IDENTITE
Abigaelle AlerdamMesoriane – Peuple – MarieuseLieu/Clan de naissance : Îleglace | Âge du personnage: 28 ans | Lieu d'habitation/Clan actuel :
Îleglace |
PHYSIQUETaille : | Poids : | Couleur des yeux : |
1m95 | 80kg | Vert clair avec un liseré vert plus foncé sur l'extérieur de l'oeil |
Couleur de la peau: | Couleur des cheveux : | Longueur des cheveux: |
Clair | Brun | Long, qui lui arrive au milieu du dos |
Description physique générale de votre personnage :Je ne suis pas de ces filles que l'on trouve magnifique au premier abord. Je ne suis pas de ces filles dont-on vante la beauté. De toute façon à quoi peut-on juger la beauté ? Chacun de nous possède une vision différente de la beauté et vous pouvez mettre la même personne devant dix personnes différentes, aucun ne vous la décrira de la même façon, parce que personne ne la verra du même œil. Pour certains, je suis jolie, pour d'autre je suis banale et encore d'autre me trouverais probablement moche. Moi, je me trouve normal. Ma mère m'a appris à me tenir droite pour éviter d'avoir des problèmes de dos. Contrairement à certains je ne suis pas si grande que cela, mais je mesure tout de même un mètre soixante-quinze. Mon poids consiste en partie en une musculature fine et qu'on pourrait qualifier de gracieuse. On voit tout de suite que je n'ai rien d'une combattante. Au niveau de ma silhouette, je ne sais pas. Je peux vous dire que j'ai une poitrine qui me permet de remplir mes robes, que j'ai de long cheveux bruns me descendant jusqu'au bas du dos, que je possède des yeux verts émeraude enfin d'après ma mère. Je possède aussi sur mon visage une tache de rousseur qui part de chaque côté de mon nez. Visiblement il s'agit d'un héritage de mon père.
En dehors de mon physique, je porte souvent des robes de couleur bleue telle la glace. Je pourrais vous dire que mes robes sont un peu particulière, serrées en dessous de la poitrine et lâche par la suite, les manches de ces robes sont serrées au niveau du bras et arrivée au coude, sont plus large et s'arrête à ma paume. La robe descend d'ailleurs jusqu'à mes chevilles où on peut remarquer les bottes de couleur bleue glace aussi avec un petit talon que je porte, cadeau de mon grand frère. Pour compléter le tout en cas d'intempérie, j'ai aussi une cape à capuche, de la même couleur que mes autres affaires. Voilà en quoi je suis une fille tout à fait normale.
MENTALQue peut penser un inconnu de votre personnage:Elle est différente de tous les gens qu'on rencontre habituellement. Elle rend les rencontres et les paroles bien plus simple, comme si chacun de ses gestes permettaient de se rendre compte de sa gentillesse et de son envie d'aider les autres. Elle prend aussi énormément soin des personnes qu'elle rencontre et lorsqu'elle est avec des enfants, on a l'impression de ressentir une aura protectrice l'entourant. On se demande d'ailleurs comment cela se fait qu'elle n'a pas de famille, qu'aucun enfant ne gambade autour d'elle.
Comment ses proches décriraient votre personnage :Thalia Alerdam - Mère d'Abigaelle
Abigaelle ? Eh bien je ne sais pas quoi réellement vous dire. C'est une jeune femme travailleuse et pleine de vie. Elle aime le bonheur et surtout le distribuer autour d'elle, c'est quelqu'un d'aimant, de patient et qui cherche toujours à s'occuper des autres même si ceux-ci ne l'ont pas demandé. Parfois je pense que ça peut agacer ceux qu'elle tente d'aider, mais elle ne se démonte pas, elle cherche toujours un moyen de contourner les interdits qu'on lui met surtout si c'est pour aider les autres. Lorsqu'elle était petite, elle s'est prise d'amitié avec un chien errant, on lui avait interdit de s'en occuper parce qu'on ne savait pas ce qu'il pourrait lui faire, vous savez ce qu'elle nous a dit ? Si je suis capable de lui transmettre mes sentiments, je suis certaine qu'il comprendra que je ne lui veux pas de mal et qu'il se laissera faire. Je pense que cette phrase à elle seule la résume.
Elon Alerdam – Frère d'Abigaelle
Je ne suis pas certain d'être le mieux placé pour parler d'elle. Je l'ai toujours vu comme une icône d'Hygérie. La bonté, la gentillesse, la prévoyance. Elle aurait pu faire une bonne prêtresse si elle avait été choisie, mais finalement la voix qu'elle a prit est tout aussi bien. Elle aime les autres, elle aime les rendre heureux, peut importe la façon dont elle doit si prendre, peut importe que le chemin soit chaotique. Sa douceur, la facilité avec laquelle on arrive à se confier à elle, font d'elle quelqu'un de confiance. On a envie de lui dire oui à tout par moment, on a envie de prendre soin d'elle aussi, mais étrangement ça elle ne le laisse pas faire, comme si elle pouvait prendre soin des autres sans que les autres n'aient le droit de prendre soin d'elle. Peut-être s'agit-il *Il secoue la tête* Pardonnez moi je m'égare. Voilà ce que je peux vous dire de ma sœur sans pour autant l'encenser.
Intérieurement comment se décrirait votre personnage : :Comme on a du vous le dire, j'aime rendre les gens heureux. Je pense qu'un monde sans bonheur et sans amour est réellement terne. J'ai l'impression parfois de pouvoir me représenter les sentiments en couleur. Comme si les gens émettaient des auras particulières suivant leurs humeurs ou suivant ce qu'ils ressentent. C'est idiot je m'en doute et parfois je pourrais passer pour une simplette, mais méfiez vous de l'eau qui dort. Je suis gentille, avenante, mais pas stupide. Je ne suivrais pas le premier venu parce qu'il me fera miroiter quoi que ce soit non, loin de là. Je réfléchis, j'analyse, je me pose des questions et j'en déduis des réponses, c'est ainsi que je fonctionne. Oh je fais aussi des enquêtes, sur les personnes qui viennent me voir, pas comme un vrai enquêteur bien entendu, je me renseigne seulement, essaye de trouver s'il est de confiance ou non, je ne peux décemment pas me permettre de faire de fausse notes, pas seulement pour une question de réputation, mais surtout pour une raison de cœur. Nous sommes si vite blessé et il nous faut toujours plus de temps pour nous en remettre, alors autant éviter un maximum les erreurs.
En dehors de ça je pense être quelqu'un de calme et tranquille. J'aime lire et apprendre, c'est une passion chez moi, d'ailleurs je me constitue une sacrée bibliothèque depuis un certain temps, ça n'égale probablement pas les bibliothèques de certains, mais je suis fière de la mienne et je compte bien l'agrémenter. Comme je l'ai fait remarquer tout à l'heure, j'ai tendance à énormément observer les gens, pour les comprendre, pour apprendre d'eux, pour mon travail c'était une partie importante et à force d'observer les gens j'ai remarqué que j'arrivais plus rapidement à les cerner et à savoir ce qu'ils voulaient lorsqu'ils venaient me voir. Je pense aussi être quelqu'un qui sait garder des secrets et apaiser les angoisses des gens, enfin je l'espère tout au moins. J'aime rendre service et j'espère que je le fais assez bien pour qu'on me fasse confiance.
Globalement que pense votre personnage des deux autres peuples ? : :Je n'ai pas d'opinion prédéfinis sur chaque race. En fait je pense même et je sais que chacune des races doit apprendre de l'autre et c'est ainsi que nous devrions avancer.
BIOGRAPHIEVision d'ensemble des relations que votre personnage entretient avec son entourage (amis, famille, maître ...)
Thalia Alerdam (Mère) : Ma mère bien aimée. Nous ne sommes pas ce que nous pourrions appeler fusionnel, mais je l'aime. Elle m'a élevée, donnée tout l'amour dont j'avais besoin. Je sais aussi que chaque fois que j'ai besoin d'elle, elle n'hésiterait pas à m'aider. Peu importe dans quelle galère je pourrais m'être mise, elle viendrait constamment me donner un coup de main.
Elon Alerdam (Frère) : Mon grand frère adorable. Il est constamment sur mon dos à me demander si je vais bien, si je vais m'en sortir. Comment croire qu'un type comme lui est élite sérieusement ? Je lui fais souvent affectueusement remarquer que s'il continue ainsi je serais obligée de lui trouver une femme pour qu'il me lâche un peu ce qui le fait invariablement rire. Nous nous entendons très bien, même s'il est un peu trop protecteur.
Erald Alerdam (Père) : Mon père, un homme bien qui ne fait plus partit de ma vie à l'heure actuelle.
Son histoire : Un cri déchira l'air tiède de la maison. Un cri indubitablement féminin et qui mettait toute la maisonnée en joie. Il était tellement attendu ce bébé, huit ans après le premier voilà que le deuxième était enfin né. Cela avait été une tracasserie de tous les jours, pensant qu'Hygérie les avait laissé tombé pour une quelconque raison, la peur s'était instigué dans le couple et finalement la délivrance. L'annonce de la grossesse avait créer un grand bran-le-bas de combat dans la maison. Tant d'années à attendre qu'il était désormais interdit de le perdre cet enfant. Thalia avait donc prit le plus grand soin à éviter tout stress possible, tout effort non dispensable. Mais le bébé était bien accroché. Elon le fils de la famille attendait celui-ci avec impatiente, demandant sans cesse quand il naîtrait. Et finalement neuf mois venaient de s'écouler, le bébé tant attendu venait de pousser son premier cri et c'était une fille. La joie de la famille était palpable. Tout le monde prenait la petite dans ses bras pour la regarder, pour la câliner mais celui qui eut le dernier mot ce fut le frère. Il l'a pris dans ses bras et la cajola, comme si la petite s'en rendait compte elle s'endormit dans les bras de celui qui avait juré comme un enfant de prendre soin d'elle toute sa vie.
« On va l'appeler Abigaelle, ça te plaît Elon ? »
Le petit garçon fasciné par sa sœur n'avait pas entendu la question et finalement acquiesça avec un sourire. Le début de la vie de la dernière des Alerdam venait de commencer.
Il était temps pour elle de découvrir le monde sur ses deux petites jambes. Bien rôder dans l'art de marcher depuis ses un ans, le langage avait suivi rapidement. Une touffe brune de cheveux avait agrémentée les yeux vert de la gamine qui désormais se mettait à courir partout et cherchait constamment son frère. Elle avait envie de sortir, de voir les gens. Elle n'était pas confinée bien entendu, mais tout de même bien gardée à l'abri. La peur de la perdre était grande mais finalement tout le monde avait vu en elle une petite fille forte et indépendante et alors on la laissa faire. Elle parcourait les rues avec son frère et quelques escortes un peu plus loin derrière, apprenant beaucoup de choses par des questions enfantines. Elon se faisait un plaisir de lui répondre avec le plus beau de ses sourires, comme à son habitude, il n'avait d'yeux que pour la petite fille et ne cessait de lui montrer. Une enfance merveilleuse attendait la gamine, passant les années tranquillement, découvrant son corps au fur et à mesure du temps, appréciant la vie et l'embrassant de ses sourires continuels.
Treize années. Voilà treize années que la gamine évoluait au fur et à mesure du temps. Elle venait de comprendre le revers d'être une femme lorsqu'un matin elle se réveilla et trouva plein de sang dans son lit. La peur l'avait prise aux tripes, elle avait eu peur d'avoir été méchante et que sa déesse ait décidé de la punir. Ce jour-là, Elon se retira et laissa faire sa mère, mais il vint quand même après la discussion et les questions de la gamine le fit rougir. Parfois on se demandait comment elle pouvait poser de telles questions, mais loin d'être idiote, elle cherchait seulement des réponses plus profondes, poussant ses réflexions aux delà du raisonnable parfois. On aurait alors pu croire que la vie continuerait ainsi. Fille d'une grande marchande de tissu, fille d'un marchand de petite noblesse, qui aurait pu croire que la vie leur réserverait des épreuves ? On dit souvent que les personnes heureuses n'ont pas d'histoire, n'ont pas eu le droit à leur part de malheur, cependant ce n'est pas vrai. Alors qu'elle comprenait petit à petit son rôle de femme, elle apprenait aussi la douleur de la perte.
« Il est parti ? »
Le regard incrédule de la demoiselle laissa pantoise la mère et fit monter la colère chez le frère. Leur père était parti, abandonnant tout, femme, enfants, commerce. Heureusement que Thalia ne perdait pas le nord et avait travaillé toute sa vie avec son mari. C'est elle qui s'occupait souvent du commerce. Pourtant, malgré cela, la petite remarquait jour après jour la tristesse de cette femme qui n'avait rien compris et surtout rien vu venir. C'est à partir de ce moment qu'elle fit attention à tout et tout le monde. Décryptant les visages, les expressions même les plus infimes, les mouvements de corps quasiment invisible. Elle avait mis un nom sur tout et jour après jour se rendait compte qu'elle pouvait déceler chez eux la nervosité, l'anxiété et tout un tas d'autres sentiments. Le mensonge faisait aussi parti de tout cela. Mais ce qu'elle remarqua aussi bien vite c'est qu'elle n'aimait pas voir les gens tristes. Elle voulait se sentir utile aussi commença t-elle à travailler avec sa mère. Oh bien entendu elle ne pouvait pas faire grand-chose, mais son sourire naturel, sa bonne humeur et sa joie rendaient les gens plus serein.
Mais la gamine ne voulait pas être marchande, cela ne correspondait pas à son idéal du bonheur. Ce qu'elle voulait, c'était trouver le métier qui pourrait lui permettre de distribuer sa bonne humeur autour d'elle et elle finit par savoir ce qu'elle voulait faire. Elle avait dix-huit ans, elle était une femme accomplie et il était temps pour elle de commencer sa vie, la sienne propre. L'argent ne manquait pas dans la famille et elle avait travaillé assez longtemps pour mettre de côté ce dont elle avait besoin. Le plus compliqué fut de convaincre son frère, ce ne fut pas une mince affaire.
« Mais c'est totalement ridicule tu ne peux pas décider de ça comme ça. »
« Je le peux, maman m'a donnée son autorisation. Arrête Elon, je t'en prie. Toi et moi on sait parfaitement que le métier de marchande ne me va pas. J'ai besoin d'autre chose et il n'y a que ce métier qui pourra combler mes attentes je t'en prie. »
« Mais... Je ne pourrais pas te protéger en cas de besoin, je... »
« Elon, tu es un élite à présent, il serait temps que tu laisses vivre ta petite sœur. Tu resteras toujours mon pilier, celui auquel je m'accrocherais par toutes les tempêtes parce que tu es fort et je sais que tu me protégeras quoi qu'il arrive, mais je ne peux pas toujours compter sur toi. Tu dois vivre ta vie, tu dois évoluer de ton propre côté en me laissant évoluer du mien. Nous serons toujours frère et sœur rien ne changera, mais désormais je dois grandir par moi-même. Laisse-moi le faire. »
« Pourquoi absolument ce métier ? Et si les gens ne sont pas satisfait de ce que tu leur proposes ? S'ils se mettent en colère contre toi et qu'il te ... »
« Arrête ! Il n'y a aucune obligation dans ce que je propose. Je veux devenir marieuse pour aider les gens à trouver le bonheur, leur bonheur. Pour qu'ils aient la chance de trouver quelqu'un qui pourra combler leurs attentes. Tout le monde a besoin un jour ou l'autre d'être guidé, même toi. »
Un sourire fraternel se dessina sur la bouche de la jeune femme. Elle avait tellement grandi en si peu de temps. Son frère âgé de vingt-six ans s'inquiétait bien trop pour elle. Il était un élite très doué mais s'il continuait ainsi il passerait la reste de sa vie à tenter de protéger sa sœur au lieu de vivre sa vie. Elle ne pourrait jamais se le pardonner si cela devait arriver. Mais finalement il avait compris. Il venait enfin de comprendre ce qu'elle voulait, ce qu'elle lui proposait. Un sourire se dessina sur son visage et il accepta, ajoutant à la joie dAbigaelle, le bonheur de pouvoir faire ce qu'elle voulait.
Le cabinet de la marieuse fêtait ses huit ans cette année là. Cela faisait un certain temps qu'elle officiait et pour le moment personne n'avait eu à se plaindre de quoi que ce soit. Elle était restée à Îleglace, non loin de sa famille. Non pas parce qu'elle ne pouvait s'en passer, mais parce que c'était plus facile ainsi et aussi parce qu'ainsi son frère se faisait moins de souci. Pourtant, malgré les sourires, malgré le bonheur et la joie qu'elle tentait de distribuer, malgré la bonté et l'altruisme dont elle faisait preuve, une chose rongeait la gamine. Si son frère avait rayé cela de sa vie, si sa mère s'en était remise, elle par contre ne comprenait toujours pas et les questions la taraudaient constamment. Pourquoi son père était-il parti sans un mot ? Pourquoi avoir laissé sa famille sans rien dire ? Que s'était-il réellement passé ? Elle refusait de croire qu'il avait sciemment décidé de s'en aller sans rien d'autre qu'un mot sur lequel était écris un au-revoir. À vingt-huit ans, il était temps qu'elle sache la vérité. Elle mènerait sa propre enquête si cela s'avérait nécessaire car pour trouver pleinement le bonheur dans sa vie, elle allait avoir besoin de ces réponses. C'est ainsi que débute l'histoire d'Abigaelle Alerdam, Marieuse d'Îleglace.
Son inventaire :Eh bien pas grand-chose si ce n'est quelques affaires de rechanges bien entendu ainsi qu'une cape en laine qu'elle aime porter et qui lui rappelle la maison.
Elle possède bien entendu sa propre maison avec son cabinet juste au dessous (si cela est possible et que ça se met ici)
AUTRES INFOS COMMENT SE PRONONCE LE PRÉNOM/NOM DE VOTRE PERSONNAGE ? Abigaèlle Alairdame
ÊTES-VOUS SUR D'AUTRES FORUMS SUSCEPTIBLES DE VOUS PRENDRE DU TEMPS ? Oui, mais je suis aussi active sur l'un que sur l'autre.
SINON, POURQUOI AVOIR CHOISI ARCHIPEL ET COMMENT VOUS NOUS AVEZ TROUVÉS? Une amie m'en a parlé et j'ai trouvé l'univers sympathique donc j'ai décidé de m'installer
ET SINON, DÉCOUVRIR L'UNIVERS D'ARCHI VOUS AVEZ TROUVÉ QUE ... ?
(Cochez la réponse qui se rapproche le plus de votre ressenti)
[X] C'était assez facile et agréable, je n'ai pas rencontré de difficultés à comprendre le tout
[ ] C'était long quand même, j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour tout intégrer.
[ ] Pour être honnête, je n'ai pas lu l'ensemble des sujets, je me suis concentré(e) sur ceux qui étaient importants pour mon perso, je verrais les autres plus tard
SI VOUS DEVIEZ VOUS QUALIFIER COMME JOUEUR VOUS DIRIEZ :
Généralement assez active sauf quand j'ai vraiment quelque chose à faire, mais c'est rare.
UNE DERNIÈRE CHOSE Á NOUS DIRE AVANT QUE L'ADMIN NE VOUS VALIDE : Rien de particulier si ce n'est que j'espère que ce personnage plaira.