est quoi ? - Touches pas ! C’est rien j’te dit !! Grondait encore son amie, agacée. Perplexe, Vega n’ajouta rien à cela. Le soir, elle songeait à son maitre, bien que son cœur se serrait quand elle pensait à lui, elle n’arrivait pas à dormir correctement. Le souvenir de ses mains qui se promenaient sur son corps soulevant un sentiment de malaise grandissant en elle. Malheureusement, ses doutes et diverses pensées se confirmèrent. Valaden se montrait toujours plus insistant, toujours plus engagé lorsqu’elle venait s'entretenir avec lui. Elle avait beau s’écarter, il revenait toujours à l'assaut, elle avait beau retirer ses mains, elles revenaient plus serpentines que jamais. Vega sentait la naissance d’une certaine irritation monter en elle, par delà le respect qu’elle portait à celui-ci et elle ne se gênait pas pour le lui faire savoir, repoussant ses avances avec toujours plus de vigueur. Un jour qu’elle traversait dans un couloir, Vega entendit un cri percer les murs d’une pièce. Stoppant net son travail, Vega écarquilla les yeux et manqua de renverser son panier à linge en reconnaissant ceux de Balkia. Des cris et des sanglots. Déposant son panier sur le sol, elle tendit l’oreille contre le mur pour reconnaître la voix du maitre de maison et celle de son amie. Des coups claquaient, et faisaient crier Balkia. La voix colérique de Valaden la laissa muette. Il la battait. Choquée et pensive à ces cris elle sentit les souvenirs de la mort de sa mère remonter. Si Balkia ne lui parlait pas c’est sans doute qu’elle avait eu ouïe des prétendues faveurs du maitre, et sans doute à cause de la peur. Affronter Valaden, être devant lui c’était comme se retrouver devant un smilodon affamé et désireux d’enfoncer ses canines acérées dans votre derme, Vega ne pouvait que le comprendre. Trop bien. Néanmoins elle ne pouvait pas laisser Balkia se faire dévorer elle aussi. Alors, quelques jours plus tard elle prit son courage à deux mains et pénétra dans le bureau du maitre avec détermination. « Avec tout votre respect Monsieur, mais faut que vous arrêtiez de maltraiter Balkia ! » disait-elle avec une force nouvelle dans la voix du haut de ses quinze ans. - Ah oui ? Depuis quand une vulgaire Torkos se permet-elle de venir me dire ce que j’ai à faire ? Tu me dois le respect pour t’avoir offert cette place parmi nous ! - Je…s’il vous plait. Impressionnée par la voix gutturale de Valaden Veg’ avait baissé les yeux, serrant les plis de sa robe. La volonté avec laquelle elle était parvenue à entrer dans ce bureau venait de s’envoler brutalement. Alléché l’homme avait alors quitté sa chaise pour se planter face à elle. - Que me donnes-tu en échanges ? Paniquée elle fit volte-face pour partir mais il l’a devança et ferma la porte de son bureau à clé avant de la prendre brusquement par la taille. - Lâchez-moi ! - Non…. Je te veux Vega…. J’ai envie de toi ! Tout ce temps que tu passes dans mes bras, tout ce temps que tu ne cesses de m’aguicher ! Tu m’appartiens ! Tu entends ? Tu es à moi ! - Non ! Lâchez moi j'vous dit, vous êtes sourd ou...À ce moment là, elle giflait l’homme qui la secouait un peu trop fort à son goût, dans un excès de colère soudain qu’elle ne se reconnut pas. Après ce virulent claquement, l’homme avait relevé sur elle un visage noir. - Tu… tu m’as giflé ?! - Je suis désolée ! - Tu veux que je laisse ton amie tranquille non ? Laisse-toi faire et je la laisserais tranquille. Coincée de la sorte Vega n’osa plus rien faire quand il se saisissait de ses habits pour les lui arracher, trop surprise de la tournure des choses. Après tout, elle ne connait pas encore ça. Elle venait de voir pour la toute première fois son vrai visage, et cela lui était plus douloureux qu’elle ne l’aurait cru. Elle avait été naïve. Les années qui suivirent furent difficiles. C'est à cette époque que Vega recueillie en secret son Ligor : Ashkhan, aux rives de la mort abandonné dans une ruelle. Quant à la maitresse de maison, elle finit par être mise au courant par l’un des domestiques de la nature de la relation de son mari avec Vega qui s’était fait nombre d’ennemis à ses dépends. Balkia avait disparu une nuit sans laisser de traces l’année de ses dix sept ans. Celle-ci lui avait souvent rappelé combien elle trouvait étrange le soudain comportement correcte de Valaden à son encontre mais s'en exclamait toujours avec joie. Vega l'écoutait en silence en répondant qu'il s'était sans doute lassé. Au moins, elle pouvait se consoler à l'idée que son amie n'ai plus été maltraitée, elle. Sans aucune confidente néanmoins elle se retrouva prise entre deux fronts contre lesquels elle ne pouvait rien, celui de sa maitresse et celui de son mari il n’y eu que son animal à qui elle pouvait se confier les soirs ou un peu de tranquillité lui était octroyé. Les Topsohn n’arrivant pas à régler leur histoire de couple, on entendait souvent les deux propriétaires se disputer violemment. À côté Vega subissait à la moindre occasion des sévices physiques assez humiliants de l’une et de l’un. Mise entre deux vengeances. Outil pour blesser l’autre. Les coups de fouets de la maitresse faisaient suinter les chairs de son dos, Valaden fou de rage en voyant SON esclave abimée par sa femme la soignait. Le temps qu'elle se rétablisse. Avant de recommencer de plus belle ses affaires avec elle. Bien sur même si Balkia n'était plus là, Vega avait peur du courroux de son maitre à l'idée de lui refuser quoi que se soit. Elle n'était pas coutumière aux côtés bestial qu'un homme peut exprimer. Malgré ce qu’il lui a fait subir, sur la dernière année d’asservissement à ses côtés vers la fin de ses dix huit ans, elle le surprit à se montrer plus doux avec elle malgré ce qu’il lui imposait, comme dormir à ses côtés. À caresser ses cheveux à la couvrir d’un regard plus doux. Et plus la maitresse remarquait ces œillades qu’il lui lançait à la dérobée, plus elle fulminait de rage. Un cercle vicieux. Jusqu'au jour où les histoires de cette maison traversèrent leur murs pour se rependre par delà celle-ci dans la ville. On vint arrêter les deux responsables pour les juger suite au non respect des conditions instaurées pour la possession d’esclaves. On leur retira le droit d’en posséder. Suite à cela, Vega fut à nouveau placée sur le marché. Et les choses ont reprit leur cours, rachetée, ramenée dans une nouvelle demeure où aujourd’hui elle a reprit son activité d’antan parmi les bêtes et la nature dans une ferme d'élevage de chevaux. Elle passe tout son temps à prendre soin des bêtes qui s'y trouvent. Loin de la famille qu’elle sert mais assidue à la tâche. Si elle se remet une fois de plus de ses blessures, les idées de liberté en contrepartie ne cessent de la titiller même si ce nouveau mode de vie lui convient. Après tout elle ne peut pas se plaindre quand elle compare sa situation actuelle à celle passée. L'espoir fait vivre, mais ...elle est bien consciente qu'être affranchie serait l'une de ses seules options. Et puis après tout, c'est beau de rêver. Quoi qu’il en soit elle ne se laissera plus jamais berner. Foi de Torkos. Mieux vaut rester auprès des animaux. Son inventaire :Le peigne en ivoire incrusté de perles turquoise de sa mère. Elle y tient plus que tout, c'est un des seuls souvenirs qu'elle a put garder, sa mère le lui avait donné un jour avant qu'elles ne fuient toutes les deux dans les plaines.
Une mèche de cheveux de sa mère Voici quelque chose qu'elle porte toujours sur elle. Elle a attaché la mèche à une perle qu'elle a fixé sur ses cheveux avec une colle créer naturellement. Ainsi plus jamais cette "partie de sa mère" ne la quitte. Néanmoins elle doit souvent remettre une couche de colle qui durcie par la suite pour ne pas qu'elle risque de se détacher.
Autrement Vega n'emporte jamais rien avec elle, les habits se changent, surtout quand on les abimes constamment et quant à son animal.. On ne peut pas dire qu'il s'agit d'un objet. AUTRES INFOS COMMENT SE PRONONCE LE PRÉNOM/NOM DE VOTRE PERSONNAGE ? Véga Ké-rish ÊTES-VOUS SUR D'AUTRES FORUMS SUSCEPTIBLES DE VOUS PRENDRE DU TEMPS ? Oui. Oui. Et oui. J'ai mes propres projets à côté mais bon pour rester plus active ici j'vais sans doute quitter un autre forum. uu SINON, POURQUOI AVOIR CHOISI ARCHIPEL ET COMMENT VOUS NOUS AVEZ TROUVÉS? Ce forum est le premier du genre sur lequel je m'inscris et j'avouerais que je n'ai plus ressentis ce que je ressens là pour un forum depuis plus d'un an. J'ai été attirée immédiatement par son côté complet et j'ai eu beau résister en sachant que je ne devais point venir, plus j'ai zieuté, et plus j'ai été accro, surtout quand Arhilde m'est tombée sous le nez. Alors me voilà donc. Ce que j'ai aimé le plus c'est que les informations du forums sont bien dosées, c'est concis. Enfin j'ai réussis à lire et donc je suis là 8D c'est la preuve que c'est bien. ET SINON, DÉCOUVRIR L'UNIVERS D'ARCHI VOUS AVEZ TROUVÉ QUE ... ? (Cochez la réponse qui se rapproche le plus de votre ressenti) [V ] C'était assez facile et agréable, je n'ai pas rencontré de difficultés à comprendre le tout [ ] C'était long quand même, j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour tout intégrer. [ ] Pour être honnête, je n'ai pas lu l'ensemble des sujets, je me suis concentré(e) sur ceux qui étaient importants pour mon perso, je verrais les autres plus tard SI VOUS DEVIEZ VOUS QUALIFIER COMME JOUEUR VOUS DIRIEZ : Très actif/Plutôt actif. Engagée dans ses personnages et qui aime les développer, les faire évoluer sur le forum aussi.
UNE DERNIÈRE CHOSE Á NOUS DIRE AVANT QUE L'ADMIN NE VOUS VALIDE : Soyez indulgents avec mwaaa ;A;/ j'espère que vous ne vous serez pas ennuyé avec mon style d'écriture plutôt simple et long à lire. |
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| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 27/6/2014, 11:48 | |
| Bienvenue Vega Pour l'instant la fiche me semble plutôt bien partie, même si je l'ai un peu lue en vitesse... J'imaginais le personnage plus calme, mais je trouve qu'elle s'inscrit sans doute mieux dans les Torkos à présent. Une idée que je viens d'avoir (fais-en ce que tu veux): La maltraitance des Torkos étant illégale, elle a pu changer de mains suite à de trop mauvais traitements. Ce qui te donne peut-être plus de marge pour son ancien maître. Je crois que j'avais vu un petit quelque chose ou deux à changer mais je ne me souviens plus Rien de fondamental je présume. Bon courage pour la suite! N'hésite pas si tu as des questions ou des doutes! |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 27/6/2014, 16:19 | |
| Merci encore pour l'attention portée à ma fiche ! :3 J'ai déjà remanié certaines phrases pour qu'elle paraisse plus maitrisée ! Vous me direz si je dois la calmer encore de toute façon je pense. Pour ton idée elle est très bien, je vais m'en servir pour l'histoire. Vega.
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| | | Le CréateurCompte fondateur Messages : 2716 Date d'inscription : 25/07/2012
| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 27/6/2014, 21:23 | |
| Bienvenue officiellement ! Pour le moment j'ai pas encore lu ce que tu avais écris, mais juste, pour le titre du sujet, tu peux mettre le prénom de ton perso avant la phrase ? C'est parce que après on tri les sujets de présentations par ordre alphabétique pour que ce soit plus facile à retrouver |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 28/6/2014, 22:21 | |
| Voilà qui est fait, Autrement, je pense que cette fiche est achevée ! J'espère que j'ai bien respecté le personnage dans l'ensemble quand même. |
| | | Le CréateurCompte fondateur Messages : 2716 Date d'inscription : 25/07/2012
| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 29/6/2014, 14:19 | |
| Super ! Bon j'ai des petites choses à relever avant la validation ^^ - Citation :
- S'en suit une tour dégagée, son cou, ou trône cet imposant collier en cuir d'où est incrusté son insigne qui fait d'elle aux yeux des autres une esclave.
Les insignes sont plutôt gravés sur des médailles accrochées à des Bracelets de fer. Des bracelets de servitude Juste j'ai une question elle est sur Belhovre depuis quel age ? Parce que tu dis qu'elle est né à Îleval, mais avec sa mère tout ce passe à Belhovre de ce que je vois. Donc juste pour être sûre : au moment de ces premiers maîtres, elle était bien à Belhovre ? Sinon y'a rien d'autre qui m'ait vraiment choqué |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 29/6/2014, 17:54 | |
| Bonjour ! J'ai édité et ai donc parlé d'un bracelet dans la description physique, à l'endroit où il est dit qu'elle retire des brindilles de ses cheveux. Et pour le lieux, j'ai édité aussi, tout ce se passe bien à Belhovre depuis son enfance. Voilà voilà |
| | | Le CréateurCompte fondateur Messages : 2716 Date d'inscription : 25/07/2012
| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 30/6/2014, 09:45 | |
| Tu es validé(e) Désolé finalement hier soir j'ai pas eu le temps, mais je te valide dès ce matin ! J'ai même pas encore bu mon café xD. J'aime beaucoup ce que tu as fait du prédéfini Son histoire est bien mené, et l'origine de sa peur des autres hommes est bien amené. C'est triste quand même, la pauvre T.T. Sinon je suis contente de voir une histoire où la maltraitance des esclaves et les peines encourues sont traitées, c'est cool ! Bienvenue, et j'espère que Archipel te redonnera entièrement le goût du RP \o/ Mais surtout il ne faut pas oublier que : Tu as le droit de faire à la fois : - 2 sujets dans la zone de jeu, - 3 sujets dans la zone d'approfondissement. - Sujets à volonté dans la zone de Rp alternatif Tu as le droit à 4 multi-comptes et qu'il faut attendre 1 mois entre chaque, et avoir fini au moins 2 rp (avec au moins deux joueurs différents) avec le dernier compte inscrit. Il te faut un minimum de 150 messages comptant au moins 2 RP terminés par compte pour pouvoir faire de la pub et afficher un bouton 88*31 d'un forum dans ta signature . Il faut prévenir des longues absences (plus d'une semaine) ici. |
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| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 30/6/2014, 10:42 | |
| Bienvenue parmi nous jeune Torkos !
C'est la fête en ce moment y'a plein de nouveaux ! =) Et surtout de nouveaux enfant de Bersok ! J'ai trouvé ta fiche bien sympathique, comme le disait créa, je crois que tu est la première à mettre en avant les châtiments réservés à ceux qui maltraitent les esclaves.
D'un point de vue plus RP ton personnage ... A du potentiel... ^^ |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 30/6/2014, 10:57 | |
| Merci à vous ! C'était ce que je voulais mettre en valeur, la condition d'esclave, donc je suis satisfaite ! Ellhrann : Et oui, ça manquait un peu de Torkos à mon goût en couleur ~ Quant à Veg' je la développerais surtout en rp côté personnalité ! Chacune de ses rencontres lui offrira des voies pour évoluer vers un sens ou l'autre ( et yen a beaucoup...) o/ |
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| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 30/6/2014, 12:18 | |
| Officiellement bienvenue! Bravo pour cette fiche, tu as vraiment fait de ce personnage quelque chose de très riche! Je suis flatté que ma petite idée aie pu t'inspirer un personnage aussi intéressant... Au plaisir de te lire en jeu |
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| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. 30/6/2014, 21:01 | |
| Bienvenue ! J'adore ton avatar !!! |
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| Sujet: Re: Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. | |
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| | | | Vega Kerish { EN REMANIEMENT } ◊ La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. | |
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