IDENTITE
Saika VangalTorkos - DomestiqueLieu/Clan de naissance : Opale | Âge du personnage: 17 ans | Lieu d'habitation/Clan actuel :
Îleval |
PHYSIQUETaille : | Poids : | Couleur des yeux : |
1m64 | 54kg | Gris Foncé |
Couleur de la peau: | Couleur des cheveux : | Longueur des cheveux: |
blanc crème | noir | long |
Description physique générale de votre personnage :Lorsqu’on me regarde, je suis assez petite de taille, j'ai de joli courbe féminine ainsi qu'une silhouette carré au niveau des épaules. Je ne suis pas imposante, mais j'ai une taille fine. Je vous rassure, je mange très bien! Je ne suis pas une fille de rue, je suis bien logé et bien nourri. Pourvu que je remplisse bien mes tâches correctement. Non, vous ne me verrez jamais vêtu de ses magnifiques robes que les riches bourgeoises portent. D’ailleurs, si jamais l’idée vous traverse l’esprit de m’en offrir une, au diable les convenances, je vous avertis qu’elle ne risque pas d’être en état pour la porté et je ne risque pas de la mettre pour vous faire plaisir. Je trouve que c’est la meilleure façon de me manquer de respect.
Où avais-je la tête? Milles excuses, gentil homme ou gentille dame, loin de là l’idée de vous manquez de respect, après tout, je ne suis qu’une esclave et je me dois de vous être reconnaissante, dans la mesure où m’humilier ne fait pas parti de vos passe-temps favoris, je vous obéirai.
En général, je porte des vêtements reliés à mes fonctions de domestique. Je préfère porter des vêtements aux couleurs ternes et peu vivant, après tout je ne suis pas sensé répondre, mais bien me fondre dans le décor et passé inaperçue. Mes robes sont simples et légères, elles s’unissent bien d’ordinaire avec ma longue chevelure d’ébène qui tombe en cascade jusqu’à la moitié de mon dos. Indomptable, ma chevelure à tellement de volume que je n’arrive presque jamais à les ordonner. Le seul moment que je réussis à les empêcher de se rebeller, c’est lorsque je les attache avec un morceau de tissu. Mes yeux gris cendré laissent toujours transparaître mes émotions que je tente parfois de cacher aux yeux de tous. Toute fois, seuls ceux me connaissant vraiment, seraient capables de déchiffrer mes états d’âme en totalité.
J’ai quelques cicatrices bénignes qui me rappellent de nombreux souvenirs heureux comme douloureux. Dans ma jeunesse, j'étais assez casse-cou, au point que cela m'a valu de nombreux bleus, petites cicatrices et parfois un os brisé. Vous pouvez pensé que je suis têtue, mais lorsqu'on me lance un défi aussi stupide que de traversé le fleuve l'Espoir sans aller sous l'eau et en utilisant qu'une simple branche pour me donner une contenance, même si je me casse un bras, c'est une Torkos qui c'est rendu de l'autre côté du fleuve et un grand parleur qui n'ose pas rien faire d'autre que de lancé des roches afin de m'empêcher de remporter le défi.
J’ai l’affreuse manie de me promener avec un drap autour de moi lorsque j’ai froid. Je déteste l’hiver, je n’aime pas le froid. Je grelotte à rien et si je n’ai pas de drap, je fais un feu. Seulement après, même réchauffé, je préfère rester, à contempler les flammes que je trouve très apaisantes.
MENTALQue peut penser un inconnu de votre personnage:Pour un inconnu qui croise ma route pour la première fois se résumerait à prendre un risque en m’adressant la parole. En faite, ça dépend des circonstances. Je suis malheureusement assez franche, je me fâche assez rapidement et je suis très maladroite. En somme, je pourrais insulter un très haut gradé, que ce soit un garde d’élite ou un haut dirigeant, s’ils ont l’insolence de me chercher des noises ou bien de me maltraiter. Je suis peut-être frêle en apparence, mais les joutes verbales je m’y connais. Bon, vous me direz que cela pourrait me mettre dans le pétrin, j’avoue l’avoir été plus d’une fois, j’essaie de me calmer en tournant ma langue sept fois avant de parler, mais je finis toujours par dire ce que je pense. J’ai aussi une très bonne mémoire dans le sens que je n’oublie pas rapidement ce genre de comportement. Parfois, je me venge à ma façon...
Par contre, en présence de ma maîtresse/mon maître, c’est différent. Je me tiens bien droite, je parle quand on m’interpelle, je me fais discrète et je fais ce qui est attendu de moi dans mes tâches au quotidien. Alors pour un inconnu qui me croise dans ses deux contextes différents, pourra observer le changement drastique de comportement. Malgré que je sois esclave et une domestique, j’aime que les choses soient bien faites et bien mises. En somme, j’aime bien quand ma maîtresse/maître parait bien auprès des siens.
Comment ses proches décriraient votre personnage :Pour ceux qui me connaissent bien, ma curiosité est l’un de mes pires défauts et qui a généralement l’art de me mettre dans l’embarras. Suivit de près par mon impatience face à une situation délicate, se résume souvent par un petit conflit ouvert puisque je me fâche rapidement. Têtue et obstinée, lorsque j’ai une idée derrière la tête, il est difficile de me convaincre de faire le contraire. Par contre, je suis attentive, bienveillante, douce, tendre et taquine envers ceux que je tiens en haute estime et qui ont une certaine place particulière dans mon cœur. J’ai parfois des moments où je suis dans ma bulle, à chantonner tout en effectuant mes tâches ménagères.
Intérieurement comment se décrirait votre personnage : :J’ai souvent rêvé de liberté, mais je sais très bien que ma condition ne me le permettra jamais complètement. J’aimerais être libre et vivre parmi les Mésorians comme étant leur égale. Acquérir des biens dans leur village, partagé leur vie de tous les jours, et ce, sans aucun préjugé, mais je sais que cela reste une Utopie qui n’arrivera jamais. Il y a toujours la possibilité d’être affranchies et de demeurer dans des cités libres. Mais jusqu’à quel prix? Après une longue vie de servitude et n’ayant connu rien d’autre que le confort du foyer de ma maîtresse? Je me retrouverai ensuite à la rue, sans un sou, sans vives, affrontant les intempéries sans oublié les bandits de grand chemin pour me rendre à une cité dite libre, pourquoi ai-je l’impression qu’il y a quelques choses qui clochent dans ce tableau?
J’ai abandonné ce rêve depuis longtemps. Je sais très bien que la vie me réserve plein d’aventure palpitante, mais enfermée entre quatre murs dans la routine de tous les jours. Alors, je n’ai pas à me plaindre.
D’une certaine façon, je crois que je crains l’inconnu. Le fait de me retrouver seule, sans aucun repère. Apprendre à me débrouiller dans la nature, affronter les dangers sans paniquer afin de survivre assez longtemps pour croiser une âme charitable pour m’aider ou bien tomber face à face avec le destin.
Je crains surtout de tomber sur les disciples de Zhäa. Ma mère m’a raconté à mainte reprise ce que la marche de Zhäa était et elle craignait probablement qu’ils allassent venir me dérober à elle. Ainsi, ma mère me surprotégeait énormément. La pauvre, je lui en ai fait voir de toutes les couleurs.
Globalement que pense votre personnage des deux autres peuples ? : :Je déplore l’esclavage de mon peuple, mais je n’ai rien contre les Mésorians. Cette guerre a eu lieu 150 ans plus tôt et notre situation n’a pas changé. Tous les Mésorians ne sont pas faits dans le même moule. Je ne voue pas de haine à leur égard seulement s’ils m’ont cherché. J’ai croisé très peu d’Okanakies, je les envie d’être nomades, de pouvoir aller partout et être libres comme l’air. Comme les Mésorians, mon opinion reste la même, je ne juge pas, mais je me fie à ma première impression que je me fais de chacun d’entre eux.
BIOGRAPHIEVision d'ensemble des relations que votre personnage entretient avec son entourage (amis, famille, maître ...)
Kaeltiir Norvos : J’ai grandi avec lui. Il est comme un frère pour moi. Nous avons fait les 400 coups ensemble avant que je devienne officiellement domestique pour sa famille. Je le connais très bien autant qu’il me connait. Je m’inquiète pour lui. Il est parti si brusquement après la mort de sa mère et je n’ai plus de nouvelle depuis.
Danzah Norvos : Je l’adorais, elle était pour moi une seconde mère. Certes, elle était ma maîtresse, mais je l’appréciais énormément. Sa mort ainsi que la fuite de son fils m’ont beaucoup chamboulée émotionnellement.
Marka Vangal : Ma charmante mère, sur qui je peux toujours compter pour me réconforter et m’aider à laisser ma marque dans la vie des gens qui m’entourent. Elle m’a élevée seule en plus de prendre soin du fils de la famille Norvos. Je n’ai jamais connu mon père, mais ma mère m’a beaucoup parlé de lui en bien. Il semblerait qu'il soit un escorte et qu’il habite loin maintenant.
Son histoire : Le coup de foudre, vous y croyez? L’espace d’un instant, deux regards se croisent et tout ce qui se trouve autour n’a plus d’importance, car vos cœurs battent à unisson. Mais vous réalisez ensuite votre situation et vous savez que les chances d’être heureux ensemble sont minimes. Une seule nuit, c’est tout ce dont vous disposez et vous comptez bien vivre chaque minute comme si c’était la dernière que vous passiez ensemble. Vos corps s’unissent puis à l’aurore, vient le moment de se séparer. À grand regret, vous vous dites adieu et vous vous promettez l’impossible.
Quelques mois plus tard, je suis née de cette union et je grandis auprès de ma mère qui se demande chaque jour quand mon père reviendra la voir. Elle ne me parle que de lui en chaque menu détail que je pourrais très bien me l’imaginer à nos côtés, mais je ne peux pas garantir que cela soit la réplique exacte. Après tout, à cet âge, j’avais l’imagination très fertile. À un point tel que j’imaginais les nombreux coups que moi et Kaeltiir faisions à nos mères et aux visiteurs. Il m’arrivait parfois d’aller me promener dans la ville d’Opale, malgré les interdictions de ma mère. J’aimais la cohue qui y régnait parfois avec les marchands qui vendaient toutes sortes de choses tout aussi intrigantes ou mystérieuses. J’aimais observer de plus près même si je savais que je ne pouvais pas toucher, on me regardait souvent de travers et ils ne voulaient pas que je m’approche. Il y en avait même un qui tentait de m’éloigner avec un balai. J’allais riposter quand un garçon Mésorian qui semblait plus âgé que moi ripostait en me disant :
« Hey la vermine! Ne touche pas, sinon Zhäa viendra te chercher dans ton sommeil. Il raffole des Torkos dans ton genre! » S’exclama-t-il en riant de plus belle.
La mention de Zhäa me glaça le sang. Qui ne connait pas cette histoire, j’avais peut-être 10 ans, mais je savais plein de choses. Au lieu de faire plaisir à ce Mésorian et de pleurer sur mon triste sort, je lui dis du tact au tact :
« Zhäa n’épargnera pas la tête d’un petit asticot tel que toi! Une proie facile...» je n’eus pas le temps de continuer ma phrase que déjà il riposta rapidement en me frappant au visage.
Je chancelai sous l’impacte, mais j’affichais toujours un sourire aussi niais ce qui enragea le garçon qui aurait pu continuer de riposté si un adulte n’était pas intervenu. C’est le visage tuméfié et la lèvre inférieure fendue que je rentrai à la maison ce soir-là. Cela ne m’empêcha pas de le provoquer à chaque fois que je le croisais. Puis vint le jour d’un défi stupide, celui d’entre nous deux ne réussissant pas à traverser de l’autre côté du fleuve l’Espoir, dans une partie plus profonde, sera humilié sur la place publique de la pire façon qui soit. Seulement, je n’avais pas prévu traverser la rivière seule, me blesser, manquer de me noyer à deux reprises et un imbécile sur la rive qui me lançait des roches. Je ne sais pas comment, mais j’ai réussi. J’aurais pu me noyer et je me suis cassé le bras. Heureusement, un bon samaritain me ramena intact à Opale. Je ne pourrais vous dire comment je me suis retrouvée dans mon lit, car je ne me souviens pas du trajet de retour. Une chose est sûre, ma mère ne me lâcha pas du tout par la suite. Elle jugea même bon que je devienne une domestique dès que j’eus quatorze ans. Elle était convaincue que cela m’aiderait à me discipliner et m’éloigner des conflits.
Elle avait raison, je pris mon travail très au sérieux même si il y avait quelques écarts de conduite, je remplissais mes tâches avec entrain et avec gaieté. Trois années et quelques mois plus tard, lady Norvos est malade et a succombé à sa maladie. Son fils s’est enfui du domaine et me voilà confrontée à un dilemme. Rester et confronter les autorités pour ensuite être mise dans une nouvelle famille. Avec ma chance de pendu, ma mère et moi serions séparées. Lorsque j’entendis des bruits de pas qui allait franchir le seuil d’entrée ainsi que des voix peu familières, sans hésité, j’attrapai la main de ma mère et nous sorties par la porte de derrière, disant ainsi adieu à notre ancienne demeure.
Son inventaire :
J’ai toujours sur moi une breloque en forme de cœur, un petit cadeau de mon père que ma mère m’a remis quand j’étais en âge pour comprendre. C’était sa façon à lui de dire qu’il m’aimait et que ce n’était pas par choix qu’il était loin de moi et de ma mère. Son cœur sera toujours avec nous et il pensera toujours à nous.
Le reste de mes avoirs ne m’appartiennent pas totalement.
AUTRES INFOS COMMENT SE PRONONCE LE PRÉNOM/NOM DE VOTRE PERSONNAGE ? " C K Van Gal "
ÊTES-VOUS SUR D'AUTRES FORUMS SUSCEPTIBLES DE VOUS PRENDRE DU TEMPS ? ZdC ^^
SINON, POURQUOI AVOIR CHOISI ARCHIPEL ET COMMENT VOUS NOUS AVEZ TROUVÉS? Pour relevé un petit défi ^^ et je suis venue ici grâce à ZdC.
SI VOUS DEVIEZ VOUS QUALIFIER COMME JOUEUR VOUS DIRIEZ :
Plutôt actif
UNE DERNIÈRE CHOSE À NOUS DIRE AVANT QUE L'ADMIN NE VOUS VALIDE : J'adore le design et le contexte du forum, chapeau à toute l'équipe.