Perle de coquillage polie enchantée par les pierres d’Eliwha, c’est une « pierre » messagère qui ne sert pas à se souvenir, mais à voir. Éternelle, elle se transmet. On la surnomme la pierre du dernier adieu.
Inspiré du coffre à souvenir pour une utilisation personnelle, cette pierre provoque une vision claire de l’événement le plus marquant de son ancien possesseur, si elle fut en contact avec sa peau. Plus l’émotion est forte, plus elle retiendra ce souvenir en priorité. Ce dernier ne peut être vu qu’une fois, car cette pierre l’efface pour en retenir un autre, celui de son nouveau détenteur.
On lui associe la légende du chasseur Cœur-Brave qui avant de succomber à ses blessures, toucha cet objet pour donner ses derniers mots à ses proches. Hélas, ce fut un mésorian qui la récupéra et donna un message approximatif à sa famille. Retenez donc ceci, pour inscrire un moment précis, l’entourer d’un linge permet de l’endormir, touchez-la uniquement pour l’instant qui vous intéresse et si vous pouvez, remettez-là dans son linge d’origine.
Il est recommandé de ne pas bouger pendant la vision ou de bien se souvenir de la configuration de l’endroit où vous êtes, car beaucoup de personnes se sont blessées parfois mortellement en voulant découvrir certains détails de plus près. Ce n’est pas parce que vous êtes au bord d’une falaise et que votre vision se déroule dans une yourte que vous éviterez une chute. De plus, pensez que certaines scènes peuvent être choquantes ou qu’elles ne vous concernent pas, réfléchissez à deux fois en la touchant.
Nota : il arrive parfois qu’une autre personne puisse subir la même vision que vous. Dans ce cas, cela signifie qu’elle est proche de vous autant géographiquement (un rayon d’une centaine de mètres au grand maximum) que sentimentalement (amour, haine ou lien gémellaire).  

Usitée par certains clans okanakis pour des tatouages de séduction (mise en valeur de certaines parties du corps), composée principalement de suie, noix brûlées, huiles diverses et sphère de lumière broyée, cette encre émet une lueur à la nuit tombée (le jour, le dessin est bleu, noir ou vert). Le grammage de poudre de sphère de lumière donnera l’intensité de la lueur, très faible à modérée, sa couleur est, quant à elle, décidée par un pigment.
Ces tatouages servent aussi de protection contre les âmes mal intentionnées en permettant de les reconnaître : en les touchant, elles subiront une brûlure semblable à un fer rouge et se retrouveront avec le tracé (cicatrice) sur leur peau. Ainsi, une main désirant nuire se retrouvera avec une marque très douloureuse.
Elle fut créée pour protéger les jeunes filles et les femmes, lors des guerres de clans, pour limiter les viols. La protection offerte rend l’acte impossible, si les tatouages sont à des endroits stratégiques (jambes, bras, ventre…). Les siècles passants, les hommes ont décidé d’utiliser l’encre pour se protéger des autres chasseurs. Leur peau devenant une protection lors de combats à mains nues.
En aucun cas un tatouage réalisé avec cette encre ne peut servir d’éclairage, mais cela peut être un handicap pour les chasseurs qui ne peuvent pas le cacher par un vêtement./div>

Usitée par certains clans okanakis pour des tatouages de séduction (mise en valeur de certaines parties du corps), composée principalement de suie, noix brûlées, huiles diverses et sphère de lumière broyée (par conséquent enchantée par la magie des pierres), cette encre émet une lueur à la nuit tombée (le jour, le dessin est bleu, noir ou vert). Le grammage de poudre de sphère de lumière donnera l’intensité de la lueur, très faible à modérée, sa couleur est, quant à elle, décidée par un pigment.
Ces tatouages servent aussi de protection contre les âmes mal intentionnées en permettant de les reconnaître : en les touchant, elles subiront une brûlure semblable à un fer rouge et se retrouveront avec le tracé (cicatrice) sur leur peau. Ainsi, une main désirant nuire se retrouvera avec une marque très douloureuse.
Elle fut créée pour protéger les jeunes filles et les femmes, lors des guerres de clans, afin de limiter les viols. La protection offerte rend l’acte impossible, si les tatouages sont à des endroits stratégiques (jambes, bras, ventre…). Les siècles passants, les hommes ont décidé d’utiliser l’encre pour se protéger des autres chasseurs. Leur peau devenant une défense lors de combats à mains nues.
En aucun cas un tatouage réalisé avec cette encre ne peut servir d’éclairage, mais cela peut être un handicap pour les chasseurs qui ne peuvent pas le cacher par un vêtement.

Usitée par certains clans okanakis pour des tatouages de séduction (mise en valeur de certaines parties du corps), composée principalement de suie, noix brûlées, huiles diverses et d’un Chemenn pour l’enchanter avec la magie des pierres ; cette encre émet une lueur, présente sans être dérangeante, à la nuit tombée (le jour, le dessin est bleu, noir ou vert), sa couleur est, quant à elle, décidée par un pigment.
Ces tatouages servent aussi de protection contre les âmes mal intentionnées en permettant de les reconnaître : en les touchant, elles subiront une brûlure semblable à un fer rouge et se retrouveront avec le tracé (cicatrice) sur leur peau. Ainsi, une main désirant nuire se retrouvera avec une marque très douloureuse.
Elle fut créée pour protéger les jeunes filles et les femmes, lors des guerres de clans, afin de limiter les viols. La protection offerte rend l’acte impossible, si les tatouages sont à des endroits stratégiques (jambes, bras, ventre…). Les siècles passants, les hommes ont décidé d’utiliser l’encre pour se protéger des autres chasseurs. Leur peau devenant une défense lors de combats à mains nues.
En aucun cas un tatouage réalisé avec cette encre ne peut servir d’éclairage, mais cela peut être un handicap pour les chasseurs qui ne peuvent pas le cacher par un vêtement.

La peau de fer prend la forme d’une cape en peau de bête, parfois agrémentée d’ornementations métalliques. Lourde et chaude comme une cape en fourrure, elle présente en sus l’avantage de devenir aussi solide qu’une armure en fer quand on la frappe. Les lames glissent sur les poils qui se durcissent, et les marteaux plient la peau. Bien sûr, les chocs trop violents peuvent toujours traverser la cape ou se répercuter sur le porteur comme avec une armure classique.

Les peaux de fer sont rares, car elles ne peuvent être créées qu’à partir d’une peau de bête d’une seule pièce. Elle doit donc être en très bon état et assez grande pour constituer la cape. De plus, les fourrures de certains animaux tels ne permettent pas de créer une Peau de fer, les poils tenant un rôle très important.

La peau de fer prend la forme d’une cape en peau de bête, parfois agrémentée d’ornementations métalliques. Lourde et chaude comme une cape en fourrure, elle présente en sus l’avantage de devenir aussi solide qu’une armure en fer quand on la frappe. Les lames glissent sur les poils qui se durcissent, et les marteaux plient la peau. Bien sûr, les chocs trop violents peuvent toujours traverser la cape ou se répercuter sur le porteur comme avec une armure classique. De plus, elle ne résiste qu'aux  chocs : elle brûle ou se déchire comme une cape ordinaire.

Le plus gros défaut des peaux de fer vient de leur relation aux lames éternelles. Les deux objets sont enchantés par la magie des pierres, et ne sont pas conçus pour s'opposer. Quand la lame d'une lame éternelle frappe une peau de fer, la magie contenue dans les deux objets explose, les abîmant terriblement et détruisant irrémédiablement leurs enchantements. La peau de fer redevient une simple cape, et la lame éternelle, une simple arme.

Les peaux de fer sont rares, car elles ne peuvent être créées qu’à partir d’une peau de bête d’une seule pièce. Elle doit donc être en très bon état et assez grande pour constituer la cape.

La peau de fer prend la forme d’une cape en peau de bête, parfois agrémentée d’ornementations métalliques. Lourde et chaude comme une cape en fourrure, elle présente en sus l’avantage de devenir aussi solide qu’une armure en fer quand on la frappe. Les lames glissent sur les poils qui se durcissent, et les marteaux plient la peau. Bien sûr, les chocs trop violents peuvent toujours traverser la cape ou se répercuter sur le porteur comme avec une armure classique. De plus, elle ne résiste qu'aux  chocs : elle brûle ou se déchire comme une cape ordinaire.

Le plus gros défaut des peaux de fer vient de leur relation aux lames éternelles. Les deux objets sont  enchantés par la magie des pierres, et ne sont pas conçus pour s'opposer. Quand la lame d'une lame éternelle frappe une peau de fer, la magie contenue dans les deux objets réagit, leurs pouvoirs s’opposant sans pouvoir triompher l’un de l’autre. En résulte que les porteurs respectifs de la lame éternelle et de la peau de fer sont violemment repoussés en arrière.

Les peaux de fer sont rares, car elles ne peuvent être créées qu’à partir d’une peau de bête d’une seule pièce. Elle doit donc être en très bon état et assez grande pour constituer la cape.

Cet objet permet d’envoyer un message à un autre diapason, auquel il est lié lors de sa création. Chaque diapason ne permet donc de communiquer qu’avec un seul et unique autre diapason. La durée du message étant dépendante de la vibration du diapason, seuls des messages relativement courts peuvent être transmis par ce moyen de communication. Pour "enregistrer" son message, il suffit de faire vibrer le diapason sur la surface adéquate, généralement un métal ou de la pierre, puis de le retourner et de parler dans la base de l’objet. Le message sera immédiatement transmis au diapason auquel est lié l’objet, et y restera en attente jusqu’à ce qu’il soit écouté. Pour ce faire, il suffit là encore de le faire vibrer sur la surface idoine. Chaque diapason ne réagit qu’à une matière spécifique, toute autre surface le fera réagir comme un diapason classique ; la matière en question peut donc varier d’un diapason à l’autre. Son apparence indique son "état" : d’un aspect brillant de métal classique, rien n’est à signaler ; lorsqu’un message a été envoyé, mais n’a pas encore été écouté par son récipiendaire, la surface du diapason devient mate ; et l’objet prend une teinte noire pour indiquer un message reçu à écouter. La création de cet objet étant fort difficile et délicate, il est relativement rare.